Nuphar luteum

D. Collins : Bulletin 110, C. Bozonova Bulletin 116 du SMHMP, Boericke

Revue Belge Homeopathie 2005, N°45 : Nuphar luteum : Drs Thierry Albernhe, Anne-Marie Crouzet- Triquenot, Ramon Fendo

Famille

Scholten (D. Collins Bulletin 110 SMHMP) : Nuphar lutea : 621.11.06, plante aquatique qui appartient aux Nympheales, sous famille des Magnolianae : 620.000

Phylum 6, embranchement 2 : correspond à la série Carbone.

Tableau des plantes : première ligne : le stade pre naissance

Les Magnoliales (1ere ligne) sont perdus et confus. C’est avant la naissance. Ils ne font rien.

Les Nympheales comme les lotus, Nuphar : trop dans la spiritualité, ils ne peuvent pas s’exprimer dans ce monde. Dans cet ordre, le thème de la méditation est très présent. Ils ne sont pas dans la vie, ils sont avec leur guru.

Ici l’accent est sur la série Carbone, mais nous avons toujours des thèmes Hydrogène. Contrairement aux minéraux, dans les plantes, les choses s'accumulent. Rappelez-vous l’exemple de Sandra : dans la musique baroque, les instruments s’ajoutent au fur et à mesure que la mélodie se développe.

Les thèmes de la série Carbone concernent le corps : être ou ne pas être dans le corps. Il y a une confusion de base sur l’identité propre : qui suis-je ? Ici aussi, nous retrouvons des expériences de dissociation, des expériences « hors du corps » et tout particulièrement le sentiment d'être perdu.

Si un patient nous dit qu’il rêve de se perdre ou dit « je suis complètement perdu, » même si c’est un business man qui semble sûr de lui, il est vraiment important d’aller au-delà des apparences et de chercher quel est son sentiment profond. On peut être tenté de se dire dans un autre cas : « Tiens, c’est un homéopathe, je vais donc aller voir du côté des Lanthanides. » Il peut, cependant, être un homéopathe qui intérieurement se sent complètement perdu !

Ils peuvent facilement être victimes d'agression car ils ne sont pas bien enracinés. Ils sont très sensibles à la cruauté, en particulier envers les animaux. Nous connaissons plusieurs remèdes qui aiment les animaux, tel que Nuphar lutea – 621.11.06, plante aquatique qui appartient aux Nympheales.

Les Magnolianae sont divisés en deux groupes. Remarquez que la Série Carbone est la série 2 et que la division se fait en deux groupes : Nymphaeidae : 621.00 et Magnoliidae 622.00.

Une autre précision : dans le tableau, Jan passe parfois directement de l’embranchement à l’ordre, comme ici par exemple, où nous sautons des Magnolianae au Nympheales. Ceci se produit lorsqu’il n’y a qu’un ordre appartenant à la classe en question. Dans l’exemple ci-dessus, la classe des Nymphaeidae n’a qu’un ordre, les Nympheales. Pour retrouver la progression complète, dont je me sers pour ce séminaire, référez-vous au texte.

● Nymphaeidae – 621.00 : série Carbone, accent Hydrogène

Personnes souffrant de troubles dissociatifs et très sensibles. Nuphar lutea adore les animaux car ils en sont proches émotionnellement.

Aethusa cynapium adore également les animaux car ils les aident à rester en contact avec leurs émotions. De plus, il n'appartient pas au même embranchement ; il appartient aux Asteranae – 660.00 et à l’ordre des Apiales – 666.70 (mère froide). Le problème est totalement différent, ce qui nous permet de différencier les familles devant le même symptôme.

- J. Lamothe : « Ce n'est pas le même amour des animaux, le contexte est différent. »

- Deborah : « Tout à fait. Si on ne prend que le symptôme « amour des animaux » on passe à côté du fait que chez Aethusa ce symptôme est associé à « n'aime pas les gens » !

Thèmes communs des plantes aquatiques et Hydrogène : désorientation, manque de direction, parfois il y a une relation à des abus dans des vies antérieures et donc un manque de désir à se réincarner.

INHF M. Yakir : Tableau des plantes

Dans la colonne 1, on commence d’un état très basique, d'unité, avant la séparation du tout.

A cet état-la il n'y a pas d'ego. Pensez à un cas auquel vous auriez donné Nuphar, Lotus ou Nux moschata, ou bien encore Asarum.

Þ Le sujet peut paraitre naïf. Il a un ego faiblement développé, il n’a pas de limite, comme si l'ego n'était pas formé.

Þ Le patient vous regarde et vous dit : "Que dois-je faire ?

Þ Pouvez-vous m’aider, me dire ce que je dois faire ? Il faut que je m'accroche a quelqu'un qui me dit ce que je dois faire.

Þ " En fait, il ne sait pas ce qu'il doit faire de façon consciente. Il n'est pas encore formé, il est faible et n'a pas de limite bien définie. Il se trouve à un état primordial, féminin, et il est normal que nous commencions par le féminin, car c'est le féminin qui fait naitre au monde. Rappelez-vous quand nous avons parlé de botanique ce matin, nous avons commence dans l'eau. L'ego nait donc au monde a travers l'aspect féminin de la naissance.

Dans la colonne 1, ils s'exprimeront par des gestes : "Je suis comme çà (geste), et puis vous savez...".

Pour eux, comme c'est difficile de s'exprimer, ils viendront avec des listes qu'ils auront préparées chez eux.

Ils n'ont pas de structure propre, ils se laissent très facilement influencer. Pensez à Aconit. Pour Aconit tout est une catastrophe. Parce qu’il est facilement influençable.

Les choses sont confuses. Ce sont des gens qui ne maitrisent pas bien leurs émotions, d'humeur labile et des gens qui se noient facilement dans leurs émotions.

Ce sont des gens qui ont malheureusement tendance à devenir dépendants de quelque chose. Quand vous regardez la colonne 1, on trouve ainsi de nombreuses plantes qui peuvent servir de drogue, qui ont des qualités propres aux drogues, même si on n'en est pas toujours conscients : Nuphar, Myristica, Cubeba, Nux mochata et évidemment Opium. De nombreuses autres plantes comme Fumaria ont ces qualités. Ils ne sont pas vraiment de ce monde.

Souche (Revue Belge Homeopathie)

Nénuphar jaune

En tant que plante aquatique, Nuphar a une double appartenance : à la fois à la terre et à l’eau.

C’est une plante à trois étages : une partie enterrée (les racines), une partie subaquatique (la tige), et une partie émergée à la surface de l’eau (la fleur). Les nénuphars appartiennent à la famille des Nymphacées.

La plante et sa physiologie.

Il existe plusieurs variétés de nénuphars. Celui qui est utilisé en Homéopathie est le nénuphar jaune, encore appelé petit lis jaune de marais, ou lis des étangs, ou lis jaune des étangs, ou encore lis à grenouille.

Le nénuphar jaune a quelques particularités : il pousse très en profondeur ; sa racine est particulièrement épaisse ; ses fleurs sont plus petites que celles des autres nénuphars (la fleur n’est large que de cinq centimètres). Il peut pousser à l’ombre, ainsi que sous les eaux courantes (ce qui le distingue des autres Nymphacées).

Frans Vermeulen en donne la description suivante : « Herbe aquatique vivace, elle pousse à la surface de l’eau à partir d’une épaisse tige horizontale. Se développant sur de longs pédoncules, les fleurs s’ouvrent au lever du soleil ; quelques heures plus tard, elles se ferment progressivement jusqu’à l’être complètement pendant la chaleur de la journée et la nuit. Ses fleurs parfumées sont visitées par les bourdons, les abeilles, les mouches et d’autres insectes qui sont à l’origine de la pollinisation. Le fruit se détache quand il est à maturité et flotte pendant quelque temps avant de se désintégrer ».

Habitat naturel : dans les eaux calmes, en Europe, Sibérie, Iran. Existe également à Manayunk, près de Philadelphie.

Préparation homéopathique.

La teinture-mère s’obtient à partir de la racine seulement, à l’état frais (la fleur, quant à elle, aurait des vertus aphrodisiaques).

Tropisme

· Cerveau

· Organes sexuels,

· Tube digestif et rectum,

· Peau.

Thèmes

M. Cousin : Pathologie du langage

Refus du travail intellectuel

Animaux :

Þ symptômes d’appel : souffre de les voir en souffrance et souvent intérêt pour les chevaux

Insatisfaction et irritabilité :

Þ impatience à la moindre contradiction

Reproduction sexuel :

Þ pas d’érection ni désir,

Þ les idées voluptueuses ne provoquent pas érection

Þ Masi : Nuphar veut créer sans l’acte sexuel que par intelligence

Thème du refus de l’histoire qui ne sert à rien :

Þ Effet relatif à l’évolution de l’humanité :

Þ Coté intellectuel de la génération (deux thèmes avant) : Nuphar ne considère que le coté animal de la question :

Généralités

Epuisement général

Provoque une faiblesse nerveuse, associée à de nets symptômes d'ordre sexuel

Epuisement général avec faiblesse provenant de la perte de liquides.

Faiblesse des membres, le soir. Faiblesse après le coït. Faiblesse après la diarrhée.

Aggravation en marchant.

Douleurs contuses, ressenties comme des meurtrissures et des « bleus » en divers endroits : tête, thorax, région postérieure des cuisses ; ces

douleurs sont aggravées par les secousses de la marche.

Modalités

Localisation et direction :

Droite (secousses douloureuses dans la partie antérieure du cerveau).

Gauche (douleurs profondes dans la région rénale).

Aggravations :

Par le moindre écart de régime.

Par le coït.

Par ladiarrhée.

Améliorations :

A l’air frais (pour les céphalées).

Pression (pour les piqûres du flanc gauche).

Psychisme

La synthèse proposée ci-dessus est une compilation des auteurs de l’article de la Revue Belges d’Homéopathie des Matières Médicales de Allen, Boericke, Clarke, Hering, Vermeulen. Les symptômes principaux sont mentaux et périnéaux.

Classiquement, « Amour des animaux »

Þ mais il faut nuancer et revenir aux premiers expérimentateurs, qui insistaient ici sur une grande sensibilité morale et une forte compassion envers les animaux, allant jusqu’à ressentir une douleur en présence d’animaux qui souffrent

o « sensibilité excessive provoquant une douleur en étant témoin de souffrances (infligées) à des animaux »Hering ;

o « douleur vive devant les souffrances des animaux » Clarke

o « sensibilité morale exagérée, lui donnant une grande peine en voyant les souffrances des animaux » Allen.

o Ne supporte pas d’assister à la souffrance des animaux. Très attiré par les tortues.

Þ affections suite a la mort d’un animal bien aime.

Þ Symptôme : amour des animaux en danger

Pensées érotiques, voluptueuses

Impatience et intolérance à la moindre contradiction.

Colère.

Physique

Tête

Céphalées temporales, mais surtout frontales, améliorées au grand air.

Douleur pressive sur le front et les tempes, améliorées en plein air.

Sensation de mouvement de la tête lors de la marche.

Chute des cheveux.

Démangeaison très vive de tout le cuir chevelu, particulièrement la nuit.

Violent prurit la nuit.

Face

Pâleur.

Yeux

Etincelles brillantes devant les yeux lorsque le patient tousse fort, ou face au soleil.

Douleur sourde dans les orbites, à la base du crâne douleur sourde et sensation de poids sur les orbites.

Yeux décolorés.

Bouche

Goût douceâtre dans la bouche.

Langue blanche et bouche pâteuse.

Cou et dos

Douleurs pesantes et profondes à la plus basse partie de la région lombaire gauche et dans la partie supéro-postérieure de la fosse iliaque externe ; elle coïncide avec une douleur semblable, mais intermittente, dans la fosse iliaque interne, du même côté.

Marcher, même lentement, provoque un point de côté douloureux dans le flanc gauche, qui est soulagé par la pression.

Poitrine

Sensation douloureuse derrière le sternum quand on court, comme si les organes sous-jacents étaient violemment secoués.

Douleurs pesantes se déplaçant dans le côté gauche de la poitrine.

Estomac

Eructations acres.

Sensation d’épuisement au niveau de l’épigastre.

Abdomen

Bon appétit, parfois excessif.

Renvois fréquents d’un goût âcre et corrosif.

Digestion lente.

Douleur au cours de la journée, avant la selle ; aggravation après la selle. Flatulence le soir, avec gaz intestinaux.

Coliques avec douleurs pesantes et profondes.

Rectum

Diarrhée jaune, tôt le matin (entre 4 et 6h, ou entre 5 et 6h.), acide, d’odeur forte, nauséabonde. Cette diarrhée, matinale, existe au lever du lit ou pousse le patient hors du lit ; elle est indolore, ou sinon s’accompagne d’une douleur brûlante ; la diarrhée peut également apparaître après le petit déjeuner.

Cette diarrhée est aggravée par la plus petite erreur diététique, au moindre excès alimentaire ; elle est également aggravée après le coït ; elle s’accompagne d’une sensation d’épuisement au creux épigastrique et souvent d’une dépression des fonctions sexuelles.

L’évacuation des selles est indolore, ou bien présente des douleurs vives et brûlantes.

Piqûres comme si elles venaient d’aiguilles, dans le rectum, au-dessus de l’anus.

Besoin urgent après la selle.

Selles molles et diarrhéiques. Selles liquides, jaunes et fétides. Entérocolite avec diarrhée jaune aggravée le matin. Entérocolite aiguë ou chronique. Diarrhée pendant la fièvre typhoïde.

Appareil urinaire

L’urine dépose du sable rougeâtre et abondant, qui est dur et adhère au récipient.

Région rénale sensible.

Masculin

Dépression de la fonction sexuelle, pouvant aller jusqu’à l’absence complète de désir sexuel.

Les pensées voluptueuses n’entraînent pas d’érection.

Emission de liquide prostatique pendant la selle, en poussant au cours de l’effort de défécation. Impuissance avec éjaculations involontaires pendant la selle ou la miction.

Emissions séminales le matin pendant la selle, quand il pousse, et sans érection.

Emissions séminales sans érection, pendant le sommeil.

Rétraction du pénis. Relâchement du scrotum.

Impuissance, avec érections rares.

Elancements douloureux dans les testicules et le pénis.

Féminin

Dépression de la fonction sexuelle avec absence de désir sexuel.

Aversion au coït.

Absence complète de désir sexuel.

Extrémités

Douleur piquante, lancinante, dans la cuisse, améliorée par la pression.

Fréquents picotements sur la face postérieure de la cuisse gauche.

Agitation constante et fatigue dans les jambes.

Elancements à la surface plantaire de la dernière phalange du gros orteil droit, le soir.

Elancement à la face plantaire du gros orteil.

Sensation de faiblesse et de perte de force dans les membres, pire le soir.

Peau

Eruptions léproïdes.

Eruptions pustuleuses rouges écailleuses ressemblant à du psoriasis.

Les petites écailles d’un blanc argenté se reforment lorsqu’on les gratte.

Sensation de piqûres de puces, en différents endroits du corps. Démangeaisons violentes.

Etude synthétique de la Matière Médicale (Revue Belge Homéopathie)

Les rubriques somatiques des plus représentées concernent le périnée : le rectum et les selles, les organes génitaux.

Le mental n’a que onze rubriques, l’item dominant étant bien sûr la compassion excessive envers les animaux souffrants, au point d’en ressentir la souffrance en soi-même.

Le lien entre les symptômes mentaux et les symptômes physiques est représenté par les troubles sexuels.

Les signes les plus originaux du remède

L’extraction actuelle au RADAR donne un total de 118 symptômes.

Nuphar est remède unique à cinq rubriques :

· diarrhée nocturne, de 4 à 7 heures du matin

· diarrhée nocturne, de 5 à 6 heures du matin

· manque d’érection avec perte de sperme, d’urine et d’excréments durant le sommeil

· éjaculations nocturnes fréquentes pendant le sommeil

· éruptions cutanées sous forme d’écailles argentées.

Hering résume ainsi les sensations particulières de Nuphar :

- secousses douloureuses : dans le côté droit du cerveau

- brûlures : à l’anus

- picotements douloureux : dans le rectum

- faiblesse : dans les membres

- démangeaisons : du scrotum et du périnée ; sur différents endroits du corps.

Diagnostic différentiel

En cas de faiblesse sexuelle :

· Agnus ; Kali brom. ; Lycop. ; Selen. ; Yohimbin.

En cas de diarrhée :

· Chelid. ; Gambog. ; Sulf. ;

· Nymphea odorata-Sweet water lily (nénuphar odorant) - diarrhée matinale et maux de dos ; leucorrhée âcre, ulcères malodorants ; bronchorrhée ; irritation ulcérée de la gorge.)

Synthèse

Loutan

Le plus grand plaisir de l’homme doit être d’obéir à la raison, plutôt qu’à son désir de plaisir sensible, car l’objet de la raison est plus noble. Nuphar isole le plaisir sensible du plaisir de suivre la raison dans une fonction orientée vers sa finalité. Les pensées voluptueuses qui comblent son imagination sont le châtiment d’avoir voulu le plaisir par un acte privé de sa finalité. (MS V.94)

----- N'a pas de structure propre, se laisse porter. Veut la satisfaction des sens par ses pensées, l'activité de son intellect.

Il ne cherche qu'à être bien sensiblement. Nie la non possession en ne prenant plaisir que dans ce qui est à portée de main. Ne se lève pas, impossibilité de subir l'attraction de la fin, d'entreprendre sa conquête. Absolutise ce qui est à disposition, y vit toute sa volupté. Son imagination est comblée, il y trouve tout son plaisir. (ST,Q3,a3 :"La béatitude est-elle une activité de la partie sensible de l'âme ou seulement de la partie intellectuelle ?) Ne se lie aux gens que pour le bien qu'ils lui apportent. Refuse que les sens ne soient que les serviteurs de la béatitude de l'intellect. Veut que l'activité intellectuelle soit servante du plaisir des sens, purement animale; que la béatitude parfaite soit ressentie par la sensibilité et reflue sur les sens en jouissance sensible, sans activité du corps. Voulant être comblé par ses seules pensées voluptueuses, il ne garde de son humanité que ce qu'elle a de commun aux animaux : la jouissance sensible. (AFADH I.94) Comme un chien à l'attache : sert d'homme à tout faire, sans jamais être rétribué. (FE III.94)

----- Pensées voluptueuses, souffrance par l’action. Veut obtenir la satisfaction des sens par les pensées, l’activité intellectuelle. Son imagination comblée le mène au plaisir optimal. N’accepte pas que les sens ne soient que les serviteurs de la béatitude de l’intellect. (AFADH VIII.93)

INHF 14^ème congrès

NUPHAR est dans la jouissance intellectuelle, son imagination comblée le mène au plaisir optimal.

M. Cousin

Nuphar n’aime pas l’école

Plusieurs cas encore dont le dernier est Nuphar sur chevaux