mon nom est personne (Kent). (Kent). (Kent). > debout (Kent).Fourmillement (Kent). 

éry 12/99.

Agnus castus – C. Ozanon, décembre 1999

”                                       èses)



CAS CLINIQUE PERSONNEL


OCTOBRE 99


ère me l’amenait essentiellement pour


èreès irritable, surtout le matin. Elle était également inquiète pour son peu d’intérêt à la vie, en dehors du sporté déplorable, participation à la vie familiale nulle… Les rapports avec ses deux frères, l’un plus jeune d’un an, le second plus âgé de 3 sont souvent conflictuels. Mais à 14 ans, nous sommes peut–être dans une certaine normalité. A travers le sport et le lycée, il a cependant une vie sociale riche et intense et je n’attachais pas beaucoup d’importance aux plaintes de la mère concernant son associabilité familiale, d’autant plus que je savais les parents en crise.
Le suivi sera régulier gérant les bobos bénins de la vie quotidienne.
Au fur et à mesure des consultations, je découvre un jeune dont la vie relationnelle est difficileès attentif à son image, il a beaucoup de és à s’investir affectivement, à créer des liens profonds.
à la maladie
’ambiance familiale se dégrade, et les parents divorcent. J’appris par la suite que durant ces 4 dernières années, les parents faisant chambre à part, V. dormait avec sa mère…
En juillet 93, alors qu’il a 23 ans et intègre l’armée pour y faire son service, ses difficultés psychologiques prendront des dimensions dramatiques. Il y vit très mal les contraintes, les ordres, l’entraînement qui est difficile, engagé dans les chasseurs alpins. Il se sent perdu, déconnecté. De plus, une rupture affective en octobre finira de le déstabiliserès dépendante de lui, vit très douloureusement son éloignement et préfère rompre. En novembre, après une rencontre de week–end, son amie se retrouve enceinte et décide d’avorter. A l’angoisse, le mal être, s’ajoute la culpabilité. A compter de cette période, commenceront une série de plaintes psychologiques et physiques incessantes.

De 93 à fin 98, je comptabilise plus de 50 consultations, sans compter les nombreux appels téléphoniques, les avis auprès des spécialistesérologue, cardiologue, neurologue, urologue, ORL, rhumatologue, ostéo, podologue, posturologue, dentiste travaillant sur l’occluso, médecins généralistes appelés en urgence… Il a toujours refusé une aide psychothérapique. Tous les appareils auront été explorés…



ériode, il aura une vie affective instable, incapable de se fixer dans une relation suivie par crainte de l’attachement. Vie professionnelleégalement difficileéchecs, indécision dans ses choix, il tentera plusieurs voies sans les poursuivre. Il survit en travaillant comme moniteur sportif et en vivant chez sa mère. 
C’est en septembre 97, à la suite d’une énième  répertorisation que je lui prescris 



       

  1. ’une ’être


ÊTE ôté, comme un
3. TÊTE ôté, comme un 


 

Alum.Calc.Kali–c.Nat–m.Puls.

 

 

11111

 

 

22323

 

 

31112
Il s’est senti littéralement transformé“’esprit”’aura plus de craintes au niveau médical n’ayant plus aucune manifestation physique.  Une relation sentimentale se confirme, des projets professionnels se précisent, il envisage enfin de quitter son milieu familial. Lors de la consultation nous réfléchissons sur son histoire et évoquons cette IVG“’avait donnée son corps, j’ai donné la vie et la mort s’en est suivie”.Nous n’avions jamais réabordé cet événement, moi–même l’ayant oublié… A l’époque, il avait peut–être même plus ou mois minimisé l’événement, il me semblait qu’il l’avait bien géré émotionnellement.    Je ne le revois qu’en juin 99, alors qu’il décompense à nouveau depuis février, suite à des conflits professionnels (sous payé, il revendiquait une augmentation qu’il n’aura pas’exclusion, d’être exploité…).  Cette fois les symptômes se portent au niveau de la gorge (gêne, sensation de corps étranger) et des yeux (inflammation, brûlure…). Il consulte 2 ORL différents, 2 ophtalmo… repasse des examens… L’un des médecins lui conseille un psy    Une dose en XMK en juin puis une en LMK en septembre amèneront une accalmie et une bonne diminution de la fréquentation des médecins qui était de l’ordre de 2 à 3 fois par semaine.    Il m’évoque alors des “” dont il ne m’avait jamais parlé“’ai depuis longtemps besoin de vérifier la fermeture du gaz, de l’électricité… Avant je devais refaire les gestes. Maintenant, de voir que tout est en ordre me rassure. C’est comme si j’avais une difficulté à réaliser que les choses étaient réelles, j’ai besoin de vérifier…”.    Sa sexualitéée, 2 enfants… elle n’envisage aucunement de quitter son mari et il en est bien conscient. Il a des besoins quotidiens, et se masturbe si sa compagne n’est pas disponible. “’est toujours moi qui “”, et c’est très bien comme ça”. Il aspire cependant à créer une famille, avoir des enfants…    RESUME CAS CLINIQUE du Dr Alfons GEUKENS

(présenté en vidéo en 90. Sources CLH)

’énergie, ne s’intéresse à rien, triste.

“ Je manque d’émotions, je suis indifférent, rien ne m’excite. Je m’allonge toute la journée… Je ne me souviens de rien. Je me souviens mieux des chécentes qu’anciennes. Je ne peux pas me concentrer. Hier, j’ai commencé un livre. Je ne me souvenais pas de ce que j’avais lu, j’ai recommençais pl”. “ Zéro, aucun intérêt. Quand je compare avec avant, ce n’était pas comme cela. Maintenant, il existe les vidéos, la télévision, par exemple le “”, le samedi. Je peux regarder mais ça ne me provoque rien… Quand je me sens si misérable, je vais me masturber. De temps en temps, j’ai un rapport avec ma femme. Je dois alors utiliser un langage lascif, des ho’exciter et avoir une érection ”. Il dira également que son pénis est froid parfois et que ses testicules sont durs. ’AUTRE“ C’est très important ce que les gens pensent de moi. Quand je dois aller quelque part, j’ai des douleurs d’estomac. ’aime pas que les gens fassent attention à moi ”. RESUME CAS CLINIQUE de Marc BRUNSON

Cas du Berger Allemand “”. Désobéissant, provoquant, excité sexuellementépied suffisant pour prescrire Agnus. MATIERE MEDICALE


Avertissementère Médicale réalisée à partir d’une extraction de Synthésis (Radar). Les rajouts personnels de Hering et de Allen T. sont tirés des Matières Médicales. Les symptômes non référencés sont de Kent

En police simple° degré. En italique° degré. En gras° degré En gras et italique° degré (Hering). Symptômes soulignésède unique. Il s’agit d’une présentation “égée” du texte intégral, lequel est disponible sur demande. “énacées… Il était considéré, chez les Grecs comme utile à ceux qui font vœu de la chasteté, et leurs femmes, pendant l’absence de leurs maris, couvraient leur lit de ses feuilles : aussi lui donnaient–ils le nom de Agnos qui veut dire chaste, auquel on a associé plus tard le nom latin de Castus qui a le même sens” (Lathoud).

SYMPTOMES PSYCHIQUES

REGROUPEMENT PAR THEMES

Thème de l’anxiété, de la mort    C’est un anxieuxà propos de la santé (Vithoulkas), c’est un hypocondriaque (Vithoulkas, Boger). Il a peur d’une maladie prochaine, d'être incurable (Boericke). Il doute de guérir.été, peur et faiblesse (Hering).    Troubles par anticipation (Boger, Kent, Schmidt).    Les réveils sont fréquents, état d’alerteIl a peur au réveil, et se réveille effrayé (Roberts ). Sursaute, tressaille pendant le sommeil.    Peur de la mort, peur d’une mort prochainePressentiment de mortcroit qu'elle mourra bientôt et qu'on ne peut l'aider ; sensation de mort. Prophétise, prédit l'heure de sa mort (Vithoulkas).     Tendance suicidaire, pensées de mort. Désire la mort.    Se sent vieux dans son esprit et dans son corps, délabrement général (Vithoulkas).    Son anxiété est ressentie dans la poitrine, dans la région du cœur, < par la fumée du tabac (Boericke).  Thème de la tristesse, du découragement, des remords    Tristesse– le jourête (Hering, Knerr). Morose (Allen T, Boger, Kent).     Tristesse après disparition du lait (Stauffer) ’elle va mourir    Indifférence, apathie– aux choses extérieuresé.     Découragéalternant avec arrogance. Las de la vie. Résignation (Boger, Stauffer).     élancolie, humeur hypocondriaque durant toute la journée’impression que rien n’existe autour de lui ; il est tout le temps insatisfait de lui–mêmeà la moindre occupation’environnent lui sont totalement indifférentesà se retrouver incapable de réfléchir (Allen).    Remords. Dégoût, répugnance de la vie. Désir d'être tranquille.  Thème de la colère, de l’exaltation, du délire    Colère. Désobéissance.     à se mettre en colère, irritable (Hering).    Mécontent. Excentricité (Allen T). Loquacité. Extase. Excitation. Allégresse. Allégresse alternant avec tristesse.     Humeur alternante. Humeur changeante, variable.    Rage, fureur (Knerr). Rage, fureur, érotomanie, le matin au lever (Allen T). Délire (Knerr). Démence sénile (Stauffer). Hystérie. Hystérie lascive (Knerr).    Folie puerpérale (Boger, Stauffer). Manie puerpérale (Boericke). Thème de la mauvaise image de soi–même    Mépris envers soi–mêmealternant avec excentricité (Jahr).    Manque de confiance en soi. Lâcheté. Mécontent de soi. Thème de la perturbation des perceptions    Illusions’il n’est personne (Roberts). ’impression de n’être personne, et  préférerait être mort plutôt que d’avoir ce sentiment’envahit, il n’a pas le courage d’entreprendre la moindre choseît, il se sent exalté, voudrait lire comme un grand orateur, etc. [a1] (Allen).    Doute de l'existence des choses, de l’existence de son environnement (Roberts).    Les objets semblent tourner en cercle.    Illusionsête tombe en avant (Roberts ), tout tourne dans un cercle (Roberts).    Illusions que l'atmosphère était lourde et oppressante dans la pièce (Roberts).    Illusions de richesses.    Illusions olfactives (Boericke), d’odeurs agréables, de bière fermentée, de saumure, de musc. Thème des difficultés de l’intellect    < par l’effort intellectuel. Aversion du travail mental. Travail mental impossible (Jahr, Stauffer). Sorte d’engourdissement dans la tête (Vithoulkas). Sensation d’obnubilation dans le front (Roberts).    Esprit lourd. Confusion d'esprit. Manque d'idées. Prostration. Imbécillité (Boger).    Imaginations, exaltation de l'imagination.        ême distractionémorer les choses’il connaissait bien et qu’il aimait, il ne savait plus quelle carte jouer, ou ne connaissait même plus les règles du jeu, [a6]     Faiblesse de mémoire– pour les affairesès sexuels (Boericke).     Oublieux– s'en va et laisse ses achats. Incompétence pour les affaires. Etourdi. Thème de la sexualité chez l’homme    Pulsions érotiques  forte libido – (Boger, Gallavardin, Vithoulkas). Suite d’excès sexuel (Schmidt). Obscénité, lubricité. Masturbation avec démence (Boericke).    Jouissance extrême pendant le coït (Stauffer), mais il peut présenter une éjaculation précoce (Boericke), ou une émission de liquide prostatique en caressant une femme.    Ses troubles peuvent aller jusqu’à une impuissance pendant le coït ou une éjaculation incomplète (Allen T, Boger).     Désir sexuel diminué. Aversion pour le coït.     Désir sexuelé sans érection; – excessif (Boger)é.    ésir, mais les parties sont flasques. Après un rapport, émissions séminales involontaires durant la même nuit, avec érection prolongée     Erections incomplètes sans désir (Allen T)    Erections fréquentes; – gênantes (Boger, Jahr).    Erections violentesau lever (Allen T).    Érections absentes (impuissance)(Allen T)ès gonorrhéeénis petit et froidésir sexuel (Knerr) – après excès sexuels (Kent, Knerr).    énis relâché, au point que des fantasmes voluptueux ne provoquent aucune érectionète de tout désir sexuelénis est petit, flasque et froid    Si l’éjaculation peut s'écouler en torrent (Allen T), elle peut avoir peu d’odeur (Allen T) ou même être inodore (Boger).     Les pollutions > en général. Mais pollutions après le coït ou sans érections (Stauffer), après la masturbation (Stauffer), après les excès sexuels (Knerr, Stauffer) ou même pendant une selle difficile ou suite de faiblesse (Knerr).     “à des désirs pervertis, il se retrouve incapable d’avoir des rapports sexuels normaux. De plus, il y a un manque de plaisir à vivre (dépression, découragement) plus un sentiment de fatigue et le sentiment d’avoir gâché les meilleurs moments de sa vie. Après de nombreux excès sexuels s’installe une impuissance mais il persiste des fantasmes sexuels ayant souvent recours à la masturbation comme seul exutoire. L’homme Agnus peut présenté simultanément une faiblesse sexuelle et une extrême excitabilité sexuelle, si bien qu’il peut avoir une émission séminale en cajolant simplement une femme. Au début de cet état d’impuissance, il est si effrayé qu’il se masturbe pour vérifier s’il est toujours capable d’avoir une érection, mais les résultats de cette masturbation sont dévastateurs et épuisants. Devient incapable de la moindre excitation. Cas rapporté par Hughes *, d’un homme marié qui ne voulait pas avoir d’enfant. Il a pris pendant 3 mois 12 grains d’Agnus, matin et soir. Il a à la suite de cela des problèmes d’érection et, comme il l’avait souhaité, il n’a plus eu de sperme et n’a jamais eu d’enfant” (Vithoulkas). * Note personnelle Thème de la sexualité chez la femme    Désir sexuelé (Boger, Stauffer)ée lors du coït (Boger, Stauffer). érie, avec érotomanie maniaque (Hering).    Aversion pour le coït. Désir sexuel diminué. Absente de jouissance lors du coït.     Tendance à la masturbation.

SYMPTOMES PHYSIQUES
MATIERE MEDICALE PAR APPAREIL

VERTIGE

   Vertige en marchant, lors de l’effort intellectuel, avant règles.    Les objets semblent tourner en cercle. TETE    Froideur, frilosité, etc.     à la lecture (Hering).    Lourdeurête allait tomber d’un côté, en regardant sur le côté. La tête’engourdissement dans la tête (Vithoulkas).    êtreéchirante… (Hering)sourde et profonde… (Hering)pulsatile dans l’occiputà type de pression, piquante (aiguilles), déchirante qui fend (arrache) < au mouvement, dans le front, dans le vertex.    Elle peut être dans le front alternant avec une douleur dans l'occiput, sur les côtés < au toucher    à la tempe comme après avoir reçu un coup (Hering), au vertex. éphalée à la partie supérieure de la tête, comme si on était resté dans une pièce sombre et confinéeChocs dans les tempes.    Prurit (démangeaisons) du cuir cheveluen allant dormir– mordant. ŒIL    Douleur brûlante (en lisant), rongeante, piquante en frottant (Allen T).    échirante au dessus de l’œil et de la tempe droits, comme si on avait reçu un coup sur l’œil, avec sensibilité au toucher, < au mouvement, < le soir, durant plusieurs jours (Hering).    à la partie supérieure de la tête (Hering).    Photophobie. Vue floue (trouble, faible) avant les règles.     Opacité de la cornée. Pupilles dilatées.    Éruption, près des yeux. Démangeaisons (prurit), près des yeux OREILLE    Chaleur.    Bruits dans l'oreille de sonnerieementé de l’ouïe (Hering).    Douleur tiraillante dans la glande parotide à gauche, à droite (Hering). NEZ    Douleurà la racine du nez.     Douleur constante et sourde, pressantepar la pression ; – à la racine. Douleur de contusion, à l’intérieur, à gauche.    Épistaxis le matin (Boger, Vithoulkas).    Démangeaisons, prurit au bout du nez. Éruptions sur le nez. Érysipèle à gauche.    Odeurs, imaginaires et réelleséablesde bière fermentéede musc. VISAGE    Chaleur.    Fourmillement (titillement, picotement) dans les joues et lèvres. Prurit (démangeaisons, chatouillement) mordant, piquant (= piqûre d'insecte).ûre suivie de prurit avec de fins picotements (Hering).    Douleur déchiranteà droitedans la mâchoire inférieure.    ’une ou l’autre joue, obligeant à se gratter (Hering).    èle sur la joue gauche, s’étendant à partir du nez sur toute la face et la tête (Hering). BOUCHE    Sécheresse. Goût amer, métallique.    Mucus (mucosités, bave etc.) visqueux. Salive visqueuses'écoulant en filaments.    Langue blanche. Voile du palais (velum), rouge.    échirante dans la branche droite de la mâchoire inférieure, sous la cavité articulaire (Hering).    Furoncle sur les gencives,petits, près de la canine supérieure gauche, douloureux au toucher.     Ulcères.  DENTS    Douleur par les boissons et aliments chauds, en marchant au grand air.    échirante et battante, au niveau de la canine gauche, petit furoncle près de la dent, très douloureux au toucher, par crises GORGE    Mucus adhérant (tenace). Sensation de grattement. émangeaison corrosive au creux de la gorge (Hering).    Sensation de lambeau de peau qui pend dans la gorge, et il doit déglutir. ESTOMAC    Appétit diminué. à manger, mais la nourriture ne passe pas (Hering).    Aversion à boire. SoifAbsence de soif. Absence de soif pendant la chaleur (fièvre) (Boger).     Éructations (renvois) d'eau comme de l'urine (Vithoulkas).     à se mettre en colère, irritable (Hering).    Nausée’abdomen, après avoir mangé, en étant debout. ée comme après avoir mangé des aliments gras (Hering). Vomissements pendant la céphalée.     ée au creux de l’estomac, en position debout’abdomen, avec la sensation que les intestins font pression vers le bas    Douleur en étant assis, penché en avant. étant assis penché en avant (Hering). ABDOMEN    Lourdeur (= comme un poids, une charge). Flatulence. Gargouillement pendant le sommeil.     ’abdomen pendant le sommeil. Abdomen sensible à la pression. Gaz incarcérés    ès les repas. Nausée au creux de l’estomac après manger. L’ingestion de nourriture apporte une sensation de malaise et de réplétion. Les boissons et les aliments chauds provoquent des douleurs dentaires    Douleurègles.     Douleur coupantedans la région iliaque, tiraillante’hypogastre, piquante (aiguille) dans la région inguinale.     Douleur au foie, en faisant de l'exercice. égion du foie, < au toucher (Hering).    Douleur de contusion au niveau de la rate. Hypertrophie de la rate. Gonflement de la rate. Dureté de la rate.égion de la rate    Prurit (démangeaisons) dans la région inguinale.      Hydropisie, ascite.     ’affaissent, besoin constant de soutenir son ventre avec ses mainsérine (Hering).    ègles supprimées (Hering). RECTUM    Constipationselles difficiles, selles molles qui remontent dans le rectum (selles à ressort). Selles dures. Selles volumineuses. Selles molles. Inactivité du rectum.    Gaz (flatulence) bruyants (sonores)fétides, d’odeur ammoniacale, comme de l'urine (Phatak).    Diarrhée, chez les enfants.     ée chronique des adultes. Sensation de diarrhée imminente, en position deboutération difficile d’une selle molle. Prostatorrhée lors des efforts de défécation.    ’irritation sous la peau autour de l’anus, uniquement en marchant. Prurit corrosif au périnée, prurit phtiriasique    Fissure. Excoriation.    Douleur comme une meurtrissure (contusion). Spasme, saccade. Sensation de faiblesse. Douleur du périnée (Boger).     Vers, oxyures, oxyurose.      APPAREIL GENITAL FEMININ    Leucorrhéepurulente (Boericke, tachant le linge (Knerr), jaunâtre tachant le linge (Knerr).    ée transparente s’échappe imperceptiblement des énitales très relâchées. Leucorrhée, peu abondante, mais tachant le linge en jauneègles supprimées    Règles en retard, absentes (= aménorrhée). Premières règles retardées chez les jeunes filles (ménarche). Règles supprimées. Règles en faible quantité (Boger).     ègles supprimées, avec douleurs tiraillantes dans l’abdomen (Hering).    Règles prolongées, douze à dix–huit jours (Knerr)Métrorragie.     ègleséphalée, vision obscurcie. Pendant les règles    Troubles après accouchement (Jahr). Rétention du placenta.     ’elle va mourir. Suppression du lait au retour de couches, ou pendant la période d’allaitement    “’était adonnée sans retenue à l’onanisme et s’aperçut après son mariage qu’elle n’éprouvait aucune émotion sexuelle, fut guérie par ce remède. Plus tard, après un accouchement, la montée laiteuse ne se produisit pas : se fut encore AGNUS CASTUS qui déclencha la sécrétion lactée attardée, au bout de trois semaines” (Matière Médicale, Kent).    Prolapsus de l’utérus. Relâchement du sphincter vaginal.     Stérilitésans désir sexuel (Knerr). érilitéègles et de désir sexuel (Hering).    Inflammation de l’utérus. Gonflement (enflure) de l’utérus.     éfaction de l’utérus APPAREIL GENITAL MASCULIN    Écoulementavec impuissancecomme la gonorrhée, muqueux, blanc chronique, jaune, purulent, visqueux.     ée, avec absence de désir sexuel ou d’érections    Gonflement des testicules. Picotements (titillement) des testicules. Transpiration du scrotum.     és, durs et douloureuxénis petit et flasque. Tiraillements dans le cordon spermatique    Inflammation. énitaux (Hering). VESSIE    Douleur. Miction, jet vigoureux. Miction fréquente la nuit.     ève deux fois la nuit et parfois une fois pendant la sieste. Pendant la miction, douleur tantôt dans le bas de l’abdomen, tantôt dans les reins URINE    Brûlante. Trouble. De couleur brun foncé    ûlure et pression dans l’urètre. ée. Ecoulement jaune venant de l’urètre.  LARYNX ET TRACHEE    Voix atone. Irritation des voies aériennesée.     ée comme si elle était filtrée par de la laine (Hering). RESPIRATION    Difficilele soir. Respiration difficile en montant des escaliers. TOUX    Affligeante. Sèche et pénible. Rauque. En allant dormir. < couché au lit. Provoquée par une irritation des voies respiratoires. Toux qui donne un bruit de raclement, de grattement dans le larynx.    ’endormissement, ramenant du sang puis des mucosités abondantesès paroxystiques, avec des palpitations et épistaxis, surtout le matin’air froid. (Hering). EXPECTORATION    Difficile. Consistante. Visqueuse. Muqueuse, le soir. Sanguinolente (= crachement de sang). Goût métallique.      POITRINE (THORAX)    Anxiété dans la poitrine, dans la région du cœur, < part la fumée du tabac (Boericke).     Douleur à l’aisselle (région axillaire). Douleur pressurante à l'aisselle. Douleur à type de pression à l’aisselle droite. Sensation de douleur rongeante, corrosive dans l'aisselle (Boger). Prurit, démangeaisons à l’aisselle.     Oppression en montant. Oppression à la respiration profonde. Douleur comme une pression au sternum.     ïde, juste au–dessus du creux de l’estomac (Hering).    écheresse dans la poitrine (Hering).    Agalactie.ée.  DOS    Fourmillement. Douleur en étant debout.     Craquement dans la région cervicale. Douleur de pression dans la cervicale région. Prurit (démangeaisons) dans la région cervicale.     Douleur au coccyx. Douleur piquante (élancement), – dans la région sacrée, – au coccyx.     ées par des gaz (Hering). EXTREMITES    Nodosités arthritiquesDouleur goutteuses des articulations. Douleur rhumatismale des articulations    Gonflement des articulationsle soir; – de la jambe, – le soir.     Froideur. Froideur du genou, – le soir.     Lourdeur de la cuissedu pied droit.     Douleur tiraillante, paralysante de la jambe. Douleur paralysante    Douleur constante et sourde de la jambe (tibia), – debout.     Douleur de la hanche [coxalgie] gauche. Douleur coupante de la hanche, – de la hanche droite.     çante à l’articulation de la hanche droite, < pendant le mouvement, > au repos.    Douleur tiraillante, de pression, d'élancement, de contusion. Douleur piquante, déchiranteéchirante de l’épaule à l’inspirationdes doigts, des articulations des doigts, avec des nodosités goutteusesdes orteils.     Douleur comme si l’articulation était disloquée (Roberts). Douleur comme d'une entorse de l’articulation.és    Fourmillement de la main. Transpiration de la main, – au grand air, – en marchant au grand air, Transpiration seulement, uniquement sur les mains. SOMMEIL    Comateux. Profond (Boger).     Insomnieatin.    Agité. Réveil fréquent.     éveils fréquents, état d’alerte    Peur au réveil. Inquiet au réveil (Knerr). Réveillé comme par frayeur. Il était réveillé en sursaut (Roberts). Il n’allait jamais se réveiller (Roberts).    Somnolence.  REVES    Nombreux (Boger). Agréables. Oubliés.     Érotiques (Clarke). Angoissants. Affreux, effrayants.  FIEVRE    Fièvreès être sorti du lit.    Alternant avec frissons. Chaleur externe avec frilosité.     é interne, avec des tremblements, peau chaude. Alternance de frisson et de chaleur. é généralisée, mais seules les mains paraissent froides au toucher. Bouffées de chaleur brûlante, essentiellement à la face, avec genoux froids TRANSPIRATION    La nuit (= 22      PEAU    Froideur.     Coloration    Éruptions    Gale supprimée par le mercure et le souffre.    Fourmillement (sensation de reptation). Inflammation.     Démangeaisons (prurit)ûlantesinchangé par le grattageûre d'insecte).     Douleur rongeante. Morsure (piqûre). Sensation de piqûre. Tension.    Gonflementéeséqûre d'insecte).     Ulcèresésésémangeaisons (prurit) ça et là autour avec douleur rongeanteenflés.     égage une odeur forte et piquante, qui provoque un engourdissement de la tête et une céphalée, suivie de vomissements et de tremblements (Hering). Thèmes physiques retenusdu mouvement,  de la marche, de la station debout, de tomber, du toucher, du regard, de la pression, de la douleur sourde et profonde, de la lourdeur, de la constriction, de la douleur piquante (aiguilles), de la douleur déchirante, de la douleur coupante, de la douleur tiraillante, de la douleur rongeante, de la douleur mordante, de la brûlure, du prurit, de l’éruption, du froid, de la chaleur
N. B.“érapeute allemand dit d’Agnus castus“écentes sur cette substance ont prouvé qu’elle a un effet inhibiteur sur le lobe antérieur de la glande pituitaire qui contrôle la production des hormones dans les gonades. Actuellement Agnus est utilisé pour des cas de menstruations trop abondantes ou trop fréquentes et semble spécialement indiqué pour les troubles prémenstruels (tels que céphalées, sensation de tension dans les seins, dépression, gonflement de la partie inférieure des jambes). En Allemagne, Agnus sous la forme de “” est fréquemment prescrit pour des troubles menstruels par des allopathes. Agnus agit également sur les myomes hémorragiques”. (Rapporté par Vithoulkas).  

DISCUSSION

AFADH (13/02/90)

Sa souffrance il n'est personne, il préférerait être mort qu'avoir cette sensation. Egolyseil n'a pas le courage d'entreprendre. Confusion intellectuelle. Il ne sait pas quelle carte jouer. Hétérolysehaine pour les liens existant entre les autres personnes. Egotrophie il voudrait lire comme un orateur. Le châtimentl'isolement. Il n'est plus personne ni pour lui, ni pour les autres. Il est exclus de l'amour. La mort. La perfection divine qu'il convoite trouver en luiême sa perfection personnelle et toute relation. Ce qu’il faut lui expliquerse sentir n'être personne n'est qu'une impression, qui ne doit pas le décourager de rencontrer l'autre.

Guy LOUTAN a perdu sa pureté: sent comme s'il n'était personne, que rien n'existe autour de lui, à part son propre problème, mieux vaut être mort que cette sensation. Doute de sa réalité, des choses, n'est pas dans ce qu'il fait. Fataliste. Insatisfait de soi, ou parle comme un orateur quand ça va mieux en lisant la pensée de l'autre: il enseigneprêche et ne reçoit rien. Incapacité de recevoir de l'autre, voudrait se suffire à soi–même. Exalte sa sexualité mécaniquement, sans pensée ni désir amoureux, comme pour prouver qu'il est capable de relation. Voudrait trouver en lui–même sa perfection personnelle et toute relation. Excitation, excentricité, arrogance alternant avec mépris de soi, déchéance, rit de son triste état. Haine pour les liens existant entre les autres personnes. Tristesse après sevrage et lactation.(AFADH II.90) ède qui sidère les réactions de ceux qui refusent d'admettre les règlements, qui ne supportent pas les réprimandes et qui sont prêts à transgresser toutes sortes d’interdits par provocation…Spécialement employées dans les monastères, les graines deviennent “”. îne et Agnus Castus ne peut supporter cela”.

REFLEXIONS DU GROUPE DE MARSEILLE Symptômes caractéristiques retenus. Mots clés.

   Agneau    Refus du lien véritable, agalactie, couper le lien. Ejaculation précoce en caressant une femme (avant la pénétration), incomplète après le coït, jouir seul, aversion au coït.    Déchéance intellectuelle, délabrement mental. Se déprécie, méprisable, ne suis rien, faiblesse, manque d’intérêt, tristesse après disparition du lait. Relâchement des mœurs … et des parties génitales. Pas d’érection, sauf le matin. Faiblesse et manque d’intérêt.

   èvement, effort musculaire et tendineux.    Il ne peut profiter du plaisir au bon moment (cf. la sexualité).    Besoin de sensations fortes pour se prouver qu’il existe.

   Enfreint les tabous, au–delà des limites.    Rien n’existe autour de lui et lui–même n’est personne.    Illusion de richesse (orgueil par rapport aux autres  Souffrance (illusion de base)    Incapacité à créer des liens, pas d’investissement émotionnel dans la relation.    Reste dans un état d’indifférence, refuse la relation à l’autre.     Il vit seul avec les autres (utilisé pour préserver la chasteté des hommes vivant en communauté)ées  avec impossibilité ou refus de relations sexuelles normales (pour l’homme comme pour la femme).    Il se méprise. Honte.