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BRUCELLA   MELITENSIS

HISTORIQUE

La Brucellose ou  fièvre de Malte a été individualisée en 1863 , à Malte par MARSTON , puis le germe a été identifié par BRUCE dans le foie d’un soldat mort de brucellose en 1883 ,et le mode de contamination établie par ZAMMIT en 1903.
La première observation française est due à DANLOS en 1908



EPIDEMIOLOGIE

La brucellose est une anthropozoonose largement répandueérilités chez les animaux .tant domestiques que sauvages.


L’OMS dénombre environ 500beaucoup diminué suite    à la vaccination  animale,(celle des bovins est interdite actuellement) à la pasteurisation du laità l’abattage des animaux contaminés et à la désinfection des lieux d’élevage.,.




Il existe plusieurs genres de Brucella selon l’espèce infectée
B. mélitensisèvre, mouton, chameau ( pays méditerranéens, asie, amérique latine)
B. abortus      : vache, buffle, chameau, yack (cosmopolite)

B.suis             : cochon  (cosmopolite)
B.canis           : chien ,lièvre  chevreuil coyote …   ( cosmopolite)
B. cétacées 
B. néoformae


L’homogénéité génétique est grande et on peut considérer qu’il ne s’agit que d’une seule espèce.
Les  4 premiers genres peuvent infecter l’homme, et parmi eux Brucella mélitensis est le plus virulent.Brucella. suis donne souvent des lésions suppuratives destructrices 

A l’extérieur de l’hôte  ,  Brucella survit  de 32 jours en milieu sec non organique jusqu’à 135 jours en milieu sec organique. 

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La contamination la plus fréquente est directe par pénétration cutanéo–muqueuse(contact directe avec un fluide infecté d’ une zone cutanée abrasée ou par aérosol) ,à partir des animaux infectés , (70% des cas), ou d’éléments de leur environnementère, fumier.

Sont concernés équarisseurs , fermiers, ainsi que vétérinaires et personnel de laboratoire par inoculation accidentelle du vaccin ou de sang contaminé

Contamination indirecte ,é
Contamination interhumaine  exceptionnelle , quelque cas par allaitement , transfusion sanguine , relation sexuelle


BACTERIOLOGIE
.

Brucella mélitensis sont des bacilles G– , aérobie, asporulés, immobiles , intracellulaire  .


Brucella met en échec certains mécanismes de défense de l’organisme’y maintenir
– Il se multiplie dans les macrophages, 1ière ligne de défense, en inhibant la fusion phagosome lysosome pour des raisons inconnues à ce jour(c'est–à–dire que la vacuole de phagocytose s’effectue bien mais 15 à 30% des Brucella résistent aux lysosomes de la cellule phagocytaire qui sont chargés de les désintégrer ) 

– bien qu’il y ait production d’Ac, ceux–ci ne parviennent pas à éliminer les Brucella ces anticorps ne sont actifs que si leur concentration  est basse , c'est–à–dire au début de l’infection., puis bien que leur taux augmente , cela n’entraîne plus  la destruction des Brucella.
– une immunité de type cellulaire se met  alors en place avec formation de granulomes qui à défaut d’éliminer l’envahisseur le maintiennent dans des foyers bien délimités et cachés  cela entraîne des manifestations d’hypersensibilité retardée  qui rendent compte de la majorité des symptômes cliniques de la brucellose chronique
Donc à la différence du bacille de Koch il n’y a pas de destruction tissulaire au sein des granulomes , la maladie chronique est due principalement  à une réaction d’intolérance de l’hôte.


CLINIQUE


 Après inoculation , les Brucelles migrent par voie lymphatique jusqu’au 1er relais ganglionnaire (gg mésentérique , si  porte d’entrée digestive)phase d’incubation
généralement silencieuse dure entre 8 et 15 jours .puis


Phase de brucellose aiguë septicémiqueà partir du gg colonisé, les brucelles gagnent par voie hématique d’autres groupes ganglionnaireséticulo–endothélial
Cliniquementèvre ondulante, sueurs, douleurs diffuses (muscles et articulations), augmentation de volume du foie ,de la rate,des ganglions.
Cette phase dure 2 à 4 mois en l’absence de traitement.


Phase secondaireê focalisée
Avec constitution de foyers isolés ou multiples ostéoarticulaires,(spondylodiscite, atteinte sacro–iliaque), hépatosplénique, méningite, endocardite, orchiépididymite.

Phase tertiaireétat d’hypersensibilité 
Avec une symptomatologie générale à type asthénie etévolution torpide des foyers
–90% des cas anorexie , faiblesse , malaise, perte de poids

–douleurs articulaires colonne vertébrale , + rarement gonflement articulaire
– syndrome neuro psychiques malgré la rareté de l’invasion du système nerveuxête, dépression, vertiges, rétention urinaire, polyradiculonévrite …
– manifestations respiratoiresée 19% des cas avec atteinte pulmonaire  associée
– symptomes gastro intestinauxée , constipation, vomissement
hépatite granulomateuse ( ces granulomes n’ont aucune spécificitéérentiel avec sarcoidose, hépatite médicamenteuse,connectivite…)
– atteinte cutanéeème noueux, abcès
– NFSénie, anémie.

Le Dr PHOU SOUK ALOUN dans un excellent article paru dans la Revue Belge d’Homéopathie,en 1991, relate son expérience comme clinicien (d’après ses observations et celles de Philippe Cayrel, Claudine Pepey, R Schmidt
      
Il  résume la brucellose chronique en ces termes
«épressif, irritable parfois colérique, anxieux et désespéré de son état (…) tendance à la transpiration avec parfois une odeur caractéristique de paille pourrie,des troubles de la thermorégulation , le malade se plaint beaucoup des articulations (douleurs erratiques), de la têteégion lombaire reste la localisation la plus fréquente, une autre à connaître est la face postérieure de l’avant bras et de la main (douleur avec enflure des tendons extenseurs des doigts)
la tendance aux infections ORL (angines et amygdalites d’un seul côté’un côté à l’autre ) et respiratoires récidivantes, des troubles digestifs notamment , le ballonnement douloureux post prandial, et la colite à selles molles ou liquides sont des symptômes caractéristiques de la brucellose chroniques mais souvent ignorés comme tels.
(…)
les malades éprouvent parfois une sensation curieuse comme si une partie du corps ( yeux , mains …) grossissait , s’enflait ou s’empâtait.

Le caractère paroxystique (le médecin doit conserver son calme en sachant que la crise s’arrête tout aussi brutalement qu’elle avait commencé)cyclique, et alternant des symptômes est toujours retrouvé.»


donc maladie au cents visages,rarement mortelle , ( 5% des cas  par  envahissement SNC ou par endocardite) mais handicapante, parfois maladie asymptomatique de découverte sérologique


Le délai diagnostique varie entre 3 à 12 mois



DIAGNOSTIC


Par culture de tissu, de sang , de moelle osseuse (sensibilité 80%),  par sérologie.

Le diagnostic sérologique se fait par la séroagglutination de Wrightrésence d’Ac de type
 Ig M >1/80,  le taux diminue entre 4 et 8 mois (réaction faussement positive avec Yersinia)
Par immunofluorescence indirecte qui identifie les IgG et IgM , reste  positive pendant 18 mois
Au dela ,par l’intradermoréaction à la mélitine , difficile à réaliser par manque d’allergènes



Le traitement classique, qui n’est efficace qu’aux premiers stades fait appel aux AB ,  Marc lors du séminaire d’automne de 2003, nous a révélé une recette utilisée par les anciens vétosération du Chardon Béni dans du vin blanc , neutralisait les accès dans l’heure qui suit

.
BIOTERRORISME

Enfin dernier point intéressant Brucella a été le 1er microorganisme que les USA ont choisi comme arme bactériologique .
Il fut choisi car  léthalité basse, facilité à manufacturer, susceptibilité à la lumière du soleil.

Cet agent pouvait être dispersé la nuit et atteindre les personnes qui étaient dehors, soit une armée sans atteindre les civils qui étaient chez eux  , et la bactérie étant détruite par le soleil elle n’affecterait pas la population . Des essais ont été fait en 1950( quelle délicatesse les temps ont bien changé …)





PATHOGENESIE



Brucella melitensis , brucella suis (lysat de bactéries ) et la mélitococcinum (filtrat de cbactérienne) étaient utilisés  depuis longtemps dans des cas de brucelloses chroniques,(cf  R. Schmidt, Nusbaum– Fournier)  mais on doit à Phou SOUK ALOUN  un proving avec Brucella mélitensis 30 CH sur 10 provers homme et femme adultes jeunes . Les provings ont duré de 83 à 88, et le suivi des provers et des malades s’est étalé sur plusieurs années


JULIAN avait fait une courte pathogénésie clinique de Mélitococcinum

Le Dr Phou SOUK ALOUN exerçant dans les Cévennes a pu observé des cas de brucellose chronique et constaté que l’expérimentation homéopathique avait donné des symptômes très proches de la Brucellose chronique
 «’une manière frappante , l’évolution naturelle de la maladie est représentée en raccourci dans le proving’abord les symptômes de gorge et les douleurs , puis les symptômes colitiques et les troubles des règles .»
Son expérience clinique lui a montré que Brucella était actif sur les problèmes de gorge (plus que Mélitine ) mais guère sur les syndromes colitiques
.
SYMPTOMES PATHOGENETIQUES:

Les symptomes de la pathogénésie de Mélitococcinum ont été inclus avec ceux de Brucella 30 CH

Psychisme


Tristesse , dépression, incapacité à entreprendre quelque chose,
 manque de contrôle émotionnel ,pleure pour un rien
appréhension,indécision et doute de tout
   
envie de voir personne mais redoute la solitude

> par compagnie ou activité 
impression désagréable d’être molle , lente , comme dans du coton
apathique , esprit lourd et mauvaise humeur ,surtout le matin
oublis pour les choses à faire
irritabilité , nervosité , instabilité émotive ,( chez malades de la brucellose chronique,  parfois l’irritabilité se manifeste de manière explosive , inattendu , avec même paroles grossières puis le patient fait comme si de rien n’étaità l’image des crises brutales qui disparaissent tout aussi brusquement)
dépression cyclique 

alternance d’agitation  et de faiblesse ..


Rêves
D’accidents sanglants, de blessés, de querelles
,rêves avec vertiges


Sur le plan physique on trouve tous les symptômes décrits en cliniqueavec beaucoup de manifestations douloureuses du dos et membres ,et des manifestations digestives de type ballonnement , constipation ou diarrhée, des douleurs de gorge avec aphtes de la face interne des joues , parfois unilatérales , ou d’ un côté puis l’autre.
Pas d’appétit mais grande soif

parmi les symptômes physiques moins banaux

sensation d’avoir les yeux grands ouverts, comme écarquillées
éternuement violents entre 22 et 23 heures
démangeaison du bout du nez toute la journée

ballonnement et douleur cédant brutalement avec un bruit comme s’il faisait un pet dans son ventre 
urine beaucoup en buvant peu 

règles excoriantes  avec ,irritation de la moitié G de l’anus (mélitine 30 CH)
douleurs précordiale irradiant aux membres supérieurs et finissant par une enflure des mains,  (Mélitine 30CH)
desquamation des paumes

impression d’avoir des mains énormes

transpiration à odeur de paille pourrie des bergeries (symptômes servant au diagnostic de la fièvre de Malte dans les Cévennes)
sensation de froid qui descend pdt malaise avec bref vertiges

froid et frisson dans le dos descendant dans les bras jusqu’aux doigts et les cuisses avec chaleur des joues
éruptions de 2 vésicules sur fond érythémateux sur la face dorsale du 2ième espace intermétacarpien


Modalités générales
Périodicité 
< par changement de température , de temps , par l’immobilité dans une chambre chaude( pour la mélitine), par le temps très chaud en été
par le vent marin (mélitine)
> par la compagnie, l’occupation, le mouvement, la chaleur à l’extérieur, surtout du soleil

alternance des symptômes (respiratoires et articulaires, par exemple)
douleurs erratiques et diffuses > par le mouvement

fatigue surtout le matin avec brutale envie de dormir ,
fatigue périodique annuelle, vers la fin de l’hiver , au printemps
fièvre prolongées en hiver

transpiration profuse à l’effort et la nuit qui >


CAS
  Phou Souk Aloun   les a classé en

Formes avec prédominance des angines 


Daniel F 36 ans , agriculteur , brucellose à 16 ans sous forme d’une grippe traînante et d’une douleur du talon droit remontant au genou , 
4 ans de suite fièvres prolongées en hiver. Après l’épisode aigu apparaissaient progressivement des troubles digestifs (sensation de brûlures d’estomac , ballonnements vomissements soudains pdt le repas, évanouissement provoqué par la nausée) des cystites
des angines fréquentes depuis 2 ans ,surtout en hiver , svt côté Dt
des douleurs d’épaule et de nuque depuis 1 an
Il est dépressif, oublieux , hypersensible à l’alcool,sue facilement et abondamment, a des hémorroides et un léger diabète
Brucella 1M

Jean Louis  49 ans mécanicien
Brucellose à 35 ans traitée ,puis au printemps suivant il fait une infection urinaire avec fièvre pdt 1 mois et en été, un œdème de la rétine .
Depuis transpiration abondante, d’odeur forteà l’effort, un psoriasis face  postérieure avant bras Dt (début lisière des cheveux puis avant bras G)
Il a svt mal à la gorge avec chronologie suivanteébutant d’un côté, puis toux grasse , ne se sent pas bien  ,fatigué, vertiges avec vomissement de bile qui n’ > pas et céphalée frontale le matin
Brucella 1M

Formes avec prédominance de la colite


Véronique 27 ans, brucellose à 21 ans , traitée par ABénie tous les printemps
Un an plus tard fait une fausse couche, des angines à répétition, torticolis lumbago, puis une mycose vaginale tenace
Brucella 30 CH


Danielle 76 ans , brucellose à 66 ans ,colite 4 ans plus tard avec selles liquides la nuit,voire membraneuses sanguinolentesécidivantes , douleurs de dos 
Brucella , mélitine, n’> pas 


Jean Paul 40 ans agriculteur, brucellose à 30 ans,depuis asthénie, douleurs articulaires diverses, vertiges, malaises, colite chronique
Brucella mélitine


Formes avec prédominance des douleurs articulaires

Fernande 62 ans,agricultrice, brucellose vers 50 ans . Bronchites récidivantes et lumbago–sciatiques .Douleurs erratiques et dès qu’elles diminuent survient la toux.
Brucella et mélitine’effet sur la toux, mais semblent diminuer la fréquence des sciatiques et talalgies


Forme avec prédominance des éruptions


Etienne 72 ans ex–agriculteur , brucellose vers 50 ansès agité quand il est malade , très frileux et irritable , vertiges,malaises.
Depuis 2 mois présente une éruption débutant à l’avant bras G de gros boutons sur fond érythémateux, prurigineux de l’avant bras  G puis Dt puis tronc et jambes 
Mélitine 30 CH la font disparaître
Quelque temps après présente une période de confusion mentale faiblesse et agitation extrême > par Ars album en 5 CH

Formes neurologiques


Marthe 77 ans se plaint de fatigue ++ , de tachycardie, myasthénie, depuis l’age de 30 ans 
Brucellose à 60 ans, suivi 4 mois plus tard de crises comitiales traitée par Orténal 
3 j après Mélitine 200 K elle refait une crise d’épilepsie puis > générale



CAS de JULIAN
Mme H , 69 ans , nerveuse , frissonnante, vertiges , faiblesses soudaines , symptômes gastriques ,attaque de fièvre et transpiration
Brucella mélitensis 10M
Rechutecella suis 10M3 ans

CAS d’Yves. MAILLE
Homme de 48 ans d’origine italienne mais ayant vécu presque toute sa vie à Lille comme artisan
Maçon en arrêt de travail pour lombalgies avec irradiation sciatiques lui interdisant tout effort,
HTA et hypercholestérolémie
Les examens , radios et scanner ne donnent pas un diagnostic francétrécissement du canal lombaire, arthrose avec protusions discales modérées
Douleurs à type de meurtrissures, d’endolorissement
Impression d’être en verre , comme s’il allait se casser 
Lumbago où il reste plié en deux
< importante et progressive après dernière revaccination il y a 3 ans
1ière prescriptionavril 95: tetanotoxinum M, > puis rechute
reçoit ensuite Thuya, puis Nux vomica  sans résultat
Fièvre de Malte  M en  octobre 96
disparition de l’inflammation en 10 jours«ça»et a entrepris une réeducation Mézières ( les tentatives antérieures l’avaient <), se sent plus calme , la tension est tombée à 12
Mars 96éveil à 4hèvre de Malte XM

Va bien, TA et cholestérol normaux .


CONCLUSION

Marc au séminaire d’automne 2003 avait lancé l’hypothèse d’une difficulté de réalisation sur les symptômes mentaux d’oubli, d’incapacité à entreprendre, et physiquement sur les symptômes d’orchite, arthrose avortement,émaciation

Je pencherais plus sur une idée de renoncement à se réaliser
Brucella mélitensis me fait penser aux  exclus (SDF,  chômeurs en fin de droit, clandestins qui vont au péril de leur vie tenter d’atteindre un pays où ils pensent qu’ils pourront  travailler  et qui à l’arrivée ne sont non seulement pas accueillis mais démunis de tout droit , parqués dans des lieux bien isolés du reste de la population ,n’ayant plus aucune maîtrise sur leur devenir)
Leur vie se rétrécit au jour le jour  , il leur faut se méfier de ses voisins immédiats, (sensation d’avoir les yeux grands ouverts , comme écarquillés , rèves d’accidents sanglants, de blessés, de querelles)
 Ces exclus , privés de la capacité de retrouver leur dignité par le travail  (illusion d’avoir des mains énormes’idée d’activité , en même temps que de puissance et de domination ) n’ont plus d’espoir d’une vie meilleure, ils deviennent apathiques (lenteur le matin, perte de la volonté d’entreprendre quoi que ce soitéjà tout tenté )  avec des accès d’agitation et d’irritabilité ,  redoutent les contacts ( envie de voir personne mais redoute la solitude)   
Ils boivent plus souvent qu’ils ne mangent car ils n’ont plus la possibilité de se nourrir correctement   et que cet alcool qu’ils ne supportent pas) leur  permet d’oublier et d’atténuer leurs  douleurs (physiques et mentales) mais entraîne des problèmes  digestifs et accélère leur délabrement intellectuel et physique . 
Ils dorment dans des conditions précaires (sommeil agité , non reposant douleurs du dos des membres > au mouvement) , sont souvent porteurs de puces (éruption de gros boutons prurigineux  de l’avant bras G puis extension aux autres membres ),

Ils sentent mauvais (transpiration à odeur de paille pourrie )


Bref , tout ceci  suscite des réactions de rejet  de la part des gens qu’ils croisent   (réactions d’hyper sensibilité retardée de l’organisme vis–à–vis des foyers enkystés de Brucella)


Et pour confirmer leur avenir inexistant ,leur non vie , il y a cette éruption de la face dorsale du 2ième espace métacarpien’index est le doigt de la vie, le majeur, celui de la mort.
Et cette douleur des pieds à la marche en appuyant le talon’homme tombe nous dit le dictionnaire des symboles et, que ,selon une croyance Semang , à la mort , l’âme quitte le corps par le talon.



Dans un registre moins dramatique, peut être  faudrait–t–il penser à ce nosode plus souvent dans ces cas désespérant en médecine humaine de «fatigue chronique» et encore plus dans la fibromyalgie( où les personnes, outre des douleurs chroniques ,décrivent des accès de faiblesse soudains et inexpliqués) pour lesquels la médecine allopathique n’a ni explication ni solution. Cette éveloppe depuis quelques décades, dans les pays industrialisés où la menace de perdre son emploi avec les conséquences qui en découlent , et les conditions de travail de plus en plus stressantes et dévalorisantes sont également pour beaucoup sans issue .





Biblio
Julian, Phou Souk Aloun, le séminaire d’automne 2003
Internetériologie
The immune reponse to Brucella de Gary A.Splitter