La République dans tous ses états ou Comment, de Girondin, redevenir Jacobin"

A 63 ans, Géraldine a déjà accumulé bien des malheurs lorsqu’elle vient me voir en mars 1997. Elle est en longue maladie depuis cinq ans et officiellement à la retraite depuis peu. Divorcée de longue date, elle vit seule et se sent un peu isolée. Heureusement, le vieux quartier de Paris où elle habite lui permet encore une certaine vie sociale grâce aux rencontres de voisinage ou au marché. C’est qu’elle a besoin de parler Géraldine, c’est même une de ses activités favorites ! Avoir trois enfants et être ainsi délaissée, n’est-ce pas un vrai drame pour une mère ? Sa fille mariée, sans enfant, a réussi et est devenue carriériste, " à croire qu’elle a honte de sa mère " ! Son fils de quarante ans est un raté " comme son père " et a une nature très égoïste. Quant au dernier, " depuis qu’il a épousé une divorcée avec enfants, sa famille est ailleurs ".

Mon impression immédiate qui se vérifiera par la suite : un personnage singulier, étrange, sympathique mais assurément une future patiente un peu encombrante ! Très vive d’esprit, son discours part dans tous les sens, ce dont elle est consciente puisqu’elle s’en excuse en m’encourageant à la remettre sur le droit chemin si elle s’égare ! J’ai grand mal à ce qu’elle réponde à mes questions. Ce qui me frappe d’emblée, ce sont ses yeux comme un peu fous qui ont l’air de rouler dans tous les sens (ce qui, objectivement, n’est pas réel). Plus d’une fois, en cours d’entretien, je l’entends soupirer profondément.
La liste est longue de ses ennuis de santé. Pour n’envisager que ses problèmes majeurs, citons en vrac une spondylarthrite dès l’âge de 19 ans (elle porte un lombostat et " a rétréci de cinq centimètres " ; sa douleur est constante sauf la nuit), une hystérectomie à 53 ans ( !) pour fibrome, un syndrome de Raynaud, une hypertension (traitée) dès 40 ans, une angioplastie coronarienne en 92 (suite au résultat d’une coronographie ), un syndrome sec (yeux, bouche, gorge), une opération de vésicule (lithiase) en 93 suivie la même année d’un petit accident vasculaire cérébral (avec, transitoirement, des problèmes moteurs et sensitifs de la jambe gauche). Seule séquelle importante mais très handicapante : une grave incontinence (aggravée au froid de l’hiver, présente même la nuit) diagnostiquée après exploration " vessie neurologique ". Elle doit, pour éviter des " accidents " systématiques, penser à aller uriner, selon les moments, toutes les deux heures minimum et parfois toutes les dix minutes. " J’ai une vessie folle, elle ne m’obéit pas, elle fait ce qu’elle veut, il n’y a pas de logique ". Ajoutons à ce tableau des rhino-pharyngites à répétition, un essoufflement permanent et une tendance à la diarrhée. Comme traitement, elle reçoit deux anti-hypertenseurs, un vasodilatateur cérébral, un anti-cholestérol, un anti-inflammatoire, de la salazopyrine, des hormones, du Sulfarlem pour son hyposialie.

Lorsque je lui demande de me parler d’elle, elle cite d’emblée sa grande culpabilité et son côté sérieux. " Je me sens beaucoup trop vite coupable de tout ", " même lorsque j’entends parler de quelqu’un au tribunal, cela résonne en moi ". Bien sûr, elle culpabilise sur son éducation des enfants. Pour le second aspect, elle précise que " tout est toujours sérieux pour moi, l’amitié, la famille, le travail etc. ". Elle a un grand sens du devoir, est scrupuleuse et donc très hésitante. Elle s’est " toujours laissé marcher sur les pieds ". Elle souffre beaucoup de n’être pas grand-mère et de ne pas pouvoir vivre dans l’affection des siens. D’ailleurs, ses rêves sont " mélancoliques, pleins de souffrance et portés sur les choses douloureuses du passé ". Elle est trop émotive, bousculée par une simple parole. Elle a été longtemps très timide, se cachant enfant maladivement, faisant tout pour ne pas s’exhiber (elle s’arrange même pour ne pas avoir le cou découvert). Elle ne s’aime pas, se dit un peu obsessionnelle et persévérante. Son fils lui reproche d’être sale !
Entre mars 97 et octobre 98, je tenterai Belladonna, Stramonium et même Sulfur et Lachesis en désespoir de cause, sans grand résultat sur quoi que ce soit. Jusqu’au remède XX en octobre 98. Cinq doses en deux ans et demi vont changer beaucoup de choses. Les douleurs rhumatismales sont bien moindres malgré l’arrêt des anti-inflammatoires (il subsiste les troubles mécaniques liés à un affaissement important des corps vertébraux lombaires). Le syndrome sec a quasi disparu, ainsi que les rhino-pharyngites et l’essoufflement. Les diarrhées ne sont plus qu’occasionnelles. Elle se sent beaucoup mieux dans sa peau, moins angoissée. Mais surtout, le résultat le plus étonnant concerne sa vessie qui paraît guérie : " j’y vais quatre fois par jour et n’ai plus jamais d’accident " !!
Affaire à suivre…
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Solution du cas " Géraldine " : CIMICIFUGA

OEIL - SAUVAGE; regard
VISAGE - EXPRESSION - effrayée
BOUCHE - GOÛT - salé; légèrement
SELLES - FORCE; évacuées subitement en jet avec
RECTUM - DIARRHÉE - matin - lever; après le
PSYCHISME - CACHER; envie de se – enfants (a)
PSYCHISME - CACHER; envie de se - enfants - étrangers; se cachent des (a)
PSYCHISME - CACHER; envie de se - peur; par (a)
PSYCHISME - CACHER; envie de se (a)
PSYCHISME - AFFOLEMENT dans la tête; sensation d'
PSYCHISME - SOUPIR(E)
PSYCHISME - LOQUACITÉ - passe rapidement d'un sujet à l'autre
TÊTE - AFFOLEMENT; sentiment d'
RÊVES - SOUFFRANCE
VESSIE - MICTION - fréquent(e) (ment) - nerveuse, origine
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De la famille des Renonculacées, l’Actea racemosa ou Actée à grappes ou Cimicifuga racemosa ou herbe aux punaises ou encore cierge d’argent, est une plante rhizomateuse, dressée à tiges grêles, d’un mètre à deux mètres vingt. Ses fleurs sont petites, blanc crème, portées par de très longs pédoncules, dégageant une forte odeur. Les feuilles sont d’un vert soutenu. Le rhizome est épais, ferme et noueux.. La floraison se fait en juillet-août. Elle pousse au Canada et dans l’Est des Etats-Unis. C’est une plante vivace et très rustique qui aime l’humidité et la mi-ombre. Elle était utilisée dans la médecine indienne traditionnelle et a été introduite chez les blancs par John King en 1844. Les Indiens s’en servaient pour aider à la contraction de l’utérus lors de l’accouchement. Les blancs s’en sont servis pour les rhumatismes, les troubles nerveux, la chorée, l’hydropisie, l’hystérie, l’aménorrhée et même les affections pulmonaires.

En herboristerie, elle a été utilisée pour la circulation vu son effet vasodilatateur, hypotenseur et régulateur des centres vasomoteurs. Elle est dépresseur du système nerveux central. Enfin, nous connaissons aujourd’hui son action oestrogénique grâce à ses isoflavones. Traditionnellement, cette plante a la réputation d’agir surtout sur la femme. Des études ont montré son impact sur la fonction ovarienne, sur la régulation du cycle menstruel, sur les désordres de la ménopause dans ses manifestations fonctionnelles gênantes (bouffées, sécheresse, troubles de l’humeur) en raison de son activité oestrogénique et anti LH. In vitro, des extraits de rhizome inhiberaient fortement la prolifération de lignées cellulaires de carcinome mammaire.
Mon intention n’est pas ici de faire une étude exhaustive de ce très vaste remède. Simplement, je voudrais porter votre attention sur quelques-unes de ses caractéristiques qui en font un personnage à part entière.

Citons les principaux thèmes qui me sont apparus dans la Matière Médicale:

1- la féminité dans toute sa fonction procréatrice : le lien est constant entre toutes les parties du corps, toutes les fonctions ou le psychisme et le cycle menstruel, la grossesse, l’accouchement, l’allaitement. - J’ai relevé cent treize symptômes et c’est loin d’être exhaustif ! -
2- le grand désordre du système nerveux volontaire comme le dit Kent
3- l’émotivité, l’excitabilité
4- l’alternance des symptômes et particulièrement l’alternance des symptômes physiques et mentaux
5- la mélancolie, la tristesse " comme si un lourd nuage noir s’était posé tout autour d’elle et enveloppait sa tête, si bien que tout était dans le noir et la confusion, tandis qu’au même moment, ça pesait comme du plomb sur sa tête "
6- le bestiaire
7- la perte du self-control, de la maîtrise de soi tant sur le corps (système locomoteur, végétatif etc.) que sur le cerveau (pensées, paroles etc.) - j’ai noté cent quatre symptômes – (Voir en annexe les répertorisations correspondantes)

Bien sûr, certains thèmes peuvent aisément se regrouper. Entre autres les thèmes 2, 3, 4 et 7. Si nous considérons que cette anarchie, cette confusion, ce chaos du corps et de l’esprit subi passivement ne peut que laisser la personne dans le plus grand désarroi, nous n’hésitons pas à joindre le thème 5 aux 2, 3, 4 et 7.
Si nous examinons de près les symptômes " animaux ", nous constatons que nous avons affaire à des animaux manifestant la multitude (rats, souris, insectes, moutons), le désordre apparent et, du moins pour les trois premiers, la course, la fuite, la vitesse, le déplacement fugitif, rapide, indiscipliné, au hasard. Ce thème 6 peut donc lui aussi se fondre dans le groupe des autres.

Enfin, nous avons l’énorme thème du féminin qui pourrait superficiellement paraître s’expliquer par la simple composition de la plante (similitude " substantielle " de cette renonculacée avec le corps " femelle ") mais qui, nous le verrons, a une raison d’être autrement profonde. Il s’agirait traditionnellement plus d’un remède de la femme que de l’homme mais ne nous y trompons pas. En tant que remède réellement simillimum, il conviendra tout autant à l’un qu’à l’autre.

Je voudrais citer ici la conclusion sur Cimicifuga que j’avais écrite en 1992, à la fin de l’étude réalisée avec mes amis du Gehu :
" Le symbole du rat, de la souris, animaux chthoniens c’est-à-dire liés aux forces infernales, souterraines (non soumises aux lois du dessus, de l’extérieur, du monde) exprime toute la problématique d’Actea. On a l’impression qu’il y a eu " décérébration ", que la périphérie n’est plus reliée à la commande centrale, qu’elle est livrée à elle-même avec ce que cela implique d’anarchie et d’irrationnel. Les fonctions, les organes, les expressions émotionnelles sont totalement autonomes, débridées, hors de toute logique, de toute finalité. C’est la guerre civile ! L’intelligence, la volonté n’ont plus prise ni sur le corps ni sur l’émotionnel ni sur la raison. L’instinctif s’en donne à cœur joie, hors censure. La parole, la pensée s’enfuient en tous sens. Les fonctions sont toutes soumises à un court-circuitage généralisé qui ne peut plus être maîtrisé. Un voile noir a recouvert l’intelligible ".

Bien sûr, cette vision apocalyptique du remède doit s’entendre sous l’angle de la métaphore ! Nous n’aurons, j’espère, jamais l’occasion de rencontrer des patients dans un tel état d’éclatement ! Mais l’idée est là cependant d’une anarchie du corps et de l’esprit.

Essayons de ne pas en rester à cette seule image d’ " une perte de commandement " comme le dit l’AFADH. Et prenons en compte les symptômes suivants :
DELUSIONS - arms - bound to her body; arms are
DELUSIONS - clouds - black cloud enveloped her; a heavy
DELUSIONS - creep into his own body; he would crouch together as
Much as he could and
DELUSIONS - encaged in wires
DELUSIONS - wires, is caught in
DELUSIONS - sheep - sees

Il apparaît ici une nouvelle notion, celle d’un enfermement, d’une contrainte, soit dus au monde extérieur (nuage noir, au sein d’un troupeau de moutons, comme pris dans du fil de fer, les bras liés au corps), soit en soi-même (se recroqueville le plus possible jusqu’à se glisser dans son propre corps).

Nous avons donc un double mouvement, d’une part, d’éparpillement, d’éclatement, de jaillissement anarchique, intempestif et incontrôlé des parties et, d’autre part, de tentative désespérée et excessive de recentrage, de durcissement du noyau dur. Je me lie moi-même à moi-même pour retrouver mon intégrité, pour rester unifié, pour conserver une identité.

Voici ce que relate Corrie Hiwat, consoeur hollandaise, à propos d’une de ses patientes, artiste : " In her way of talking, very often words would come forward such as: I have to break free, to untie; There is a great need in me to express myself; there is still so much I want to say, so much that lives inside of me; I have to control myself from not speaking very loud; still I can’t stand anyone holding me tight; step by step, I am unwinding the threads. Many of her paintings have to do with someone or something being captured in the centre, with no way out. Even about her sexual relationship, she uses words like space and freedom ".
Il semble que ce médecin n’a pas perçu à quel point sa patiente lui enseignait la vérité enfouie du remède qui l’a guérie !

Un des mots clé de Cimicifuga est création. (Procréation, création permanente de soi, participation à la création du monde autour, création humaine quelconque, création artistique etc. Œuvre de vie pour tendre à sa finalité). Cimicifuga exprime par excellence la nécessité universelle de créer, de créer la vie, de créer en permanence sa propre vie et donc in prime de créer à tout instant les conditions nécessaires à la vie, c’est-à-dire créer d’abord instant après instant l’harmonie de son propre corps et de sa psyché ce qui demande l’unification de l’action, à commencer par l’unification des fonctions physiologiques. La problématique de la création nécessite la combinaison harmonieuse de forces multiples, de micro systèmes possédant jusqu’à un certain point leur autonomie.

Cimicifuga est pris, emporté dans ce vertige de création permanente qu’il contrôle difficilement. Lui probablement si fécond domine mal ce jaillissement des forces vitales dans sa physiologie tant physique que mentale et même inconsciente, complexe et protéiforme. La vie, prolifique, sans cesse le submerge par l’abondance des fonctions disparates à mettre en harmonie. Il y a chez lui difficulté d’intégration des forces multiples en présence en vue de création de l’unité indispensable à la perpétuation de la vie. Il trouve mal la mesure. Il règle mal le fléau de la balance. Il se retrouve constamment soit dans l’inhibition soit dans la fuite intempestive des éléments épars.

Pour Cimicifuga, " le talon d’Achille " ou encore " la petite souffrance ", comme j’aime appeler ce que d’autres nomment vulnérabilité originelle, consiste en sa difficulté à intégrer les forces primaires de la vie en une unité complexe harmonieuse. Et la création la plus merveilleuse et complexe de l’homme n’est-elle pas justement la recréation de lui-même par l’enfantement ? Ceci explique que le plus gros de la pathologie de Cimicifuga tourne autour de la grossesse et des organes reproducteurs.
Il nous faudra, dans notre pratique, penser à Cimicifuga devant tout patient en état d’inhibition face à la vie chez qui se manifeste une symptomatologie incontrôlée, erratique et paroxystique, qu’elle soit purement corporelle, comportementale, émotionnelle ou psychique. Il nous faudra y penser de même lorsque la vie d’un patient manifestera cet incessant balancement entre inhibition et théâtralisation.

Cimicifuga : notes complémentaires

CYRULNIK : l’œuvre naît d’une fracture, d’une blessure comme la perle de l’huître.
Si on est harmonieux on ne crée pas, c’est un " moins ".
Chez l’artiste, il y a un enfermement nécessaire. Au dehors, il est quelqu’un d’égaré, il appartient aux autres. C’est une question de champs de conscience. L’artiste doit rejoindre le monde par le dedans.
C’est la problématique du dedans et du dehors, de l’inhibition et de la théâtralisation obligée accusant sa panique.
C’est la tragique indisponibilité des artistes, aux autres, au monde ; indisponibilité physique, psychique.
Tous les artistes sont, d’une certaine manière, toujours tristes et désespérés (voile noir…) : la création naît d’une profonde mélancolie.
C’est la folie des grands créateurs

Douleur comme si la tête s’ouvrait (Mr Test de Valery) et par où passe l’air froid , allié au sentiment d’affolement : c’est la maison qui s’ouvre et l’air peut passer.
Thème de la grossesse qui est par essence La création : porter le monde en soi, avec toutes les douleurs qu’impose le fait de sortir le monde de soi (toutes les douleurs du travail efficace ou
inefficace, comme la création de l’artiste).
Menace d’avortement : c’est l’œuvre qui lui échappe, c’est l’atrophie chez l’artiste c.à.d. sa peur.
Transes de la création : tremblements de joie, en écrivant etc. donc tremblements liés à la création.
L’ouïe hypersensible pendant les douleurs d’accouchement : est dérangé dans son œuvre par le monde extérieur.
Refuse de prendre des médicaments : ne veut pas être changé ni guéri.
Tristesse pendant l’excitation sexuelle. Tristesse donc dans les prémices de la création.
Animaux petits et multiples comme par un regard par au-dessus : le créateur, comme Dieu, voit par au-dessus, regarde un fourmillement, comme quelque chose à mettre en ordre.
Se ramasse sur lui-même pour être lui-même l’œuvre, pour échapper à la création, redevenir fœtus pour se cacher et fuir ce que le monde lui demande et redevenir l’œuvre, l’œuvre à sa maman.
In fine, pour expulser l’œuvre de vie, il doit accoucher au dehors. Si la peur l’amène à rester au dedans une fois l’œuvre achevée, il ne crée rien et se reglisse dans son corps pour échapper.

L’œuvre est le fruit d’un dérèglement.
RIMBAUD cultivait l’hallucination.
Dans " La lettre du voyant ", son cri en1871 à Paul DEMENY :
" Je dis qu’il faut être voyant, se faire violence par un long, immense et raisonné dérèglement de tous les sens. "
Il a arrêté d’écrire, il s’est donc reglissé en lui-même.
Dans " L’alchimie du verbe " :
" Avec des rythmes instinctifs, je me flattai d’inventer un verbe poétique accessible un jour ou l’autre à tous les sens " – et là, il fait référence à Baudelaire qui était son dieu-
" Je notais l’inexprimable, je fixais des vertiges, je m’habituais à l’hallucination simple (par exemple, il voyait un salon au milieu d’un lac), je finis par trouver sacré le désordre de mon esprit ; j’étais oisif en proie à une lourde fièvre, j’enviais la félicité des bêtes, les chenilles qui représentent l’innocence des limbes, les taupes, le sommet de la virginité ".

REPERTORISATION DE DIFFERENTS THEMES

La perte du self-control, de la maîtrise de soi
PSYCHISME - RÉPOND - évasivement
PSYCHISME - RÉPOND - hâtivement
PSYCHISME - RÉPOND - sans rapport avec la question
PSYCHISME - RÉPOND - refuse de répondre
PSYCHISME - CONFUSION d'esprit - règles - avant
PSYCHISME - CONFUSION d'esprit - règles - pendant
PSYCHISME - DÉLIRE - répond - avec brusquerie
PSYCHISME - DÉLIRE - loquace
PSYCHISME - ILLUSIONS - aliéné, fou - deviendra fou; il
PSYCHISME - ILLUSIONS - empoisonné - il - a été
PSYCHISME - ILLUSIONS - empoisonné - médicament; est empoisonné par un
PSYCHISME - ILLUSIONS - souris - voit
PSYCHISME - ILLUSIONS - souris - voit - courant de sous une chaise
PSYCHISME - ILLUSIONS - rats, voit des
PSYCHISME - ILLUSIONS - rats, voit des - courant - pièce; à travers la
PSYCHISME - EXCITATION - ménopause; pendant la
PSYCHISME - EXCITATION - règles - pendant
PSYCHISME - EXCITATION - grossesse (portée; pendant la
PSYCHISME - PEUR - avortement par peur; menace d'
PSYCHISME - PEUR - danger imminent; d'un
PSYCHISME - PEUR - mort; de la - prochaine (imminente); d'une mort
PSYCHISME - PEUR - maladie prochaine; d'une - incurable; d'être
PSYCHISME - PEUR - folie
PSYCHISME - PEUR - folie - ménopause; pendant la
PSYCHISME - PEUR - assassiné; d'être
PSYCHISME - PEUR - empoisonné - être empoisonné; peur d'
PSYCHISME - HTE (précipitation) - occupations; dans ses
PSYCHISME - HTE (précipitation) - travail; dans le
PSYCHISME - HYSTÉRIE - évanouissement hystérique
PSYCHISME - HYSTÉRIE - ménopause; à la
PSYCHISME - HYSTÉRIE - règles - avant
PSYCHISME - HYSTÉRIE - règles - pendant
PSYCHISME - HYSTÉRIE - règles - après - abondantes
PSYCHISME - BLESSE; se - peur d'être laissé seul; de crainte qu'il ne
PSYCHISME - FOLIE (aliénation mentale) - ménopause; pendant la
PSYCHISME - FOLIE (aliénation mentale) - névralgie; avec la disparition d'une
PSYCHISME - FOLIE (aliénation mentale) - grossesse (portée); dans la
PSYCHISME - FOLIE (aliénation mentale) - puerpérale
PSYCHISME - IRRITABILITÉ - futilités; à propos de
PSYCHISME - LOQUACITÉ - alternant avec - silence
PSYCHISME - LOQUACITÉ - passe rapidement d'un sujet à l'autre
PSYCHISME - MANIE - lochies; par suppression des
PSYCHISME - MANIE - puerpérale
PSYCHISME - RÈGLES; symptômes mentaux - pendant
PSYCHISME - MENTAL - symptômes - alternant avec - symptômes physiques
PSYCHISME - GROSSESSE; affections mentales dans la
PSYCHISME - REFUSE - médicaments; de prendre les
PSYCHISME - AGITATION - poussant çà et là; le
PSYCHISME - AGITATION - bouger - continuellement; doit
PSYCHISME - TRISTESSE - sexuel(le)(s) - excitation – avec
PSYCHISME - DISCOURS (PAROLE, PAROLES) - terminer ses phrases; ne peut
PSYCHISME - DISCOURS (PAROLE, PAROLES) - précipité(es)
PSYCHISME - DISCOURS (PAROLE, PAROLES) - incohérent(es)
PSYCHISME - SOUPÇONNEUX - médicaments; ne veut pas prendre ses
PSYCHISME - PARLER - non disposé - alternant avec - loquacité
PSYCHISME - ERRER; désir de
PSYCHISME - AFFOLEMENT dans la tête; sensation d'
PSYCHISME - ÉCRIRE - difficulté à exprimer ses idées par écrit
PSYCHISME - COLÈRE - règles - pendant
PSYCHISME - RÉPOND - aversion de répondre - loquace à d'autres moments
PSYCHISME - JOYEUX - alternant avec - tristesse
PSYCHISME - DÉLIRE - céphalée - pendant
PSYCHISME - DÉLIRE - pupilles dilatées, avec
PSYCHISME - ILLUSIONS - animaux
PSYCHISME - ILLUSIONS - animaux - personnes sont des animaux, les - rats, souris, insectes etc.
PSYCHISME - ILLUSIONS - bras - liés à son corps; les bras sont
PSYCHISME - ILLUSIONS - lit - objets étranges, rats, moutons dans le lit
PSYCHISME - ILLUSIONS - nuages - noir l'enveloppa; un lourd nuage
PSYCHISME - ILLUSIONS - glisserait dans son propre corps; il se ramasserait sur lui-même autant qu'il le pourrait et se
PSYCHISME - ILLUSIONS - foncé - nuage noir; il est enveloppé dans un
PSYCHISME - ILLUSIONS - enserré dans des fils de fer
PSYCHISME - ILLUSIONS - foyer - loin de chez lui; il est - et doit y aller
PSYCHISME - ILLUSIONS - moutons – voit
PSYCHISME - ILLUSIONS - visions; a des - monstres; de - objets bizarres et de rats; d'
PSYCHISME - ILLUSIONS - fils de fer; est pris dans des
PSYCHISME - PEUR - insectes; des
PSYCHISME - LOQUACITÉ
PSYCHISME - RAGE, fureur - maux de tête; accompagné de
RÊVES - CORPS; PARTIES DU - membres brisés
RÊVES - MALADIE - fracture - membres; des
RÊVES - CHUTE - hauteur; d'une
RÊVES - HAUTEURS, lieux élevés - tombe de
TÊTE - GRAND(E) - cerveau semble
TÊTE - SOULÈVEMENT du crâne; impression de
TÊTE - OUVERTURE - impression que la tête est ouverte et laisse passer l'air froid
TÊTE - DOULEUR - tenir la tête; doit se
TÊTE - DOULEUR - éclatement; d' - Cerveau allait éclater; comme si le
TÊTE - DOULEUR - éclatement; d' - Vertex - envoler; comme s'il allait s'
TÊTE - DOULEUR - détacher; douleur donnant l'impression que le sommet de la tête va se
TÊTE - DOULEUR - ouverte; comme
TÊTE - DOULEUR - ouvrait et se fermait; comme si la tête s'
TÊTE - DOULEUR - ouvrait et se fermait; comme si la tête s' - bougeant la tête ou en tournant les yeux; en
TÊTE - DOULEUR - ouvrait et se fermait; comme si la tête s' - Occiput
TÊTE - AFFOLEMENT; sentiment d'
ABDOMEN - AGITATION, malaise, etc. - avant-midi
EXTRÉMITÉS - ATTACHÉ au côté du thorax; sensation que le bras gauche est
EXTRÉMITÉS - TREMBLEMENT - Doigts - écrivant; en
EXTRÉMITÉS - CONTRACTION - Pied - lit; au
SOMMEIL - INSOMNIE - peur, par - tomber, de
GÉNÉRAUX - CHANGEMENT - symptômes changent continuellement - rapide
GÉNÉRAUX - CHORÉE - gauche; à
GÉNÉRAUX - CHORÉE - excitation; par - émotionnelle
GÉNÉRAUX - TREMBLEMENT - externe - joie; de
GÉNÉRAUX - VIBRATION, battement

La féminité
PSYCHISME - COLÈRE - règles - pendant
PSYCHISME - ANXIÉTÉ - ménopause; pendant la
PSYCHISME - ANXIÉTÉ - règles - pendant
PSYCHISME - CONFUSION d'esprit - règles - avant
PSYCHISME - CONFUSION d'esprit - règles - pendant
PSYCHISME - EXCITATION - ménopause; pendant la
PSYCHISME - EXCITATION - règles - pendant
PSYCHISME - PEUR - avortement par peur; menace d'
PSYCHISME - PEUR - folie - ménopause; pendant la
PSYCHISME - HYSTÉRIE - ménopause; à la
PSYCHISME - HYSTÉRIE - règles - avant
PSYCHISME - HYSTÉRIE - règles - pendant
PSYCHISME - HYSTÉRIE - règles - après - abondantes
PSYCHISME - FOLIE (aliénation mentale) - ménopause; pendant la
PSYCHISME - IRRITABILITÉ - règles - pendant
PSYCHISME - MÉNOPAUSE agg.
PSYCHISME - RÈGLES; symptômes mentaux - pendant
PSYCHISME - AGITATION - règles - suppression des règles; lors de la
PSYCHISME - TRISTESSE - ménopause; pendant la
PSYCHISME - TRISTESSE - règles - pendant
PSYCHISME - TRISTESSE - règles - suppression des; par
PSYCHISME - SOUPIR(E) - règles - pendant
PSYCHISME - SOUPÇONNEUX - ménopause; pendant la
VERTIGE - RÈGLES - supprimées
TÊTE - CHALEUR - Vertex - ménopause; pendant la
TÊTE - LOURDEUR - règles – avant
TÊTE - DOULEUR - utérine, réflexe; maladie
TÊTE - DOULEUR - Front; dans le - règles - avant
TÊTE - DOULEUR - Front; dans le - yeux - au-dessus - règles - pendant
TÊTE - DOULEUR - pression; de - règles - avant
VISAGE - ÉRUPTION(S) - acné - menstruelles; avec des irrégularités
COU - GOITRE - règles; agg. avant les
ABDOMEN - DOULEUR - crampe, étreignante; de - Hypogastre - règles - avant
POITRINE (Thorax) - FROID; sensation de - Seins (glandes mammaires)
POITRINE (Thorax) - DOULEUR - Seins (glandes mammaires) - dessous; en (sous les) - ménopause; pendant la
DOS - LOURDEUR (pesanteur , poids) - Lombaire; région - règles - pendant les
DOS - DOULEUR - travail d'accouchement; comme dans le - Creux des reins (bas du dos) - règles; pendant les
DOS - DOULEUR - contusion; de - Lombaire; région - règles - pendant les
EXTRÉMITÉS - DOULEUR - règles - pendant
EXTRÉMITÉS - DOULEUR - Hanche [coxalgie] - règles - avant
EXTRÉMITÉS - DOULEUR - Cuisse - règles - pendant
EXTRÉMITÉS - DOULEUR - contusion; de - règles - pendant
SOMMEIL - INSOMNIE - ménopause; pendant la
SOMMEIL - INSOMNIE - règles - pendant
GÉNÉRAUX - CHORÉE - ménopause; pendant la
GÉNÉRAUX - CHORÉE - utérine
GÉNÉRAUX - CONVULSIONS - règles - avant
GÉNÉRAUX - ÉVANOUISSEMENT, syncope - règles – avant
GÉNÉRAUX - ÉVANOUISSEMENT, syncope - plaintes utérines; lors de
GÉNÉRAUX - RÈGLES - après - amél.
GÉNÉRAUX - ENGOURDISSEMENT - externe - ménopause; pendant la
PSYCHISME - EXCITATION - grossesse (portée; pendant la
PSYCHISME - FOLIE (aliénation mentale) - puerpérale
PSYCHISME - PEUR - grossesse (portée); pendant la
PSYCHISME - FOLIE (aliénation mentale) - grossesse (portée); dans la
PSYCHISME - GROSSESSE; affections mentales dans la
PSYCHISME - TRISTESSE - grossesse (portée); dans la
ESTOMAC - NAUSÉE - grossesse; pendant la
FÉMININE, SEXUALITÉ - LEUCORRHEE - grossesse (portée); pendant la
FÉMININE, SEXUALITÉ - MÉTRORRHAGIE - grossesse ; pendant la
FÉMININE, SEXUALITÉ - GROSSESSE - pendant; problèmes
POITRINE (Thorax) - DOULEUR - Seins (glandes mammaires) - dessous; en (sous les) - grossesse (portée); pendant la
SOMMEIL - INSOMNIE - grossesse, pendant la
GÉNÉRAUX - CONVULSIONS - grossesse; pendant la
ABDOMEN - DOULEUR - Inguinale; région - accouchement; pendant l'
FÉMININE, SEXUALITÉ - RÈGLES - abondantes - avortement ou accouchement; après
POITRINE (Thorax) - DOULEUR - Coeur - accouchement
GÉNÉRAUX - CONVULSIONS - accouchement - pendant
PSYCHISME - TRISTESSE - travail de l'accouchement; pendant le
PSYCHISME - SENSIBLE - bruit; au - travail de l'accouchement; pendant le
TÊTE - DOULEUR - Occiput - mental (intellectuel); travail
OUÏE - FINE (HYPERSENSIBLE) - douleurs d'accouchement; pendant les
FÉMININE, SEXUALITÉ - CONTRACTIONS - Utérus - Orifice utérin - travail; contraction spasmodique, durant le
FÉMININE, SEXUALITÉ - COL UTÉRIN pendant le travail; état du – rigide
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - arrêt des
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - arrêt des - crampes dans la hanche; par
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - arrêt des - émotion; suite d'
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - arrêt des - excitation émotionnelle; par
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - arrêt des - hémorragie; avec
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - pénibles (affligeantes)
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - excessives
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - évanouissement; provoquant l'
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - faux travail
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - aines; senties dans les
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - hanche; quittent l'utérus et vont à la
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - inefficaces
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - irrégulières
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - bruit agg
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - grelottement (frissonnement); avec
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du – spasmodiques
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - supprimées et absentes
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - faibles
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - étendant à; s' - aine; dans
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - étendant à; s' - coeur
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - étendant à; s' - hanche
DOS - DOULEUR - Sacrée; région - étendant à; s' - hanches - cuisses; et - travail de l'accouchement; pendant le
DOS - DOULEUR - Sacro-iliaque; symphyse - étendant à; s' - bas de la région des sciatiques, pendant le travail de l'accouchement
EXTRÉMITÉS - CRAMPES - Hanche - travail de l'accouchement; pendant le
EXTRÉMITÉS - DOULEUR - pression; de - Hanche - travail de l'accouchement; pendant le
SOMMEIL - INSOMNIE - nourri l'enfant, après avoir
PSYCHISME - INCONSCIENCE - accouchement; pendant l'
FÉMININE, SEXUALITÉ - ACCOUCHEMENT - durant; plaintes
FÉMININE, SEXUALITÉ - ACCOUCHEMENT - après; plaintes
EXTRÉMITÉS - DOULEUR - Hanche [coxalgie] - accouchement - pendant
PSYCHISME - MANIE - lochies; par suppression des
PSYCHISME - MANIE - puerpérale
PSYCHISME - TRISTESSE - puerpérale
TÊTE - CONGESTION - lochies supprimées; due à des
GÉNÉRAUX - ÉVANOUISSEMENT, syncope - fièvre - pendant – puerpérale
GÉNÉRAUX - ÉVANOUISSEMENT, syncope - puerpéral
GÉNÉRAUX - ÉVANOUISSEMENT, syncope - accouchement - pendant
GÉNÉRAUX - FAIBLESSE, asthénie - accouchement – pendant

L’alternance des symptômes
PSYCHISME - JOYEUX - alternant avec - tristesse
PSYCHISME - LOQUACITÉ - alternant avec - silence
PSYCHISME - MENTAL - symptômes - alternant avec - symptômes physiques
PSYCHISME - PARLER - non disposé - alternant avec - loquacité
TÊTE - DOULEUR - périodique - jour - un jour sur deux (tous les deux jours)
VISAGE - COLORATION - rouge - alternant avec pâleur
RECTUM - CONSTIPATION - alternant avec de la diarrhée
EXTRÉMITÉS - FROIDEUR - Mains - alternant avec - chaleur
EXTRÉMITÉS - DOULEUR - rhumatismale - alternant avec - diarrhée
GÉNÉRAUX - ALTERNANTS; états
GÉNÉRAUX - CHORÉE - alternant avec rhumatisme
GÉNÉRAUX - CONTRADICTOIRES et alternants; états
GÉNÉRAUX - CONVULSIONS - alternant avec - crampes toniques
GÉNÉRAUX - CONVULSIONS - cloniques - alternant avec toniques
GÉNÉRAUX - POULS - lent - alternant avec un pouls rapide
GÉNÉRAUX - CÔTÉ - alternant d'un côté à l'autre

L’émotivité, l’excitabilité
PSYCHISME - TROUBLES CAUSÉS PAR (SUITE DE) - excitation - émotionnelle
PSYCHISME - EXCITATION
PSYCHISME - EXCITATION - ménopause; pendant la
PSYCHISME - EXCITATION - règles - pendant
PSYCHISME - EXCITATION - grossesse (portée; pendant la
PSYCHISME - TRISTESSE - excitation - après
PSYCHISME - TRISTESSE - sexuel(le)(s) - excitation - avec
FÉMININE, SEXUALITÉ - LOCHIES - suppression - excitation; par
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - arrêt des - excitation émotionnelle; par
SOMMEIL - INSOMNIE - excitation par
GÉNÉRAUX - CHORÉE - excitation; par - émotionnelle
GÉNÉRAUX - CONVULSIONS - excitation; par
FÉMININE, SEXUALITÉ - LOCHIES - suppression - émotions; par des
FÉMININE, SEXUALITÉ - RÈGLES - supprimées - émotions; suite d'
FÉMININE, SEXUALITÉ - DOULEUR - travail; douleurs du - arrêt des - émotion; suite d'

Le bestiaire
PSYCHISME - ILLUSIONS - animaux
PSYCHISME - ILLUSIONS - animaux - personnes sont des animaux, les - rats, souris, insectes etc.
PSYCHISME - ILLUSIONS - lit - objets étranges, rats, moutons dans le lit
PSYCHISME - ILLUSIONS - souris - voit
PSYCHISME - ILLUSIONS - souris - voit - courant de sous une chaise
PSYCHISME - ILLUSIONS - rats, voit des
PSYCHISME - ILLUSIONS - rats, voit des - courant - pièce; à travers la
PSYCHISME - ILLUSIONS - moutons - voit
PSYCHISME - ILLUSIONS - visions; a des - monstres; de - objets bizarres et de rats; d'
PSYCHISME - PEUR - insectes; des