Conium maculatum - P.Servais - Liège 1997

Une difficile maïeutique de l'échange


Mr Patelin, 46 ans, ne vit plus. Nous sommes en 1981 et cela fait des années qu'il traîne comme un véritable handicap une sinusite et une rhinite chronique épouvantables. Jugez-en! La journée commence tôt, à cinq heures du matin, avec un réveil brutal par une longue salve d'éternuements. Dès cet instant, mieux vaut se lever car rien ne viendra l'apaiser. La journée ne sera plus qu'une lutte incessante pour traquer le moindre courant d'air, le moindre filet d'air, avec comme seul outil efficace une boîte de kleenex, un bonnet de laine et une large écharpe qui, tel un touareg, lui couvre presque tout le visage. Dans les périodes les plus noires, son couvre-chef ne le quitte pas même à la maison! Le plus léger frémissement d'air déclenche des frissons dans la tête, des florilèges d'éternuements et de sécrétions nasales impressionnants. Le pire pourtant c'est l'intensité de l'obstruction nasale qui en est même asphyxiante. Le paradoxe est là: il lui faut absolument de l'air mais sans le moindre déplacement! Il a déjà connu les traitements cortisoniques, efficaces mais lui donnant l'aspect réjoui d'une pleine lune et des douleurs d'ulcère gastrique, les brûlages des cornets, les curetages sinusaux etc. Il se contente en général d'un antihistaminique à l'efficacité très relative. Mr Patelin est metteur en scène de théâtre et réalisateur de télévision. Il passe donc de la froideur des salles à la climatisation des studios de télévision (il en fait d'ailleurs une vraie phobie). Il ne supporte pas une fenêtre ouverte tout en étant suffoquant dans une pièce chauffée! Il est mieux dehors mais ne supporte pas l'air extérieur! L'obstruction est permanente mais s'accompagne par moment de flots d'écoulements aqueux. Des maux de tête parfois violents l'accompagnent; en avion, les douleurs sont insupportables tant est forte la pression dans les sinus. De quoi décourager le plus laborieux des homéopathes!

Mme Marie-Chantal de la..., quarante ans, a la démarche altière des aristocrates. Elle paraît hautaine mais ne l'est en fait pas du tout. Elle vient me voir pour une somme de problèmes dont les principaux sont les suivants: syndrome prémenstruel terrible touchant tant le physique que le psychisme, nodules kystiques des seins, dysménorrhée, cystites et vaginites à répétition (accompagnées d'indurations ganglionnaires inguinales ce qui est surprenant), crises d'angoisse avec claustrophobie importante (éminence de mort par suffocation), kystes acnéïques récurrents au visage et insuffisance veineuse des membres inférieurs (phlébite gauche avant un accouchement par césarienne il y a dix ans) créant des douleurs de compression "comme si la jambe allait exploser" (même le poids de la couverture la gêne). Mariée à un industriel, profitant de son temps libre pour s'adonner à sa passion l'équitation, elle ne résout ses angoisses existentielles qu'à coups de Temesta (3/jour). Beaucoup de choses lui font horreur: le lait, les nourritures riches, la chaleur ambiante, les gens qui ne pensent qu'à eux! Avant ses règles? Elle est "énorme" et insupportable, survoltée, dépressive. Elle m'en décrit un exemple: il lui arriva de défoncer à coups de talon aiguille la carrosserie de la belle Mercedes d'un amant par trop méchant!

Dans le genre, Mr Patelin n'est pas mal non plus. Sa notoriété l'autorise à être la terreur des acteurs par ses remarques cinglantes et définitives. L'ami avec qui il vit (il est homosexuel) doit, lors de ses sautes d'humeur, l'aborder avec ménagement. Dans ces occasions, "soit il ne dit pas un mot, soit il aboie". Pourtant, comme notre marquise, il peut aussi être "adorable et très affectueux"! Comme elle également, il a besoin d'être entouré, ne supportant pas d'être seul avec cependant une certaine peur des gens, du moins de ceux qui lui sont imposés par les circonstances. Dans quelles occasions sa respiration s'améliore-t-elle? "Lorsqu'on ne m'occasionne pas de contrariétés, ce qui est rare, ou encore après l'amour" (coition amel.), hasarde-t-il goguenard. "C'est le meilleur remède, n'est-ce-pas, docteur!" Je lui fait remarquer que n'ayant pas le nez bouché, je ne peux en juger mais que, d'un point de vue scientifique, on pourrait évoquer dans ce cas le diagnostic de rhinite vasomotrice!

Marie-Chantal n'est pas en reste qui m'explique que le traitement le plus efficace de ses troubles veineux et "de tous mes ennuis d'ailleurs" est "de pouvoir m'envoyer en l'air régulièrement". Hélas, trois fois hélas ...."D' ailleurs, mes maux de jambes ont démarré dès l'adolescence pour s'estomper, de dix-huit à vingt-huit ans, pendant ma période de splendeur!". "En fin de compte, docteur, nous ne sommes tous que d'affreux chiens et chiennes" (oserai-je mettre en parallèle la rubrique du Kent: delusion she is a goose?). Ce qui m'a frappé dès l'abord chez elle, c'est le paradoxe entre son raffinement aristocratique et des propos les plus crus qui lui échappaient régulièrement et que je peux en forçant à peine qualifier d'obscène (lewdness). Malgré son air mal à l'aise, cherchant toujours une contenance, elle n'hésite pas, "puisqu'il faut tout dire à son médecin", à m'expliquer comment elle résout ses périodes de frustration sexuelle par de longues pratiques solitaires ou grâce à des rencontres "flash"! En outre, il est difficile avec elle de garder le cap de la consultation tant tout est constamment tourné en dérision (jesting, trifles with everything). Pas plus elle que Mr Patelin n'ont la juste mesure de ce qui se dit ou non (lack of discrimination, Vithoulkas) et je n'ai d'autre choix que de les suivre, ce qui est plutôt amusant sauf lorsqu'à la suite d'un traitement peu concluant elle me dit qu'il serait peut-être temps que je prenne enfin sérieusement ses problèmes en considération ou lorsque Mr Patelin me fait justement remarquer que payer si cher pour si peu de résultat...Qu'au moins si je ne peux faire mieux je ne cherche plus midi à quatorze heures mais lui dégage simplement le nez! Ces deux patients vont être totalement guéris par Conium maculatum.

Mr Patelin aura pendant dix jours, à la suite d'une dose de 200k, une aggravation de son état sous forme d'une obstruction nasale totale accompagnée de frissons céphaliques et d'éternuements incessants avec une fatigue extrême particulièrement musculaire. Ensuite, du jour au lendemain, la symptomatologie va s'inverser et lui rendre miraculeusement sa respiration et ce, de manière définitive (après une seconde dose de 1000k deux mois après). Spontanément, il me signale que son entourage le trouve transformé, plus détendu, "plus à l'écoute", "ce qui n'est pas étonnant lorsqu'on peut enfin respirer".

Marie-Chantal, progressivement, grâce à quatre doses (200k, 200k, 10000k, 1000k) réparties sur un an et demie, verra l'ensemble de ses problèmes s'amenuiser pour finir par disparaître. "C'est incroyable, finit-elle par me dire, j'ai oublié mon Temesta sans m'en rendre compte". "Merci à l'homéopathie, me dit son conjoint (qui est Silicea!), elle est transformée et c'est maintenant que je me rends compte qu'elle me terrorisait dans le sens le plus strict du mot!". L'intérêt n'est pas la glorification du prescripteur car nous savons tous qu'un remède simillimum peut donner ce type de résultat spectaculaire. L'intérêt est plutôt, au travers de cas cliniques, de tenter de faire progresser la compréhension des remèdes.

Qu'il y a-t-il de commun chez ces deux patients hormis leur nette amélioration locale et générale par l'activité sexuelle (ce qui n'est quand même pas un critère éliminatif suffisant en soi)? Tout d'abord une sorte d'intransigeance dans la pureté des relations.

Mr Patelin me parle longuement de ses amitiés définitives sans compromis, de ses cassures brutales en cas de déception même minime, de pertes d'amis chers qui l'ont profondément marqué. Il précise: "La vie c'est la mort".

Marie-Chantal, elle, me dit trouver de la méchanceté partout, se sentir écorchée vive, avoir un besoin immodéré d'absolu et de pureté. Tous deux sont mal à l'aise dans l'échange avec une sorte de mélange de quant à soi et d'effronterie abrupte. C'est comme si la relation à l'autre (et même à la vie en général) n'était pas une chose naturelle, coulant de source. Marc Brunson me parlait d'un cas de labrador, chien d'habitude très affectueux, qui ne l'était pas du tout dont on disait pourtant qu'il était gentil. Il avait envie de compagnie mais en même temps mordait et voulait qu'on lui fiche la paix.

L'origine du mot Conium ne nous apporte aucune clef: il vient du grec kônos qui veut dire cône et vient de sa forme ou de celle de sa racine. La plante pousse dans les terres en friche, les haies, les champs, les cimetières. Traditionnellement, on dit d'elle qu'elle n'est jamais loin des habitations humaines. Cette grande ciguë ne doit pas être confondue avec la petite ciguë (cicuta virosa) ni avec la petite ciguë aquatique (aethusa cynapium) qui sont également des ombellifères. Socrate fût "suicidé" en en buvant. La caractéristique de ce poison violent est de provoquer une paralysie ascendante progressive et de laisser jusqu'aux derniers instants toute sa conscience à celui qui l'ingurgite. Devant son ami Criton, raconte Platon, Socrate demanda au bourreau le mode d'emploi de son poison. Il lui expliqua qu'il allait progressivement se paralyser en commençant par les jambes et qu'il lui faudrait alors se coucher jusqu'à ce que la paralysie gagne la respiration!
N'est-il pas singulier que Socrate fût justement victime de cette plante lui dont tout l'art était de pratiquer la maïeutique (du grec maieutikê, art des accouchements) c'est-à-dire littéralement de faire accoucher les esprits, de faire découvrir à l'interlocuteur par une série de questions les vérités qu'il porte en lui, quitte à lui en montrer les contresens ou les insuffisances du raisonnement. Il forçait donc l'échange avec l'autre, le mettant en porte à faux, le poussant au bout de sa raison ...ou de sa déraison, ce qui ne fût pas toujours très apprécié!

De la même manière, les patients Conium que j'ai pu rencontrer mettent, par leur comportement, leurs questionnements, l'interlocuteur mal à l'aise comme ils semblent l'être eux-mêmes. J'ai un autre cas de Conium (cancer du col guéri en trois semaines, datant de 1978 mais malheureusement avec un très piètre dossier ce qui le rend impubliable) dans lequel on retrouve aussi cette relation agressive et "mal dégrossie" à l'autre. Dans ce cas d'ailleurs, la lésion était apparue à la suite d'une continence sexuelle mal vécue.
L'aspect dictatorial traditionnel de Conium ne me paraît ni fondamental ni obligatoire mais traduit plutôt une apparence de comportement réactionnel. Agressif, violent, insupportable probablement mais sûrement sans réel désir de pouvoir ou de puissance. De même, l'outrance à connotation sexuelle de Marie-Chantal me paraît liée à sa personnalité propre plus qu'à Conium soi-même car on peut tout à fait retrouver dans ce remède une inappétence sexuelle ou du moins une libido normale non névrotique.
Il est intéressant, par ailleurs, de décrire le comportement de Marie-Chantal. Loin d'être asociale, elle entre en relation avec tout le monde de manière presqu'excessive. Elle crée des relations personnalisées et amicales avec sa directrice de banque, son gynécologue, les parents de l'amie de sa fille etc. qu'elle invite chez elle à dîner. Après un mois, c'est comme si elle les connaissait depuis toujours, s'intéressant à leurs problèmes, connaissant tout de leurs vies. Elle viole en quelque sorte l'autre qu'elle présente à tel autre qui...etc. On pourrait parler d'hypercommunication mais, d'une certaine manière, mal adaptée. Le cas est moins flagrant pour notre homme de théâtre et pourtant, dès la deuxième consultation, je suis invité avec ma femme à une représentation privée et, depuis lors, si j'avais voulu, j'aurais pu le suivre dans toutes ses "premières".
Ce qui semble central dans le personnage Conium c'est sa difficulté de communication avec le monde et particulièrement avec ses semblables. Comme s'il n'arrivait pas à entrer naturellement dans l'échange et qu'il ne pouvait le faire que de manière forcée soit par une parole inadéquate, inappropriée, soit par la provocation soit par une communication "brute" (entre autre par une sexualité assez primaire).

ADDENDUM SUR CONIUM MACULATUM

Les mânes hahnemanniens viennent opportunément mais un peu tard de m'apporter le complément d'information qui me manquait à propos de Conium. En remettant mon texte à Marc Brunson, pressé par les contingences éditoriales, j'avais un sentiment d'inaccompli dans la compréhension du remède. Tout ce que j'avais lu de ce remède, moulte fois travaillé, m'avait toujours procuré ce même sentiment d'insuffisance, par quelque angle qu'il fut pris. Comment mettre en musique sur une même partition des symptômes sûrs, fiables cliniquement mais pourtant disparates comme la peur et le besoin des autres, une sensualité complexe, une communication abrupte et inadaptée, une relation à l'autre conjointement de fusion et de rejet ?

Une patiente à qui j'avais prescrit Conium il y a deux ans vient juste de revenir en consultation il y a quinze jours. Le résultat de la prise s'est avéré suffisamment spectaculaire pour me permettre d'apporter quelques éléments de compréhension supplémentaires.
"Je dois me protéger de l'autre" me disait-elle. Au point de vivre depuis des années de manière assez recluse, seule avec sa fille. "Je ne supporte pas de sortir, rencontrer des gens, aller au restaurant ou même chez des amis. Je préfère parler au téléphone, même des heures. En compagnie, je m'y perds, je m'identifie trop à l'autre, tant l'étrangeté de l'autre m'intéresse. Je n'ai pas la parole qu'il faut , on me dit aggressive, intrusive, violant l'intimité de l'autre".

Cette fois, le mot-clef de Conium est prononcé. L'intrus, l'intrusion.
Conium a une relation au monde, à l'autre, qui est une relation d'intrusion, avec à la fois un désir et une peur d'être violé et une inclination à violer l'autre pour le connaître plus au fond. Il ne peut avoir avec l'autre qu'une relation forte et puissante, presque d'identification.
Il projette sur l'autre son inclination naturelle à l'intrusion et ressent donc autrui comme l'intrus, à la fois désiré et rejeté.
Le nom même de la plante - CONIUM MACULATUM - prend sens. Interpénétration des éléments mâles et femelles: le cône à la fois symbole phallique intrusif et réceptacle à cette intrusion. Tout cela, on s'en doute, n'a rien d'immaculé !
Pastichant une phrase célèbre, on pourrait dire : nous sommes tous des violeurs!
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Pour illustrer cette tentative de compréhension du remède, j'ai réalisé une extraction à partir du Synthesis où je mets en exergue quatre thèmes particulièrement flagrants.

L'incommunicabilité:
PSYCHISME - DISTRAIT - personnes âgées; chez les
PSYCHISME - PASSION GÉNITALE (érotique) - manque de passion (érotique) - homme; chez l'
PSYCHISME - APPROCHE de personnes - agg.
PSYCHISME - AVERSION - enfants, pour les - tristesse; par
PSYCHISME - AVERSION - amis, pour ses - grossesse, pendant la
PSYCHISME - AVERSION - hommes, pour les
PSYCHISME - AVERSION - femmes, pour les
PSYCHISME - SOUCIS, plein de - compagnie; avec aversion de la
PSYCHISME - COMPAGNIE - aversion pour - peur d'être seul, et cependant
PSYCHISME - COMPAGNIE - aversion pour - étrangers, aversion pour la présence d'
PSYCHISME - COMPAGNIE - désir de - seul; agg. quand il est - peur des gens; cependant a
PSYCHISME - ILLUSIONS - maison - monde; la maison est pleine de
PSYCHISME - SÉPARÉ (BROUILLÉ, ÉLOIGNÉ) - famille; de sa
PSYCHISME - PEUR - grossesse (portée); pendant la
PSYCHISME - INDIFFERENCE, apathie - extérieures - impressions; aux
PSYCHISME - INTOLERANCE
PSYCHISME - PLAISANTERIE - dérision; tourne tout en
PSYCHISME - TRISTESSE - coït (rapport sexuel); après
PSYCHISME - TRISTESSE - compagnie - aversion pour la compagnie, désir de solitude
PSYCHISME - ETRANGER - présence d'étrangers agg.
PSYCHISME - PARLER - non disposé - alternant avec - querelleuse; humeur
PSYCHISME - INCONSCIENCE - chambre remplie de monde; dans une
OEIL - FRANGE tombait devant les yeux; impression qu'une
MASCULINE, SEXUALITE - POLLUTIONS - femmes - flirtant avec une
MASCULINE, SEXUALITE - POLLUTIONS - femmes - présence d'une femme, en
FEMININE, SEXUALITE - COIT - aversion (de) - ménopause, pendant la
FEMININE, SEXUALITE - COIT - refuse le coït conjugal
FEMININE, SEXUALITE - DESIR sexuel - réprimée
FEMININE, SEXUALITE - DESIR sexuel - réprimée - problèmes causés par
REVES - ENNEMIS
REVES - POURSUIVI, d'être - ennemis, par des
GENERAUX - COIT - après - amél.
GENERAUX - SEXUEL - désir; suppression du désir sexuel - ménopause, pendant la

La sexualité:
PSYCHISME - PASSION GENITALE (érotique) - manque de passion (érotique) - homme; chez l'
PSYCHISME - ANXIETE - continence prolongée; par
PSYCHISME - HYPOCHONDRIE - sexuelle - abstinence; par
PSYCHISME - HYPOCHONDRIE - sexuelle - excès; à la suite d'
PSYCHISME - HYSTERIE - sexuel - excitation sexuelle; par suppression de l'
PSYCHISME - TRISTESSE - coït (rapport sexuel); après
PSYCHISME - TRISTESSE - continence; par
PSYCHISME - TRISTESSE - sexuel(le)(s) - d'excès; à la suite
PSYCHISME - TRISTESSE - sexuel(le)(s) - excitation - suppression d'excitation sexuelle; après
PSYCHISME - TRISTESSE - sexuel(le)(s) - excitation - avec
PSYCHISME - PENSEES - affluent en intruses et s'entassent les unes sur les autres - sexuelles
PSYCHISME - PENSEES - tourmentantes - sexuelles
TETE - DOULEUR - sexuel - désir sexuel; après avoir réprimé le
PROSTATE - EMISSION de liquide prostatique - émotion, à chaque
PROSTATE - EMISSION de liquide prostatique - caressant une femme, en
MASCULINE, SEXUALITE - ERECTION - absent - continence, par
MASCULINE, SEXUALITE - POLLUTIONS - femmes - flirtant avec une
MASCULINE, SEXUALITE - POLLUTIONS - femmes - présence d'une femme, en
FEMININE, SEXUALITE - DURETE
FEMININE, SEXUALITE - DESIR sexuel - augmenté - vierges, chez les
FEMININE, SEXUALITE - DESIR sexuel - réprimée
GENERAUX - COIT - après - amél.
GENERAUX - SEXUEL - désir; suppression du désir sexuel - ménopause, pendant la

L'inadaptabilité:
PSYCHISME - MANIERE
PSYCHISME - MALADROIT - confection, couture, broderie; en
PSYCHISME - ILLUSIONS - oie - est; il
PSYCHISME - DISCERNEMENT; manque de
PSYCHISME - DISCERNEMENT; manque de
PSYCHISME - HABILLER; S' - déteste (dans la tristesse)
PSYCHISME - PEUR - grossesse (portée); pendant la
PSYCHISME - HAUTAIN (arrogant) - habits; aime porter ses plus beaux
PSYCHISME - PLAISANTERIE - dérision; tourne tout en
PSYCHISME - RIRE, RIT - épuisement; dans un état d'
PSYCHISME - RIRE, RIT - faiblesse; dans la
PSYCHISME - LUMIERE - fuit la
PSYCHISME - JOUER - désir de
PSYCHISME - LENTEUR - âgées; chez les personnes
PSYCHISME - SUPERSTITIEUX
VERTIGE - REGARDER avec les yeux - droite ou gauche, de n'importe quel côté
VERTIGE - MOUVEMENT - yeux
OEIL - HYPERESTHESIE de la rétine
OEIL - PHOTOPHOBIE - inflammation; sans
VUE - ACCOMMODATION déficiente - lente
VUE - OMBRE; amél à l'
PROSTATE - EMISSION de liquide prostatique - émotion, à chaque
MASCULINE, SEXUALITE - DESIR sexuel - augmenté - érection - avec - incomplète
MASCULINE, SEXUALITE - POLLUTIONS - femmes - flirtant avec une
MASCULINE, SEXUALITE - POLLUTIONS - femmes - présence d'une femme, en
EXTREMITES - COGNES; l'un contre l'autre

L'étranger:
TETE - DOULEUR - pressante - Côté(s) - corps étranger; comme dû à un
TETE - DOULEUR - pressante - Front - boule; comme dû à une
TETE - DOULEUR - corps étranger, comme s'il y avait un
TETE - DOULEUR - Côtés - à droite - corps étranger; comme dû à un
TETE - DOULEUR - Côtés - corps étranger; comme dû à un
TETE - ETRANGER, corps; impression d'un corps dans l'hémisphère droit du cerveau
PSYCHISME - ILLUSIONS - personne - entrant dans sa chambre; il entend une personne
PSYCHISME - ILLUSIONS - pièce (chambre) - gens; voit des - chevet; à son
PSYCHISME - ILLUSIONS - gens - devant lui
PSYCHISME - ILLUSIONS - gens - entrant dans la maison la nuit
PSYCHISME - ILLUSIONS - porte; quelqu'un entrait par la (la nuit)
PSYCHISME - ILLUSIONS - animaux - lit - dansant sur son
OEIL - FRANGE tombait devant les yeux; impression qu'une
VUE - RAIES
VUE - FIL devant
NEZ - ODEURS, imaginaires et réelles - poix; brai
NEZ - ODEURS, imaginaires et réelles - goudron
NEZ - DOULEUR - corps étranger, comme par un
GORGE - DOULEUR - pressante - Oesophage - balle; comme par une
ABDOMEN - CHOCS - foetus, comme provenant du
POITRINE - DURCISSEMENT - seins - droit
DOS - POLYPE
DOS - TUMEURS - pédiculées, bleuâtres aussi grandes qu'une cerise
GENERAUX - CANCEREUSES, affections - os, des
GENERAUX - INDURATIONS - glandes - blessures, après