s SPA MARS 2006

Congrès SPA MARS 2006

Dr Jacques  PRAT 

1 RUE ANDRE AMPERE
76300 SOTTEVILLE LES ROUEN 



A propos du lait maternel en homéopathie


Cas n° 1

à la suite du récent décès de sa sœur de 47 ans d’un cancer ovarien généralisé. 

«’ai du mal à m’en remettre, amorphe, je ne suis pas gaie». Passé les propos sur ses douleurs ’arthrose’épaule gauche qu’elle sent craquer, son «», «ût à grand–chose», elle précise qu’elle a toujours été comme cela, et qu’«». Pourtant son travail  de secrétaire est moins stressant qu’à une époque. 


J’ai eu beaucoup de soucis familiaux, et en particulier les décès de ma mère il y a trois ans, et celui de ma sœur cet été. Ma nature, c’est de m’en faire trop pour les autres et j’ai assumé les enfants de ma sœur, les deux plus jeunes qu’elle a eu de son deuxième mariage. J’ai la sensation  que mon corps est rempli de douleurs, que je dormirais tout le temps’endors car j’en ai plein la tête et j’éteins ainsi tout cela. J’ai la sensation de ne pas vivre pour moi mais seulement pour les autres. Depuis des années je donne, je donne pour les autres et il n’y a plus grand temps pour moi.


Je suis l’aînée de trois enfants et mon frère ne me parle plus car il ne parle plus non plus à mon père qui a rencontré quelqu’un’ai accepté ce fait, je me retrouve seule, car par ailleurs je n’ai pas spécialement de bons rapports avec ma belle mère, et ça m’a perturbé. J’ai toujours aidé les autres pour porter secours dans la famille et je n’ai jamais eu de retour«’est normal que je donne». Je vais toujours vers les autres’un a besoin, je vais vers lui ou elle, pour l’aider même si je dois me priver pour pouvoir donner, il faut les aider parce que je ne veux pas qu’ils aient des problèmes ni d’ennuis.  Sinon ça me fait mal, ça me fait souffrir


Dans mon enfance, j’ai toujours aidé ma mère, donné de l’aide en tant qu’aînéeée, mon frère a vécu pour lui, ma sœur aussi. C’est toujours sur moi que mes parents ont compté et j’allais vers eux. Et c’est avec moi que ma mère a été la plus sévère’en ai souffert alors que ma sœur pensait que j’étais la préférée.
Enfant, j’ai été privée. J’ai travaillé de 16 à 20 ans et toujours donné mes salaires à mes parents car ils avaient des difficultés financières’aurais bien voulu avoir quelque chose pour moi. J’ai toujours souffert intérieurement et gardé pour moi. Je ne l’ai jamais dit. Je n’y pense pas trop, ce n’est pas juste mais bon…Ma mère a toujours été dure et sévère avec moi, car moi je ne disais rien. Même jusqu’au bout de sa vie car elle ne pouvait compter que sur moi, à la différence de mes frère et sœurœur qui m’appelait quand elle–même n’allait pas bien et que j’ai hébergée par deux fois, sur une durée totale de six mois. Pourtant j’ai des soucis d’argentœur en particulierœur qui devait me rembourser et  j’attends toujours. Tout ça pour aider’ils vont mieux, ils ont moins de soucis, je vais mieux.


’ai eu des problèmes de genoux et de disque écraséèreère, contrariée pour l’écriture.
A 37 ans, j’ai subi une hystérectomie car ma deuxième grossesse à 36 ans a été suivie d’une fausse couche à 3 mois à cause d’un fibrome qui a grossi.


Mes douleurs d’arthrose avaient disparu, et ça revient depuis le décès de ma soeur. J’ai perdu ma mère à l’age de 67 ans, ma sœur à 47 ans et j’ai la sensation que je vais être la troisième, que je vais mourir jeune. J’ai toujours peur d’avoir une maladie graveêve de ma mère, elle va toujours mourir, comme ma sœurès de la mort. L’une comme l’autre, j’ai été près d’elles jusqu’à la fin, avec une peur folle et angoisse terribleêtre toujours en forme. C’est comme mon bras gauche, je vois le pire, et peut être qu’il ne reviendra jamais’obligation de faire quelque chose. Depuis mon dernier traitement, je suis anxieuse mais je rumine moins.
Premier remède  X 200K. (Natrum silicata) 
14 Janvier 04à part qu’elle évoque sa sensation de grand vide en l’absence de sa soeur.  Evoque également la ménopause en coursépaule gauche. Je vois tout en noir. Elle voyait auparavant un confrère qui lui donnait Y «».
Remède Y200K (Calcarea silicata)


24 02 04 Pas bien moralementèmes hormonaux et ménopause. Je pense beaucoup à ma sœur qui me manque beaucoup, et je pleure en y pensant. Je ne me sens pas gaie. Mon épaule a toujours du mal à se lever, sur le coté surtout. J’ai peur d’avoir quelque chose de grave, mais moins la peur de mourir jeune’un seul coup. Je me soucie pour mon fils qui n’a pas de travail fixe.
R Z 200K (CCN)



ès fatiguée même si mieux moralementès contrariée depuis que je connais ma belle mère. On se connaît depuis que j’ai 15 ans, et elle  m’a très souvent  fait sentir son autoritarisme, elle m’a dominé et toujours blessée, contrariée, et surtout je n’ai jamais rien dit. Je pense très souvent à elle, ce qu’elle m’a fait’est toujours présent, elle n’a pas été gentille, et n’a jamais eu de retour quand j’allais vers elle.

’on prenne la suite avec mon mari. J’ai beaucoup pleuré de retour chez elle, et encore je pleure. Même si de moins en moins souvent, on y va par respect pour mon mari.
Ce fut pire quand on a eu mon filsété très méchante et autoritaire, sans affection, très froide et ça me ronge au fond de moi–même. On m’a toujours poussée à lui parler, lui dire qu’elle  m’a fait beaucoup de mal’ai fait ce qui ne n’a rien changé. Et j’ai souvent reporté mes humeurs sur mon mari qui craint sa mèreà elle et lui non plus. Je n’admets pas des choses comme ça. Quand ils sont loin je me sens mieux.



’à 15 ans, j’ai eu une bonne enfance et je craignais ma mère. Une image me reste vers 3–4 ans, un soir on a cherché ma mère dans le village qui était sortie après une dispute conjugale’a retrouvée sur la route (je donnais la main à papa). J’y pense de temps en temps, plus depuis son décès à elle, et je découvre mon père depuis ce moment.

ère qui était malade quand elle était enceinte de moi. Ma grand–mère est décédée le jour de ma naissance (à terme)ère m’a dit «’ai portée la peur de voir ma mère mourir», me confiant de plus qu’elle aurait bien voulu faire une fausse couche. Elle a souvent essayé de faire revenir ses règles (marcher dans  l’eau froide). 
Moi tous les jours, j’ai peur de mourir, d’un cancer, de la maladie. 


Plus tard elle «été séparée de moi» pendant un an, vers deux ans où je suis allée chez mes grands parents. Je la revois à l’hôpital où elle revient vers moi.
Elle m’envoyait la nuit dehors s’il y avait quelque chose à aller chercher , pour se rassurer elle.
Sacc off LM8


12 Mai 2004

Je suis beaucoup  plus calme’a diagnostiqué une descente d’organe avec des douleurs dans le bas ventre et une grosseur dans le vagin (en allant aux toilettes). Je suis actuellement prise de douleurs partout dans le corps. 
 Je m’effondre facilement, je pense très souvent à ma sœur, d’autant plus que c’est l’époque où elle est tombée malade il y a un an. Dès que j’ai quelque chose, j’ai peur de la gravité, et du cancer surtout, car c’est la mort, pour moi je vais mourir’ai ces idées surtout depuis le décès de ma mère (cancer du sein généralisé) et aggravé depuis le décès de ma sœur (cancer de l’ovaire généralisé) et ça m’obsède. Je me pose la question de me faire enlever mes ovaires pour ma tranquillité personnelle.
J’ai toujours connu ma mère dans la peur, et elle a vécu ma grossesse 9 mois dans la peur, et elle a accouché le jour de la mort de sa mère (cancer utérin).
Et cependant j’ai une nature gaie, j’aime m’amuser et rire, mais j’en perds. Ce qui m’a manqué le plus, c’est de n’avoir jamais été à l’aise avec ma mèreécès, je me sens libérée de quelque chose, car j’avais toujours peur de la blesser, peur de ne pas faire ce qu’il fallait’étais là pour l’aider, pas pour la soucier, pour qu’elle aide mon frère. Elle ne m’a jamais dit qu’elle m’aimait’arrivais pas à parler avec elle’ai jamais eu de câlin avec elle et je la craignais énormément.
Sacch off XMK


21 06 04

Quand je pense à ma mère, je vois quelque chose de plus heureux. Mais on vient de me découvrir des micro calcifications du sein droit (gauchère contrariée). Je voudrais que mon petit fils (fils de mon fils) soit mon fils. Et je n’ai pas le droit car j’aurais tendance à materner cet enfant, et même les enfants de ma sœur décédée il y a un an.
Je voudrais qu’ils m’aiment, j’ai peur qu’ils ne m’aiment pas assez
A 200K


22 07 04

Je me suis faite remonter la vessie le 24 Juin’a enlevé également les ovaires pour ma tranquillité personnelle. 
Quand j’ai perdu mon deuxième enfant par fausse couche, j’ai acheté un caniche et j’ai élevé ce chien comme un enfant, jusqu’à sa mortété dans mes bras jusqu’à sa mortême chose dès que je vois un caniche. Et ce caniche n’est toujours pas enterré, il est congelé car je n’ai pu me résoudre à le mettre en terre’avais acheté pour mon fils de 10 ans à l’époque. Il a eu son [mon] petit caniche, plus pour moi que pour lui.


à ma mère car j’ai toujours eu peur d’elle et je me sens libérée de sa mortça m’ennuie vraiment de penser cela.




22 09 04
Je me sens vraiment mieux, j’ai du changement, je ne me sens pas la même, j’ai moins de peurs’éloignent. On me trouve plus gaie, je suis moins grave qu’avant. Cependant le stress au travail est toujours làça me serre l’estomac quand je travaille’ai un poste chargé et malgré que je n’ai pas assez de temps pour le faire, je m’en sors, et quand je sors du boulot, je n’y pense plus, ce que je n’étais pas capable de faire (je m’endormais et me réveillais avec le dossier dans la tête.
Pas de traitement.


17 11 04

Je suis mieux, sauf depuis une semaine avec plein de choses dans la tête, dont mes beaux parentsère avec qui j’ai toujours eu du mal à m’entendre, a renié sa parole par rapport à mon père, quand à une promesse de locationça et je culpabilise par rapport à mon mari, et en même temps soulagée de pouvoir rompre.
 Je dois aussi faire un courrier pour la caution d’une nièce qui ne paye plus ses loyers depuis plusieurs mois’il se sépare de sa femme (après 5 ans de vie commune)é pour mon petit fils. Et cependant j’ai mieux assumé, avant cela aurait été pire car ça fait beaucoup en même temps.
Le plus fort c’est pour mon petit fils car ils se séparent et ne peuvent pas vivre ni l’un ni l’autre sans leur filsétractée de moi–même, je me suis dit c’est pas mon rôle, c’est pas moi qui peut, alors qu’avant j’aurais voulu tout prendre en main. Cette fois ci, j’ai eu l’impulsion de le protéger, de le prendre aussitôt, et aussitôt je me suis dit, je me sens bien à ne pas m’en mêler.
Avant aussi j’aurais pris les choses à bras le corps pour mes beaux parents, et je me sens heureuse de me direérée d’un poids, et c’est plus fort que la culpabilité que j’ai par ailleurs.
Cependant j’ai toujours peur d’avoir un cancer du sein, mais c’est moins fort aussi’en sortir, que je peux m’en éloigner. Je refuse d’enlever mes micro calcifications comme on me le conseille, car j’ai peur qu’ils me fassent mal, peur du traitement qui va suivre, et peur qu’ils n’expérimentent sur moi comme sur un cobaye. Je suis contente d’avoir fait enlever les ovaires, ils sont partis et je n’ai plus peur. Avant j’y pensais tout le temps à ce sein, mais même s’il y a un mal, je me sens plus forte que le mal, et il ne se développera pas.
Avant je n’osais pas contrarier les autres, et je dis désormais ce que je pense, sans m’occuper de leur avis, même à la maison quand j’avais des choses qui traînaient. Je prends plus le temps et je m’attarde moins sur les «». Même au travail, je suis beaucoup plus patiente sans rouspéter je réponds et je pars à l’heure sans me morfondre sur ce qui n’est pas fait. Ca me fait drôle d’être aussi bien.
Pas de remède.
17 01 05

Le résultat tient, je suis en questionnement avec ma belle mère avec qui je doute d’aller ou pas’est bref car elle ne fait aucun geste pour moi, et je suis approuvée par mon mari. Car c’est mon fond  d’aller vers les autres, mais je ne veux pas céder car elle ne m’appelle pas. Je suis toujours mieux à mon travail, je vis beaucoup mieux les choses. Mon seul souci actuel, ce sont des infections urinaires avec souvent envie d’uriner, et des douleurs continuelles du bas ventre avec des bouffées de chaleurèmes datent  de l’opération vésicale. Ma libération vraiment c’est d’être libérée du qu’en dira t on’est fini, je ne le fais plus. Je dors bien, et je ne rêve pas’avant au présent, que dans l’avenir que j’appréhendais sans que cela change quoi que ce soit. J’ai toujours quelques bouffées de chaleur. Et aussi je pense beaucoup moins à mon chien dont j’envisage enfin son enterrement dans le jardin  ou ailleursça aussi ça s’éloigne et je sens que je peux regarder sa photo sans problème.




ée au changement de saison, et peut être que j’assume moins bien.. J’ai portant vécu un gros changement’assume mieux les problèmes, les soucis ne me minent plus comme avant, je laisse tomber beaucoup plus vite. Au travail comme en famille, dont avec ma belle mère que je laisse pour ce qu’elle estégalement, j’assume même s’il y a beaucoup d’injusticeême si ça me tord dans le ventre, sortie du travail, je tourne la page. 

égatif, je râle beaucoup moins qu’avantègue l’ont remarqué, et je suis beaucoup plus souriante. Je me sens aussi mieux dans mon corps, avec beaucoup moins de douleurs partout. La peur du cancer reste toujours présente mais je l’évacue très viteême point, et je n’ai pas revu mon médecin la dessus. Je sens que je me sens forte sur ce point. J’ai un peu de bouffées de chaleur.
A la maison, je suis moins maniaque que je ne l’étais, il y a désormais plus important que le «é nickel», je suis capable de partir même si la maison n’est pas propre ou entretenue.
Au   niveau urinaire, ça va mieux, même s’il faut que je sois debout pour uriner et que ça coule bien (conséquence post opératoire d’une  remontée de vessie).
Je dors bien après avoir eu des troubles du sommeil en Août et Septembre peut être par la préparation de nos 35 ans de mariage.
Le genou droit va bien, je prends Harpagophytum qui m’aide bien. Le stress du travail engendre parfois des douleurs d’épaule qui s’estompent facilement le week–end.
Je suis également contente car mon frère, par belle sœur interposée, m’a ré–invitée à son anniversaire’est OK de ce coté aussi.
Du coté de mon fils, lui et sa femme se sont remis ensemble, et un enfant doit naître en Novembre. Mon coté maternage s’éloigne vraiment, notamment vis–à–vis de mon petit filsésormais, «» se débrouillent, et chacun à sa place, moi la mienne est seulement celle de mamie.

’avant je voulais solutionner tous les problèmes de tout le monde en allant au devant des autres’est fini et je m’en sens soulagée, je ressens une grande libérationé revient, j’en suis consciente et je ne  peux  plus me laisser aller ainsi. Je connais mes limites.

ère je n’y pense plus comme avant, je ne me souviens que des bons souvenirs. Je n’ai rien à lui reprocher mais je ne me suis jamais aperçu qu’elle m’aimait. Je n’osais pas aller vers elle, je n’ai jamais été à l’aise avec elle, mais je faisais tout pour elleée à fond pour elle, en négligeant tout le monde pour ne pas la contrarier et ne pas la décevoir’est peut être dur à entendre, mais je suis plus à l’aise maintenant qu’elle n’est plus là. Je faisais tout pour paraître, et j’y pense de moins en moins, mais je sais que j’aurais préféré contrarier mon mari qu’elle, pour ne pas la contrarier ni la décevoir’ose pas trop en dire car ma culpabilité a été longtemps là, qui s’évacue et s’estompe désormais. De même que pour mon fils je faisais comme pour ma mère, et là aussi je me corrige, j’accepte que mes enfants soient comme ils sont, et pas comme je voudrais qu’ils soient.
Quant à mon caniche, il n’est pas enterré car mon mari traîne désormais à lui faire une caisseça serait moi, il serait sous terre depuis longtemps.




Cas N° 2

éane est âgée de 4ans 3«». Cette enfant est placée dans une famille d’accueil (couple d’une cinquantaine d’année, eux mêmes parents, et récemment grands parents)ère d’accueil Marie Claude (qu’elle appelle «»), qui s’en occupe depuis Janvier 05. 

«évolutif  récent, avec augmentation du droit de visite de ses parents vis–à–vis d’elle, et de ses frères et sœurs. Suite à la première visite chez sa mère, qui a donc duré plus longtemps que d’habitude (c'est–à–dire une après midi entière, au lieu d’une heure et demi), elle s’est mise à régresser au retour chez nous».
«à nouveau, me suit partout, a du mal à se séparer de moi, a des comportements de provocation, des colères, elle rampe, se cache derrière les rideaux, et comme à chaque fois qu’elle a du mal à se séparer, elle parle des indiens». 
«’images TV où elle a eu peur, et aggravé depuis son retour de chez sa mère, elle a pleuré«J’ai du chagrin, mais je ne sais pas dire pourquoi. J’ai peur des loups, des indiensils sont là» à s’endormir.
«èvre cette nuit là», et «’ai dû rester auprès d’elle, car elle m’en suppliait, ne supportant pas d’être seule avec une angoisse sur le visage dès que je m’éloignaisême cet éloignement en dormant, cela la réveillait».
J’ai fini par la montrer au médecin traitant, qui n’a rien trouvé de spécial. Puis «à nouveau réclamé maman, demande expresse avec grosse tristesse«je veux maman, je veux maman» Alors elle s’est mise à tousser, et dit«je veux aller chez ma vraie maman pour l’aider à grandir».

«é, elle tousse», l’examen urinaire prescrit est revenu stérile, et le médecin a diagnostiqué et prescrit pour une bronchite. A table hier soir,é maman, puis sans pleurer et très sérieusement: «éparer et y aller, et je vais vous inviter».
’est ce que vous ressentez qu’elle ressent«Je ressens qu’elle avait fait abstraction de sa mère et qu’elle l’a redécouverte à nouveau. Elle se pose plein de questions sur sa situation et pourquoi elle en est làà la bouche et elle aime très fort jouer au bébé, à ne veut pas être Océane, surtout pas».


X 200K dans le cabinet (sans précision sur le nom du remède).
Résultat au tél le 7«ère ORL s’est dégagée, la fièvre est tombée, et surtout, elle a changé aussitôt’est posée, devenue souriante, comme réparéeévoqué sa mère sans pleurer ni crier, elle est même restée dans sa chambre, et s’y est endormie’est métamorphosée»


Mi Novembre, nouvel épisode fébrile , avec consultation le 18èvre depuis 3 jours, après son retour d’écoleà nouveau fièvre le soir, où elle s’est mise à tousser, toux rauque, et ça paraissait douloureux. Hier journée fébrile à domicile°4 avec toux rauque.
Elle donne la sensation d’avoir peur, elle panique de la tête au pied, elle tremble, elle a dû faire un cauchemar, elle a parlé d’un loupéclenche
L’examen révèle un voile du palais rouge vifécise qu’elle se les tient quand elle ne veut pas entendre quelque chose, elle les tient en disant «’ai mal aux oreilles».
A propos de la dernière consultationé l’évolution très notable suivanteéane a fortement changé en ce sens qu’elle situe beaucoup mieux les personnages de ses jeux, avec beaucoup moins de confusion entre les personnagesqu’elle permutait ou inversait volontiers les rôles’un instant à l’autre en cours de jeux.
Ces jours ci’était vraiment apaisée durablement ces derniers temps. A ce moment de la consultation, Océane met sa main sur la bouche de «», pour visiblement tenter de l’empêcher de parler’elle cesse.
Océane parle beaucoup de sa mère, en décrivant des scènes qui l’inquiètent, où maman tombe, maman est comme un bébé, fait des bêtisesée de rajouter «à maman, ni à papa»’ailleurs, en montant dans la voiture le premier soir de sa fièvre, elle a dit«tu ne dis pas  à papa les bêtises que maman fait»’est beaucoup confié à Emmanuelle (20 ans , fille de Marie Claude), en disant «’a tapé», sans qu’on puisse définir vraiment l’ancienneté ni la réalité de la scène.
L’angoisse s’amplifie de jour en jour«’est ce qu’on fait demain», elle semble avoir hâte d’y aller, mais en même«»et la dernière fois elle a dit «»elle semble à la fois angoissée d’y aller, et contente d’y arriverée par un malaise en elle.



’eauère à café toutes les heures jusqu’à endormissement (sieste ou nuit). Au réveil le lendemain, en forme, pleine de vie, malgré un réveil où elle a cherché  à tousser et fini par cracher des glaires purulentes, seul son nez coule. L’idée d’aller chez ses parents la rend joyeuseère impression du matin est favorable. Le sourire de ce matin a remplacé la fatigue d’hier matin.




Histoire antérieure d’Océane
Elle est issue d’une fratrie de 6 enfants, dont 3 plus jeunes qu’elleère: 2  (première épouse) + 6  (dont Océane). Océane a d’abord été dans sa famille, puis en foyer, puis dans une première  famille d’accueil à 18 mois, puis à nouveau en foyer (Océane écoute de façon agitée, puis se cache le visage  dans les bras de Marie), puis sa deuxième famille d’accueil (celle d’aujourd’hui) «». Les parents biologiques n’ont pas de domicile propreécu au domicile de leurs propres parents’alcool et de violence conjugale a prioriécédents de traumatisme crânien pour Océane (carnet de santé). Océane et son frère ont été recueilli sur la route errant et/ou fuyant leur maison.
Quand je l’ai vue en consultation la première fois en Juin 05, Marie Claude me la présente comme une enfant excitée  à l’extérieur dès que l’endroit est inconnu. En effet Océane envahit mon cabinet et touche à tout ce qu’elle trouve. Il faut lui courir après en permanence, elle n’a pas d’attention, elle fiche le camp. A cet instant Océane se blottit dans les bras de Marieétude est de repartir «»ù elle a vécu. 

’a recueillie en Janvierelle m’appelle «» au lieu de «», c’est un jeu pour elle«à la maman et au bébé»à ce moment de la consultation, Océane parle fort, crie, ricane bruyamment. Elle a vraiment besoin de dire «», qu’elle est susceptible de répéter 20–25 fois de suite.

âche pas une minute, elle vérifie sans cesse que je suis bien làà l’extérieur dans la rue, cependant elle est en fuite, nous oublie, on doit toujours lui mettre le grappin dessus, la prévenir d’un danger sans arrêt. Dans notre jardin, elle n’y va qu’accompagnée elle vérifie toujours que je suis là. Elle a des soucis d’asthme et a fait une bronchiolite.

On la sent très inquiète de ce qui va lui arriver dans l’heure qui vient ou dans l’avenirécipite souvent, chute souventà se concentrer alors qu’elle comprend très bien. Elle a du mal à se séparer de moià l’écoleée de classe se passe bien d’après la maîtresse, voire même admirable par rapport aux autres enfants qui semblent plus agités en cette fin d’année scolaire.
Elle voit ses parents 1H1/2  par semaine avec ses 3 frèresé de se loger pour récupérer Océane, plutôt que ses frères, à terme.
Les tracteurs lui font peur «à la poubelle» dit elle’arrête et dit «à la poubelle».
Elle dit toujours avoir une dent cassée, persuadée de l’avoir, et s’en inquiète pour les autres’interpelle pour me dire «». Elle a besoin d’attirer l’attention, elle crie ou parle fort par peur qu’on ne s’occupe plus d’elle, ou alors parce qu’elle n’a pas envie d’entendre. Elle a aussi un comportement pour faire monter le ton de sa voix et finit par se taper ou se dire «»…

’elle a refusé il y a une semaine avec la psychologue qui la suit régulièrement, elle nous empêchait de parler, et disait clairement qu’il y avait deux Océane, «»Parfois elle fait quelques tentatives pour me dire «», quand elle est fatiguée, ce que j’autorise «»«à la maman et au bébé
Quand on part de chez quelqu’un, il arrive souvent qu’elle ait emporté et dissimulé un objetépété avec connotation de vol. Avec ses poupées, elle leur met des pansements sur la tête «és»ême a eu une période traumatique, elle se cognait partout.





A) Les symtômes qui m’ont frappé 



Symptômes retenus dans l’anamnèse de la maladie de Claudine


’épaule gauche qu’elle sent craquer

’allais vers elle.

’ai jamais eu de câlin avec elle et je la craignais énormément.





Symptômes de l’évolution  de Claudine

mon instinct de protection… je me suis rétractée de moi–même, je me suis dit c’est pas mon rôle

’est pas fait
– Ma libération vraiment c’est d’être libérée du qu’en dira t on
– j’envisage enfin son (le chien) enterrement dans le jardin  
– les soucis ne me minent plus comme avant, je laisse tomber beaucoup plus vite

– La peur du cancer reste toujours présente mais je l’évacue très viteême point, et je n’ai pas revu mon médecin la dessus. Je sens que je me sens forte sur ce point
– des douleurs d’épaule qui s’estompent facilement
– Mon coté maternage’éloigne vraiment
– qu’avant je voulais solutionner tous les problèmes de tout le monde en allant au devant des autres’est fini et je m’en sens soulagée, je ressens une grande libérationé revient, j’en suis consciente et je ne  peux  plus me laisser aller ainsi. Je connais mes limites.

ère je n’y pense plus comme avant, je ne me souviens que des bons souvenirs

je faisais tout pour elleée à fond pour elleégligeant tout le monde pour ne pas la contrarier et ne pas la décevoir’est peut être dur à entendre, mais je suis plus à l’aise maintenant qu’elle n’est plus là.
– j’aurais préféré contrarier mon mari qu’elle (ma mère) pour ne pas la contrarier et la décevoir
– ma culpabilité a été longtemps là, qui s’évacue et s’estompe désormais

j’accepte que mes enfants soient comme ils sont’ils soient.

’est pas enterré car mon mari traîne désormais à lui faire une caisseça serait moi, il serait sous terre depuis longtemps.


La consultation du 21 Janvier 2006 confirme l’amélioration d’ensemble
– «é et je suis soulagée, je me sens libérée…» 
– «ême si je pense toujours à ma mère en ce début d’année, comme tous les ans ériode anniversaire de ma prise de conscience qu’elle ne s’en sortirait pas–, je me reprends mieux qu’avant, il y a quelque chose de changé en moi, la souffrance est moins lourde qu’avant…je culpabilise quand je ne pense pas à elle mais cela s’atténue d’année en année (2èmeême si j’ai encore du mal à couper avec elle, avec ce sentiment d’agir pour ne pas la fâcher, la peur de faire des choses qui pourraient la contrarier car j’étais sous sa dominance…
– «’ai une libération en moi, même au travail où  de plus je viens d’apprendre une bonne nouvelle pour ma retraite anticipée…
Lac humanum XMK dilué 5 fois.



Synthèse et hiérarchisation a posteriori


Pour Claudine
1 ) Maternage de sa mère 



 2 ) Antécédents


       
 3) Mal aimée par sa mère




 4) Aider et materner les autres


5) Soucis du qu’en dira t on

Pour Claudineécis et plus fiables dont je dispose m’ont fait pensé d’abord à  un «», où le nouveau né «érite» en quelque sorte de l’âme du défunt (sa grand–mère maternelle). Claudine naissait et évoluait un peu comme mère de sa mère, qui elle–même est très inquiète pour la sienneême temps comme fille sous la domination d’une mère qui a tout fait pour se débarrasser d’elle pendant la grossesse. Pour moi, ces deux immenses situations de fusion et confusion lui confèrent un «ère»  définir sa propre identité. ’ai prescrit sur ce thème.
Ce qui rejoint les conclusions des proving  ès marquée,é/communauté, se conformer au groupe/se sentir abandonné…Lac Maternum  où l’on mentionne la communication erronée entre la mère et l’enfant et la




Symptômes de l’observation d’Océane



Symptômes frappants retenus a posteriori  dans l’histoire d’Océane 








Pour Océane



       
  1. Martenage de sa mère


  2.    
  3. ’aider à grandir


  4.    
  5. écrit des scènes qui l’inquiètent, où maman tombe, maman est comme un bébé, fait des bêtises



       
  1. Maltraitance


  2.    
  3. ès avoir été injurié, maltraité; 


  4.    
  5. écédents de traumatisme crânien

  6.    
  7. recueilli sur la route errant et/ou fuyant leur maison.


  8.    
  9. Sensation d’être mal aimée par sa mère


éclamé maman, demande expresse «», «à la maman et au bébé».





       
  1. Confusion d’identité






       
  1. Hallucination ou rêves vivants



érison elle a évoqué



Océane a des propos édifiants sur sa propre personnalité, et sa «é» vis–à–vis de sa mèreé puisqu’elle réclame maman avec force, et s’imagine en devoir la protéger. On m’a parlé à ce propos d’ «», c'est–à–dire de responsabilisation précoce avec inversion des rôles.
Le 27 Janvier 2006,  Marie raconte qu’elle parle beaucoup moins de sa mère, mais beaucoup de son «ère qui dit des gros mots»évoque et reproduit des gestes sexualisés avec sa poupée’une médiatisation . elle est très perturbée par son père’expulser, de cracher  la nuit.
L’attitude est difficile au quotidienée, accrochée à mes jambes, ne supportant pas d’être seule dans une pièce, se sentant comme menacée, vérifiant si  les portes  sont fermées. Actuellement elle ne peut s’endormir seule, toujours avec Marie, et hurle si je ne suis pas là, suppliant encore de peur«». Une fois endormie, elle dort d’une traite jusqu’au matin, où même si elle est réveillée, elle peut rester dans son lit sagement. Manifestement l’angoisse monte le soir à l’endormissement. Mais elle n’a plus de propos d’adultisme.




ésumerai leurs situations en une proposition été ou sont encore en partie, dans leur imaginaire, en situation égotrophique de mère de leur mère, «ères». 

énom. 

ère médicale comparée un peu plus loin.








B) Les matières médicales existantes


épertoriant dans les différentes matières médicales existantes, voici ce qu’il est possible de construire a posteriori, avec des similitudes limitées

Pour Claudine

1) A partir de la Matière médicale de Lac humanum retrouvée dans Radar éférencée J. Hougthon et E. Halahan (pathogénésie de 93) et San Karan (Proving 98) 

épression
– perturbations hormonalesées de chaleur, sang chaud
.

 Lac humanum selon ref Work êmes références; noter à ce propos les étonnantes différences entre Radar et Ref Work)


Anxiété au sujet d’enfants
Détaché par  ego (quand sa mère meurt)
Peur ; général, en 

ère


Cancéreuses, affections héréditaires


3) Lac maternum repris dans Radar



Chaleur – bouffées de chaleur  pendant la ménopause


Pour Océane

1) Lac Hum selon Radar


2) Lac humanum selon ref Work 




énéral, chez les enfants

ère, irascibilité; en général
Concentration difficile chez les enfants 

Écart, se sent mis à l' 



3) Lac maternum repris dans Radar


é de concentration

és, incorrects
Illusions, hallucinations, entend des voix 

Troubles suite de– injurié, maltraité; après avoir été



Les matières médicales actuelles sont incomplètes ce qui n’est pas étonnant. Il est évident que la synthèse des trois sources est parlante, alors que chacune des répertorisations n’est pas a priori spécifique de ce remède. Par contre il est surprenant  à cette occasion de constater que les extractions des deux bases de données (Radar et Ref Work) ne donnent pas des résultats identiques, ce qui pose une question de fiabilité de chacune.
Je note que les répertorisations sur Lac Humanum et maternum donnent des résultats in complets pour chacun, mais  voisins l’un par rapport à l’autre.



C) Divers aspects de l’allaitement maternel et du lait maternel


éristique commune à tous les mammifères est que la femelle sécrète un liquide nutritif spécifiquement conçu pour la nutrition du petit de l’espèce. La fonction primaire du lait de mammifère est de nourrir un nouveau né dépendant et vulnérable. Mais il y a 4000 espèces de mammifères, donc plus de 4000 laits à différencierécificité du lait humain


Les lectures sur ce sujet sont innombrables et j’y ai retrouvé bien des faits connus dont je donne quelques brides:
…Dans toutes les sociétés humaines, le lait de femme a longtemps été le seul aliment possible pour le nouveau né’entraîner la mort à plus ou moins brève échéance. L’allaitement maternel était la règle générale ou à défaut l’allaitement par une autre femme.

Pendant des millénaires, l’allaitement au sein a été la norme… Le lait représente l'aliment idéalèce, mais pour un temps limité et dans certaines conditions seulement d'état des réserves initiales, de comportement, de milieu de vie. Son intérêt nutritif se restreint encore s'il est destiné aux membres d'une autre espèce……En nutrition infantile, la composition du lait maternel est une sorte d'étalon or.é qui s'y trouve possède à priori une utilité nutritionnelle ou immunitaire. Quand, dans le jeune âge, le lait de femme vient à manquer, le substitut proposé devrait ressembler au lait humain plus en ce qui concerne ses fonctions biologiques qu'en ce qui concerne sa composition chimique. Aucun lait animal ne possède naturellement ses qualités, ce qui est logique s'ils sont eux aussi profilés pour répondre au mieux aux besoins de chaque espèce. 
…Non seulement le lait maternel imprime les caractéristiques de croissance et de développement (que certains jugent idéales), mais encore sa composition subit des variations qui semblent également répondre aux besoins changeants du petit. Cette dynamique existe dans toutes les espèces, mais est spécifique de chaque espèce.



…une carence en Acides Gras (AG) essentiels, linoléique (18:2 n–6) et a– linolénique (18:3 n–3) …a des répercussions sur l'apprentissage et les performances. Ces considérations concernent non seulement l'enfant après 1 ou 2 ans, mais aussi et surtout le nourrisson qui, à la différence des autres espèces de mammifères, a une maturité cérébrale très imparfaite à la naissance.
… la comparaison des performancesôle des AG PI n–3 (poly insaturés), présents uniquement dans le lait maternel.
…les points d'impact de l'allaitement maternelà longues chaînes (LC) se situent au niveau des voies métaboliques des deux familles d'acides gras w3_et_w6_(5). L'incorporation de ces acides gras dans les tissus nerveux du nouveau–né dépend (entre autre) de la quantité d'AGPI disponibles dans le lait maternel, c'est–à–dire de ces AGPI–LC eux–mêmes, mais aussi de leurs précurseurs respectifs, l'acide linoléique et l'acide a– linolénique. Tous sont tributaires de la quantité présente dans l'alimentation maternelle au cours de l'allaitement comme pendant la grossesse éveloppement fœtaléique/linolénique qui tient au phénomène de compétition entre ces deux substrats pour les différentes étapes enzymatiques de désaturation et d'élongation des acides gras. 

éfenses immunitaires de toute une vie. Les relations entre lait et immunité,éonatales, sont sans aucun doute d'une importance capitale pour la santé d'un être humain. Le lait maternel est irremplaçable pour conférer une immunité passive chez le nourrisson,ée à maturité de son propre système immunitaire …


De nombreux faits confirment le rôle protecteur de l'allaitement au sein contre les maladies infectieuse é. Le colostrum et le lait maternel contiennent les facteurs immunologiques humoraux et cellulaires qui assurent les mécanismes spécifiques et non spécifiques de défense contre les agents infectieux. Bien évidemment aucun de ces facteurs ne peut pour l'instant être associé aux laits reconstitués.
…On voit donc comment à travers ces nombreux facteurs moléculaires et cellulaires, le lait maternel est le prototype de l'aliment – médicamentésente naturellement le constituant modèle qui doit entrer dans une nutrition multifactorielle à la fois préventive et curative.



Le problème de l'intolérance au lait de vache à l'heure actuelle en termes de pourcentage de la population concernée, avec une baisse de la capacité de digestibilité du lactose et des protéines ainsi qu'une recrudescence des allergies aux protéines. Cette observation rejoint le phénomène plus général actuel de "l'inadaptation des fonctions digestives de l'être humain à l'alimentation moderne" …

… le maintien de l'allaitement maternel au moins 4 à 6 mois
ît être le meilleur moyen de réduction du risque de survenue d'allergie et d'intolérance à diverses protéines alimentaires, lait de vache compris…le rôle protecteur et constructeur du lait maternel est inégalé et justifie son utilisation dans les premiers mois de la vie du nourrisson. Il favorise incontestablement le développement du système nerveux central de l'enfant… L'allaitement maternel doit donc être privilégié quand il est désiré et possible…

…Il a les mêmes composantes odorantes que le liquide amniotique et porte l'odeur du corps de la mère ’est ce qui permet au bébé de reconnaître sa mère juste après la naissance,

…C’est un produit biologique d’une très grande complexité…six fois plus d’éléments que dans les autres laits de mammifères 


…l’allaitement maternel doit être replacé dans un contexte plus global de norme biologique et anthropologique…il constitue une fonction humaine essentielle qui a assuré la pérennité de l’espèceère dans une relation très particulière à son nourrisson, avec une part biologique et instinctuelle fondamentale…en priver le bébé n’est ni aussi anodin, ni aussi atonal que certains le disent…le lait industriel est déchargé d’une part des interactions biologiques et fantasmatiques qu’offre l’allaitement au sein…
L’enfant au sein peut demander celui ci pour se nourrir ou se rassurer…et contribuer à la suralimentation du nourrisson qui ne peut pas se faire plaisir sans se nourrir.
Promouvoir l’allaitement (Michel Odent, Dossier de l’allaitement n°60), c’est quelque part promouvoir la capacité à aimer,éveloppement se fait par le biais d’expériences précoces comme celles qui entourent la naissance…l’allaitement débute avant la naissance, le corps de la mère se prépare avant, pendant la grossesse… le problème est surtout de comprendre pourquoi l’allaitement maternel est si difficile dans notre société…
Le lait humain est utilisé à doses pondérales comme traitementés (dossiers de l’allaitement n°61, 2004) dont un bébé spectaculairement remis de son intolérance absolue au lait industriel.



D) Premières impressions sur le lait maternel



à donc l’ambiance abrégée de mes lectures de très, très nombreux articles trouvés sur internet (il suffit de lancer «» sur le moteur de recherche pour retrouver ces textes ou équivalents), ou dans des ouvrages récents, dont les récents numéros des «’allaitement». 
1) Baigné et imprégné de ces lectures, on ne peut qu’être frappé par l’acharnement absolu avec lequel l’allaitement et le lait maternels sont défendus «»à  leurs remplaçants, le biberon et le lait de vache. Les mérites de l’allaitement maternel font l’objet, en particulier depuis la fin de XXème et début de XXI ème siècle d’une valorisation acharnée et incessante, comme s’il était temps que le «» prenne conscience enfin de la suprématie «évidente», pour lui–même, du lait humain sur tout autre aliment, et dans le mode alimentaire du nouveau né et du nourrisson en particulier. Si l’aliment industriel lacté a environ un siècle d’âge, il est manifeste que depuis bien plus longtemps encore, seul l’humain est déjà allé cherché d’autres laits pour se nourrir, à la fois pour son petit et pour lui même’espèce mammifère humaine est la seule qui propose à ses petits, et à ses adultes tardivement, d’autres laits que le sien propre. Sans en faire un jugement de valeur, il est un fait de très longue dateèce ne se contente pas de son propre lait pour nourrir les siens dès la naissance, alors qu’on n’arrête pas d’insister et prouver que le lait humain est le prototype plus approprié pour l’humain (comme, implicitement, il l’est pour chaque espèce), et que les substitutsématiques, voire dangereux parfois. 
2) La deuxième constatation est  plus spécifique au monde homéopathique.’objet de deux expérimentations, «érentes» d’après l’auteur de Lac maternum, donc de deux dénominations différentes «» et «»ût respectivement composée d’un ou plusieurs laits de mère, chaque expérimentation proposant chacune une pathogénésie propre.  C’est une situation unique, dans les laits en particulier, et parmi toutes les souches en général.
A ce propos les résultats des expérimentations de certains remèdes comme Aigle, faites soit à partir du sang, soit de la plume, ont donné des résultats semblablesété conclu que l’utilisation d’une partie ou autre de la souche est équivalente en terme de matière médicale finale. 


Donc les homéopathes ont aussi mis face à face deux expérimentations, et ont mis en concurrence deux dénominations, deux pathogénésiesé des résultats significatifs en terme de signes homéopathiques, en terme de cas soignés, donc d’utilité pratiqueépondent pas au premier, et répondent ensuite au deuxième (ou vice versa)
A première vue la différence proposée par Tinus Smits parait notable. Mais les cas cliniques pour prouver cette différence, à cet égard, ne me paraissent pas convaincants, parce que certains cas n’ont n’a pas d’explication véritable sur la prescription, et  seulement deux mois de reculées sur «» n’ont pas fait l’objet d’une expérimentation véritable, mais seulement d’une «érimentation de rêves», scientifiquement discutableéalable. 
Y a t il un intérêt à une telle subtilité sémantique ou ne s’agit il dans la pratique qui en résulte d’une substitution de plusérêt il y a, nous devrions alors en toute rigueur, nous résoudre à refaire les pathogénésies de tous les autres laits connus actuellement, avec plusieurs origines mélangées à chaque fois, et en faire une étude comparative avec la pathogénésie actueléquipes volontaires... 


E) Les travaux et les synthèses existants




1) T. Smits a présenté 14 cas de Lac maternumés en 1999 dans Links, volume 12. 

élange de laits provenant de neuf nourrices à différentes phases de la lactation, de trois jours (colostrum) à dix mois.

été fait. Sa base de travail est un «», d’une souche faite de neuf laits de mères
Parmi ces cas, tous ne me semblent pas infaillibles pour apporter leur contribution à la construction de la matière médicale spécifique du remède’apparaît pas évidente.°2 est très documenté et me semble particulièrement intéressantésente une étonnante ressemblance au cas de Claudine sur un point (le syndrome du gisant)j’aurais donc pu, avec les signes homéopathiques dont j’ai disposé après coup, donner…Lac maternum aussi…avec quel résultat…dans les siens



également au cas de Claudine, la prescription précédant Lac Humanum est  Saccharum officinale. C’est un diagnostique différentielède Maternum, qu’il précède aussi dans un certain nombre des cas de T.Smits. 

à Carcinosinum en premier lieu, qui précède aussi Maternum dans les cas de Smits


Selon cet auteur (relaté par M. Zala dans «» INHF Paris), l’essence de Lac maternum est un manque d’incarnationé, ont du mal à prendre conscience de leurs frontières. 


Il recommande ce remède face à des symptômes comme (j’ai rajouté les prénoms de mes patientes là où les signes me semblaient agréer)
– Gens mal incarnés (sensation spongieuse des plantes des pieds)
– Pas conscients de leur identité, de leur frontièreéane).
– Difficulté de concentrationéane) désordonnés.
– Ne se sent pas appartenir à l’humanité, indifférence.
– Parle du froid du monde.

– Ne sent pas l’amour’avait pas le sentiment d’aimer ses enfants) (Océane)
– Difficulté à être dans son corps, maladresse.
– Sensation de vertiges, de flotter en dehors de son corps, rêveur.
– Refuse la routine, besoin de voyager.

– Anxiété sur la vie, incapacité à faire face seul à la vierelation symbiotique aux parents  éane), au partenaire, aux enfants

Compense le vide affectifl’activité
éane)

éfugie dans la lecture, dans laquelle il s’absorbe complètements’échappe de la réalité et vit dans un monde imaginaire, entend des voixéane).

Sexualité basse, besoin de caresses

problèmes pendant l’accouchement’allaitement.


Tinus Smits souligne les problèmes cutanés, les pertes de cheveux, la frilosité, les troubles d’appétit et de la libido.

édiatrie, Lac maternum peut être indiqué dans les eczémas, les troubles du sommeil. Surtout chez les enfants non désirés, ou les grands prématurés élevés en couveuseès échec de l’allaitement maternel.

Il y a un processus de communication erroné entre la mère et l’enfant. (Claudine et Océane)

Chez l’enfant plus grand, attitude puérile ou régressive.
Forte dépendance maternelle, relation symbiotique avec ses parentsé à couper le cordon, avec grande aggravation lors cette coupure. (Claudine et Océane)

’abandon,éane) désirs de caresses. Ils ne peuvent pas différencier réalité et fantaisie.

«»






2) Les différents travaux et provings sur Lac humanum


’UNE mère qui avait une bonne relation avec son enfant. 


énésie, on peut retenir (dont pour Claudine et/ou Océane
– Aversion à la compagnie
– Irritable, méchant
– Détachement, indifférence à tout, à l’environnement,« unsympathetic».
– Manque de sensation, sentiments (cf. le symptôme physique “Sensations de pieds spongieux comme s’ils avaient été dans l’eau trop longtemps”)
– Aggravé par le désordre, concentration difficile

Sensation d’abandon
– Agité quand il est seul

Besoin de faire, de s’activer

êve de bébés, d’enfants, de membres de la famille, de désastre, de guerre, rêves vifs.

’énergie 
– Appétit variable, boulimie, anorexie, désir de sucre et hydrates de carbone

ômes digestifs & ORL multiples

’alcool & avant les règles.


 cousins, communauté.

– Envie de frapper, impulsion à faire du mal aux êtres chers, même si cette pensée le dégoûte.
– Désire des objets puis les rejette.
– Peur des serpents.

– Sensation d’être séparé de la source.

– Manque de motivation



érentes souches: il a utilisé quatre souches séparées de Lac humanum, venant de quatre mères différenteséerlandaise et deux Indiennes.

éristiques suivantes
– Ambivalence


ésir religieux/non religieux et sexe
vouloir travailler/des vacances

individualité/communauté

se conformer au groupe/se sentir abandonné«»)


– Détachée de tout, indifférente
– Sans compassion, absence de sentiment

– Aggravé par le désordre
– Sentiment d’abandon

Difficulté de concentration


êve de bébés et d’enfants

ôler
– Alternance d’indifférence et de pouce en bouche au lit
– Impulsion à faire mal aux êtres chersême si cette pensée le dégoûte
– Impatient, pressé et agité
– Se lasse vite, manque d’enthousiasme et ne veut pas le montrer aux autres
– Désire des objets et les rejette
– Thèmes des serpents, grandes maisons, voyages, inondations, danger, endroits désertés
– Grande fluctuation d’énergie et d’appétit (anorexie ou boulimie)
– Problèmes avec le lait
– Tropismes digestifs et ORL (maux de gorge), eczéma.


Comparer
Alumina’ identité de lac est mieux établie que pour Alumina, mais il n’en a pas conscience.
Ara macaoé.

ne se sent pas aimée et ne ressent pas d’amour envers ses proches 



3) Les laits actuellement

èmes des mammifères  par SK « The System of Homeopathy », p. 474–475. relatés par M. Zala (Le monde des laits)’ai relevé dans ce document des thèmes qui me semblent être confirmés par mes observations.


Quelques thèmes en commun des mammifères selon San Karan (surlignés en gras ce que je retrouve dans mes deux cas) :
Appartenancegroupe… et on en paye le prix

Relation avec la famille immédiate
ère, mère, frères et sœurs

Sécurité à l’intérieur
Combat  pour la suprématie à l’intérieur du groupe
Conflit avec soi–mêmeôle de la sexualité, la culpabilité sexuelle, etc.sentiment d’être sale

ême, mépris de soi, dévalorisation

Passé d’agression sexuelle
Peur des serpents

Problèmes liés aux seinsègles) et à l'allaitement ; problèmes autour de la période des règles
Soins aux jeunes


Selon Shore

Dépendance et indépendance 

’avoir souffert à tord
Instinct naturel doit être supprimé 
être dans le groupe
La perception de la façon d’avoir été maltraité 


  








CONCLUSION



ésultats de mes deux cas, j’ai l’impression d’avoir progressé dans la compréhension de ce remède


’une part sur le thème de ces ambivalence et processus erronés de communication, il y  a deux modes possibles selon moième d’incarnation, d’indifférence …)se substituer à l’autreêtre des situations en égotrophie«’est le remède» de chacuneède en validant des symptômes nouveaux. Si cette prescription doit changer, elle changera pour un remède encore plus semblable. Des cas supplémentaires sont nécessaires pour confirmer les symptômes que je cite avant de les introduire dans les répertoires.
Pour Claudine, sa naissance est tellement entachée de confusion que le travail qu’elle est entrain de faire sur elle–même devrait logiquement l’amener à faire la propre connaissance de sa propre nature… discussion non close.  La situation d’Océane est elle aussi très fragile, son cas  est loin d’être résolu au vu la situation familialeède l’aide actuellement.

écédant celles de Lac Maternum, et évoque des possibles états de santé, les diverses prescriptions avant d’arriver à ce remède. 


–  d’autre part que les deux laits ne font qu’unéparés ne sont pas logiques, des caractéristiques semblables se retrouvent dans chacun; je retrouve des symptômes de Lac maternum qui auraient pu me servir à prescrire Lac humanumà noter en outre que Lac maternum n’est pas disponible très facilement (personnellement, j’ai prescrit une souche d’Humanum en provenance d’Homeoden–Belgique, qui ne dispose pas de Lac maternumées non plus). Les matières médicales gagneraient à être mixées, la dispersion des données est de nature à égarer les recherches DU remède, qu’il va falloir se résoudre à appeler d’un nom uniqueLac humaternum






Merci

– à Christine Dufourcq, sage femme, pour ses documentations sur le lait et l’allaitement maternel

èse paru dans «» (IHNF Paris)
– au Dr Jean Marie Deschamps pour l’extraction de Référence Work.









En pièces jointes les matières médicales, extraites sous formes de symptômes des différentes sources utilisées pour ce travail

1) Matière médicale de Lac humanum retrouvée dans Radar et référencée J. Hougthon et E. Halahan (pathogénésie de 93) et San Karan (Proving 98) 


Surlignés en gras
ômes possibles pour Claudine et Océane


Mental
ésétaché de son égoManque de confiance en soiésolution, peur du monde extérieur éane)Irritableéane); répond hargneusementéchantésespoir, dépression Aggravé par la négligenceéane)érence à toutConcentration difficileerreurséane); incapacité de jugement des distancesConfusionéane); pensée déconnectéeééfaction, comme si intoxiqué


Généralités

éveilé gaucheée

’abus sexuelsPerturbations hormonalesées de chaleur, sang chaud 


Aliments et boissons

ésirs de douceurs et de féculents’acideé par l’alcool.


Vertiges



Tête 

é gauche, occiput s’étendant au front, œil gauche




Œil

à gauche


Oreille

à gauche


Nez

écoulement unilatéralà gauche


Face

èvre inférieure


Bouche



Gorge

ée en arrière, manque d’attention en avalant’étrangle


Estomac

étit augmentééructations, remontées acides, nausées, hoquet amel en mangeant


Abdomen



Génital féminin

ègles noires et foncées


Toux

èche ou grasse expectoration épaisse


Poitrine

œur, s’étendant à l’estomac

ègles


Dos

égion cervicale


Extrémités

é, avec engourdissement


Douleur de la cheville gauche


Sommeil, rêves

’éveille après 16h

é tôt, difficilement
Beaucoup de rêves vivants éane et ses hallucinations de loup, d’indiens), à propos de bébés, enfants, famille, amis, collègues, maisonsésastre, guerre





 Matière médicale de Lac maternum proposée par T. Smits reprise dans Radar


Signes possibles
 pour Claudine et Océane


PSYCHISME 




CARESSES, cajoleries – besoin de

COLÈRE

CONCENTRATION – difficulté de concentrationéane)
CRIER, hurler, vociférer – sommeil; pendant le
DÉCOURAGÉ
DÉSORGANISÉ, déstructuré
DISTRAIT

ERREURS, fautes; fait des – parlant; en éane) mots – erronés, incorrects; termes
HUMEUR – changeante

ILLUSIONS, hallucinationséelà sa place; séparé, scindééparés; être séparé du monde;  spectres, fantômes, esprits – voit desentend des voix éane)érieures tiennent des propos injurieux et orduriers;
INDIFFÉRENCE, apathieà lui–même; pour les affaires du ménage
INSENSIBLE, coeur dur /IRRITABILITÉ – futilités; pour des
LENTEUR d'esprit, abrutissement – mots justes; avec incapacité à trouver les
LIRE – désir de lire / MAISON, foyer, chez lui – quitter sa maison; désire
MALADRESSE, gaucherie / PSYCHISME – NÉGLIGÉ, désordonné
PEUR – de s'évanouir; des fantômes (esprits); 
PROSTRATION de l'espritÉS – incapacité à prendre des
RÊVE; comme dans un – dans la journée; / RIRE, RIT – alternant avec – pleurs
SOUCIS; plein de – pour les autres 


TROUBLES SUITE DE – injurié, maltraité; après avoir été 
éane)


VERTIGE 


TÊTE


DOULEUR

GONFLEMENT; sensation de
LOURDEUR

VIDE, creux; sensation de


VUE



NEZ 


RECTUM
DIARRHÉE – anticipation; après

MASCULINE, SEXUALITÉ
 DÉSIR SEXUEL 


FÉMININE, SEXUALITÉÉSIR SEXUEL – absent


EXTRÉMITÉS



SOMMEIL

É

à des

ÉPARATEUR
RÉVEIL – fréquents; réveils


FRISSON 

É


FIÈVRE
 ALTERNANT avec 


PEAU 

ÉMANGEAISONS, prurit

ÉRUPTIONS éma


GÉNÉRAUX
ALIMENTS et boissons – douceurs, sucreries – désir
CHALEUR – bouffées de chaleur au moindre effort; suite d'effort mental (intellectuel); 
CHALEUR – bouffées de chaleur  pendant la ménopause; 
   
évanouissement)

 Matière Médicale de Lac Humanum proposée par  Reference Work


Symptômes surlignés
és pour Claudine et Océane


PSYCHISME

ABANDONsensation d' (105)éane)
ACTIVITÉ; général, en (159)énéral, en; hyperactive (40)

AGITATIONé; général, en (591)énéral, soir, le (60)énéral, en, étant assisénéral, en; conduisant de places en places, le (42); en général, chez les enfantséane); énéral, quand il est seul; amél. (1)
AIDE, sans (37) / AMBITION; très ambitieux (46) 
ANXIÉTÉ é en compagnie (9) au sujet d’enfants
ASSIS; plongé dans des pensées profondes, tristes, comme si, et ne remarque rien (32) 
AVERSION; elle–même, pour (16)
CARESSE, caressé; aversion d'être (8)ésir d’être caressé (8) 
COLÈREirascibilitégénéral, enéane)
COMPAGNIE; aversion pour, agg. (228)él. étant (52)ésir de (124) *
CONCENTRATIONél. Le soir,difficile; chez lesenfants éane)
CONFIANCE; manque de confiance en soi (120)  


éphalée; avec (24) *
COURAGEUX (32) *

CRIANT, hurlant; général, en (230); général, en; cri cérébral (45) *
CRITIQUER, être malveillant, tendance à (98) *
DÉCHIRE, TIRE; lui–même, elle–même (19)ême, elle–même; cheveux, ses (12) *
DÉSORDONNÉ, DÉBRAILLÉ (13) *
DÉTACHÉ (ère meurt)
DISCRET, RÉSERVÉ (20)
DISTANCE; jugement inexact des (21) / DISTRACTION (211) *

ÉCART, se sent mis à l'éane)
ENFANTINE, conduite (62) / ENNUI (81) *

ERREURS, fait deséane)épelant, en (31)
GESTES, fait des (148); agrippe ou cherche à attraper quelque chose
HUMEUR; changeante, variable (201) *

ILLUSIONS, hallucinations, imaginations (491)éformées (1) *
IMPITOYABLE, sans scrupules (30) *

INCONSCIENCE, coma; général, en (382); conduite automatique (25) *
INDÉPENDANT; général, en (8)émonstratif (1) *
INDIFFÉRENCE, apathie (359) *à la (11)à la; autres, des (3)
INSENSIBLE, sans coeur, impitoyable (37) / INTOLÉRANCE (16) *
IRRÉSOLUTION, indécision (179) *
IRRITABILITÉ; général, en (549)ègles; avant (38)ésire être seul, solitude; (8) *
JURER; désire (78) / LOQUACITÉ (173) / MALADRESSE (72)/ MÉCHANT, vindicatif, rancunier (116) *
MÉCONTENT, insatisfait (213)ême, de (48) *
MÉMOIRE; faiblesse, perte de (368); lu, pour ce qu'il a (49) *
MÉTICULEUX, SCRUPULEUX, FASTIDIEUX (52) *
MORDRE, MORDANT (86); lui même (11); ongles (49) *
OCCUPATION, diversion; amél. (63)É, AFFAIRÉ (80) *
PENSÉES; général, en; persistantes (174)
PENSÉES; évanouissement, disparition, perte des (181)érentes, décousues (44); lire, ne peut pas (4) *
PÉREMPTOIRE (18) *
PEUR; général, encancer, du cancer des seins
PLEURER, pleurs; général, en (392)éveillant, en se (39) *
PRÉCOCITÉ (36) *
RAPIDEMENT, agit (21)éveillant, en se (1) *
RÉPONDRE, répondant; hargneux, irritable (12) *
RESPONSABILITÉ; aversion pour (7) *
RÊVE, comme dans un (92)’ enfants; (53) au sujet de bébés (12); bébés sauvé du froid (1)énéral, en (178); sérieuse, pour des choses (27) *
SALETÉ; général, en (24) *
SELF–CONTRÔLE, MAÎTRISE DE SOI; perte du (30) / SENS; aigus (70) STUPÉFACTION, hébétude, comme ivre (287); réveillant, en se (17) *
SUITE de, troublesmort; parentsmère, de la

É, sérénité, calme; général, en (132) *
TRAVAIL; aversion pour le travail intellectuel (269) *

TRISTESSE, dépression, mélancolie (610)é (30); agg  pendant règles;. (41) 


ESTOMAC


ÉES (556)
SOIF (481); extrême (240) *



THORAX

CANCER; seins
DOULEUR; général, en (627); seins (305); avant les règles; avant (45) 

énéral, en (159)ègles(32) *
INDURATION; seins (77); avant les règles (6) *
LAIT; disparaissant (51) *

NODULES; seins (71)ègles; avant (1) 
SEINS, maladies des (38);  avant les règles (10) *


FROIDEURénéral, en (418); membres inférieurs (342)


EXTRÉMITÉSénéral, en (273); membres inférieurs (196); pieds (177) TRANSPIRATION; général, en; froid (123)érieurs (77); pieds
(72) 


INSOMNIEénéral, en (605); nuit, la (123); enfants, chez les (33) 


GÉNÉRALITÉS
ALIMENTS et boissons; avoine, désir de porridge ou de gâteaux d' (3); chocolat; désire (71); lait; agg. (86); lait; aversion (79); lait; désire (68); sel ou aliments salés; désire (71); sucreries, confiseries; désire (124) *
CANCÉREUSES, affectionshéréditaire
CHALEUR; manque de chaleur vitale (233) *

SEVRAGE, mauvais effets du (9) *