Résumé :  
“ Une patiente de 70 ans consulte en raison d’une insomnie depuis le décès de sa fille en 1996. Elle a reçu précédemment de nombreux remèdes.  Les entretiens successifs vont mettre en lumière deux choses importantes de sa vie qui conduiront à la prescription de Manganum–aceticum, remède qui lui permettra de bien dormir.  
La réflexion sur l’origine de la souche avait mis en évidence quelques particularités:  métal qui n’existe que dans des alliages, le manganèse protège les autres métaux, les met en valeur. S’il a des rôles stratégiques c’est toujours allié à d’autres métaux, surtout nobles. Mais c’est aussi parce que seul, il n’est rien. Seul, il s’oxyde ou se fragmente.... 
Dans la vie de la patiente, se retrouvent plusieurs thèmes correspondant bien à cette image du manganèse: l’aide prodiguée à ses parents, son mari, sa fille, ses petits enfants, l’alliance forte avec son mari, leurs fonctions complémentaires dans leur travail en commun, la fonction de mère de remplacement vis à vis de ses petits enfants qu’elle structure et valorise.    



      Insomnia ... ou le deuil impossible de Suzanne

            Dr.
 Jean–Marie Deschamps  – Chambéry – Juin 05



   “ En 1996, ma fille est décédée d’étouffement lors d’une crise d’épilepsie. Depuis j’ai des problèmes de sommeil, –me dit Suzanne. lorsqu’elle me consulte. En plus j’ai  toujours des glaires qui me tombent dans la gorge. Déjà avant son décès je ne dormais pas très bien, mais à présent je me réveille plusieurs fois, et si je ne me rendors pas aussitôt je pleure et je pense à ma fille. J’ai eu des antidépresseurs, mais c’est fini, j’ai arrêté, je prends toujours un comprimé d’Imovane”. 


   Suzanne aura 70 ans cette année, elle a eu quatre enfants, trois filles et un fils. C’est une femme enjouée, directe, énergique, qui habite dans une commune savoyarde semi–rurale. A la suite du décès de sa fille, elle a pris en grande partie en charge (devoirs, repas, lessive etc...) les deux enfants –maintenant adolescents– de celle–ci, leur père n’étant pas très dynamique et trouvant assez commode que la grand–mère gère les enfants


   “Je ne veux pas me laisser abattre, mon mari est fromager (elle l’a aidé toute sa vie ), il a mis l’affaire à mon nom car je n’ai pas de retraite. A la vente j’ai souvent des bonne femmes en panne (de fromage!) et qui se plaignent, je ne les supporte pas, c’est pire depuis le décès de ma fille. 
J’étais rigoureuse avec mes enfants je leur ai donné des claques, c’est pas pareil avec ces deux–là, avec eux je discute énormément, j’ai une patience !! Je suis tellement révoltée par ce qui leur arrive. Mais c’est quand même le goûter, les devoirs et après on joue ! J’ai toujours peur qu’il leur arrive quelque chose.


   Je suis révoltée par les accidents, les attentats, toutes les souffrances, surtout celles des enfants. Le soir je prie pour les enfants qui n’ont pas de Maman.


   J’ai toujours été très active, avant le décès de ma fille je l’aidais pour le repassage. J’étais plutôt pressée et impatiente, à présent j’ai relativisé, j’ai pris du recul.


   J’ai toujours vécu dans une ferme, je suis la dernière de six enfants, j’ai aidé mes parents quand ils étaient âgés, et après j’ai travaillé avec mon mari, les seaux de lait et tout....
Quand j’étais petite, comme mon père était un paysan qui ne savait pas traire et passait plus de temps à la mairie, je  m’accrochais à ma mère, qui avait 6 enfants. Je me disais “si on la perd” on est fichus.


   Quand je vais en ville, je n’ai pas beaucoup de temps car j’ai les garçons. Avec eux je discute de tout, de tout, des filles, de la drogue...


   Mon petit fils qui vient d’avoir le bac (c’est un autre petit fils), je m’en fiche, il est suffisant, il voulait avoir le bac avec une mention TB. Il ne l’a pas eue, tant mieux. Pour lui, tout lui est dû. Par contre mon Julien a eu son code et je suis très heureux, ça lui donne confiance.. Ces deux là (ceux de sa fille décédée) je les adore. L’autre jour François a été élu délégué de classe, j’étais toute contente pour lui.


   Avant de perdre ma fille, j’avais déjà des problèmes de sommeil, je me réveillais dans la nuit. A 4 heures, quand mon mari partait à la fromagerie, je l’embrassais en lui disant : va doucement qu’il ne t’arrive rien.... et je me rendormais. Mon mari, il est gentil, et encore plus depuis le décès de ma fille. Il me soutient le moral si un soir je lui dis “oh il me semble que je n’ai pas sommeil”.
Quand on s’entend bien, tu as beau avoir des enfants, quand tu perds ton mari tu perds tout. Celui qui part avant l’autre il a de la chance ! Nous on a toujours travaillé ensemble dans les fromageries, et puis on se parle tout le temps.”


   Au point de vue santé, Suzanne a eu une méningite cérébro spinale à 5 ans, des angines, du psoriasis du cuir chevelu, des migraines et lombalgies avant les règles, un peu d’herpès, des hémorroïdes. Elle a eu des cystites pendant ses grossesses, et si peu de lait qu’elle n’ a pu allaiter ses enfants. Elle a souffert de crevasses au bout des doigts, pouce et médius.
Elle a été opérée d’une hernie inguinale droite, de l’appendice, et de la vésicule biliaire.
Il n’ y a rien de notable dans son alimentation. Elle n’aime pas les atmosphères confinées, la chaleur, elle aime être à l’air, et a un peu peur de l’orage. Elle craint l’humidité qui entraîne soit des problèmes de gorge, soit de la sinusite. Les changements de temps lui donnent des douleurs dans le dos, les os. Elle rêve de sa fille, qui lui parle. 


   Depuis 1996, Suzanne a reçu par différents confrères: Staph, Ph–ac, Stram, Ign, Acon, Op, Caust, Arn, Cocc, Arg–n,, Ambra, Sep, Lach,, Phos, Nat–m, Lyc, Puls, Sil, Kali–c. dans des dilutions moyennes.
Je lui donnerai Arnica, Nux–v et Arg–n en haute dilution. Puis en 2004, à la recherche d’une synthèse possible dans ce cas difficile, je me dis: deux choses ressortent de la vie de Suzanne:  aider qui est une constante, et puis surtout le fait qu’elle est dans un lien particulier, très étroit avec son mari d’une part – lien dont elle souligne le caractère vital – avec ses petits enfants d’autre part, auprès desquels elle a complètement repris une fonction de mère


   Suzanne recevra Manganum aceticum 200K, MK, XMK. Après chaque dose elle dormira de mieux en mieux, de plus en plus longtemps. Elle arrivera et c’est nouveau, à dormir 5 à 10 minutes l’après midi. Au niveau des sinus il n’y a plus de problème d’écoulement de glaires dans la gorge actuellement. Elle a une bonne énergie, ne rêve plus de sa fille. 
Le 20/11/04 elle a repris une dose car était soucieuse, son mari, 75 ans, arrêtant son activité: “C’est toute sa vie” me dit–elle. Après un petit passage difficile début janvier à la date anniversaire du décès de sa fille, tout semble aller bien. 
Mi– février 05  elle me téléphone et me dit: “ Je suis déstabilisée et donc je redors mal  car mon gendre est encore  moins  souvent avec les gamins, une veuve qui n’est intéressée que par le fric lui a mis le grappin dessus. Et du coup le dimanche le gamin rapplique ici, l’autre est sur internet.. mais il faut être là, avec eux, discuter et surveiller un peu., c’est quoi ça !! Du coup il leur avait promis d’aller au ski demain et ils n’y vont pas à cause de l’autre, la pouffiasse, la Camilla..? (s’emporte"). 
Je lui conseille de prendre du recul... et le remède !


Autre cas clinique

   Au congrès du CLH 2001,  
Jean–Marie Tribouillard avait présenté le cas d’une femme de 72 ans, visage figé, ne parlant pas, regard perdu, avec des troubles d’audition, elle en voulait à son mari d’être mort avant elle “On avait fait le pacte de partir ensemble”. Et elle était devenue rancunière et aigrie, comme si elle lui reprochait la vie qu’elle avait  quand même acceptée.  Diagnostic : Parkinson
Ce qui ressortait finalement, c’est que le lien était très fort même s’il se faisait dans la soumission, que cette patiente a décompensé quand elle a perdu l’alliance–symbole de l’union    et du serment mutuel, qu’elle parle peu et dit  “Nous étions attirés l’un vers l’autre comme des aimants” => donc remède métal ayant une affinité forte pour d’autres métaux (alliage–alliance). Or le métal le plus employé dans les alliages, c’est le manganèse.

   Symptômes qui pouvaient attirer l’attention:
Face, expression absente, Visage figé comme un masque, Généralités, impossibilité de reculer, Tremblement des genoux en marchant.


   Quand elle se retrouve seule après avoir perdu son mari, la patiente devient rancunière et aigrie, c’est une rupture du pacte, elle doit alors se protéger de toutes les agressions. Elle se construit un blindage et se coupe de l’environnement, n’attendant plus que le malheur.

Le Manganèse


Nous avons travaillé ce remède en 1998 et en 2002 au GEHU. Voici quelles étaient nos réflexions:


Manganèse vient du grec  “Manganeo”: je trompe : c’est en effet un métal qui a l’air solide comme du fer, mais beaucoup plus cassant et plus oxydable ! Quelles sont ses propriétés les plus singulières ? 
– il bonifie en améliorant la dureté des alliages et leur limite d’élasticité, 
– il structure (carence en Mn = troubles du développement du squelette), il donne la direction (employé dans les aiguillages de chemin de fer)
– il protège le fer de la corrosion, 
– la parfaite précision du fonctionnement d’un coffre fort tient à la présence de Mn (vigilance)
– il s’adapte: selon son degré d’oxydation il change de couleur dans des liqueurs auxquelles on donne le nom de “caméléon minéral”. 
 

C’est un métal qui n’existe que dans un alliage, il ne se rencontre pas à l’état métallique dans la nature, sa seule possibilité pour ne pas se dégrader est de s’allier à d’autres métaux, nobles le plus souvent.


Le manganèse met donc en avant les qualités des autres métaux, il est protecteur vis à vis d’eux, il les valorise… et se valorise ainsi. Il a des rôles stratégiques dans son utilisation,  allié à d’autres métaux, surtout nobles. Il a un rôle ingrat et généreux… mais en même temps seul, il n’est rien, c’est là son ambiguïté, car seul, il s’oxyde ou se fragmente. 


Pour JM Tribouillard, Manganum–aceticum, “c’est un “fer”–valoir humble, (il est à côté du fer dans la classification) qui se met au service des autres pour les mettre en valeur et qui y trouve son compte, son humilité et son dévouement lui permettant sa survie et sa sécurité. Mais Manganum aceticum attend un minimum de reconnaissance, s’il ne l’a pas il devient amer”.


Selon Sankaran, c’est l’enfant qui aide le mieux sa mère, avec dévouement et intelligence.


Dans le répertoire de Guy Loutan, on lit à propos de Manganum:
“ Ne veut pas être touché par le mal. Ne fait pas confiance à la providence comme protection, puisqu’elle n’empêche pas le mal d’arriver. Ne compte que sur lui–même, grâce à la connaissance ou la force. (...)”


Le désir psorique de Manganum–aceticum serait donc de créer une alliance très dure, très solide, par nécessité de se soutenir face à la dureté du destin.
 

Dans la vie de nos patients justiciables de ce remède, on aura de grandes chances de retrouver une notion d’alliance forte, et d’une fonction dans cette alliance. Manganum–aceticum serait dépendant de cette fonction, mais sans qu’il y ait notion de sacrifice, pour lui cela irait de soi... On y pensera devant des gens qui – comme la patiente de JM Tribouillard – décompensent à la suite de la rupture symbolique ou réelle de cette alliance (je me demande si la rancœur de Suzanne vis à vis de la liaison de son gendre n’est pas liée au même symbole),  mais on pourrait y penser devant des gens disant : “J’ai perdu ma fonction” ...


Dans la vie de Suzanne, on retrouve bien
– l’aide prodiguée à ses parents, son mari, sa fille, ses petits enfants (raison pour laquelle je lui avais donné en premier lieu Arnica)
– l’alliance forte avec son mari, leurs fonctions complémentaires dans la fromagerie
– la fonction de mère de remplacement vis à vis de ses petits enfants qu’elle structure
– la valorisation permanente de ceux ci

... tout en ne supportant pas l’injustice du destin...


Sans la compréhension de cette thématique du remède, j’aurais eu du mal à soigner Suzanne, chez qui peu de symptômes physiques étaient très caractéristiques du remède, à part ses aggravations climatiques.


Matière médicale


   La pathogénésie de Manganum est due à Hahnemann. Michel Clerc, dans les Cahiers Hahnemanniens, précise que “dans la deuxième édition 1827 de la Materia Medica Pura, Hahnemann nous donne son mode de préparation: mélange à parts égales d’une trituration d’oxyde noir de manganèse avec du sulfate de fer, chauffé aux chardons ardents, puis dissous dans l’eau distillée; la solution était du sulfate de manganèse qu’il précipitait ensuite au carbonate de soude pour obtenir du carbonate de manganèse.il le dissolvait alors dans du vinaigre bouillant; la solution surnageante était de l’acétate de manganèse qui était évaporée jusqu’à consistance d’une pâte sirupeuse: la teinture–mère à partir de laquelle est préparé Manganum aceticum.
   Hering précise que les symptômes sont dus à l’acétate ou au carbonate indifféremment. Pour Allen, les symptômes des deux sels sont combinés. Clarcke dit que dans sa pathogénésie, Hahnemann n’a pas séparé les deux sels étudiés, le carbonate et l’acétate! Kent se borne à parler de Manganum. Lathoud, lui, parle de Manganum metallicum, le manganèse métallique, pulvérulent, en trituration. Bœricke, Voisin, Vannier et Duprat reviennent à l’énoncé princeps: Manganum Aceticum.”


   A la suite de ces imprécisions, il est logique de se demander quelle préparation est délivrée par les laboratoires et les pharmaciens. Il semble acquis que nous devrions utiliser un sel de manganèse,  dans le double objectif de respecter la pathogénésie d’Hanhemann, et d’utiliser une forme de ce métal proche de sa forme naturelle, c’est à dire combinée.  Et il est bon de savoir que sous l’abréviation “Mang.” il peut se cacher, suivant les répertoires ou les laboratoires, soit Manganum metallicum soit Manganum carbonicum. Mais gardons en mémoire les grandes différences entre – par exemple – Argentum metallicum et Argentum nitricum qui doivent nous inciter à  une  vigilance certaine sur la souche sous peine d’échec incompréhensible dans notre pratique. Personnellement il m’apparaît logique d’utiliser Manganum aceticum (Mang–acet.).

   és d’action:


1/ les muqueuses respiratoires 

– nez : 
      
. catarrhe chronique obstructif  déclenché < temps humide, 
      . irritation avec endolorissement et grande sensibilité (le cartilage est douloureux), 
      . écoulement jaune le matin avec grumeaux, ou verdâtre, sanguinolent
      . tout rhume descend et se transforme rapidement en bronchite
   –  larynx :
      . enrouement constant, aphonie chronique, la voix est rauque, râpeuse, < le matin, le soir, pendant un coryza, au grand air, par temps humide, en chantant, parlant, > en fumant.
      . chaque rhume occasionne une laryngite, récidivante par temps humide jusqu’à l’installation d’une tuberculose
      . sensation comme si une membrane recouvrait la muqueuse pharyngée ou laryngée
      . accumulation continuelle de mucus dans le larynx et la trachée qui se reforme dès que le malade s’est éclairci la gorge
      . remède d’orateurs et chanteurs, qui raclent et toussotent sans arrêt, ramenant chaque fois, avec difficulté, un peu de mucus
      . inflammation, irritation, sécheresse du larynx et de la trachée, construction
      . les troubles sont < en parlant, chantant, avalant, sensibles à l’air froid, l’humidité
      . ils  s’> en étant allongé (le chatouillement par exemple)
   – bronches:
      . bronchites récidivantes, catarrhes chroniques, abcès du poumon, tout rhume se transforme en bronchite avec enrouement
      . sensation de chaleur dans la poitrine
      . expectoration peu abondante, faite de mucus en amas, adhésive, verte ou jaunâtre, elle demande de longs efforts pour être rejetée
      . la toux est provoquée ou < en parlant, riant, chantant, marchant, à l’inspiration, < humidité
      . la toux est diurne,  d’irritation, constante, sèche, profonde, sans expectoration, toux peu productive qui a deux modalités intéressantes: > couché, surtout sur le dos, à midi. (Le malade tousse donc en journée), d’autre part la toux est déclenchée par le toucher du conduit auditif
      . malades qui déclinent progressivement, terrain propice à la tuberculose. Cavernes pulmonaires avec hémoptysies de sang aqueux, comme du mucus sanguinolent


2/  l’oreille moyenne 
   – surdité, sensation d’oreille bouchée < en se mouchant et par temps humide et froid
   – sensation de démangeaison, de chatouillement du CE et du tympan comme par une plume, non soulagée en fourrageant avec le doigt
   – bruits anormaux de tous types < ou déclenchés en avalant, en se mouchant, en baillant
   – douleurs de toutes sortes, en avalant, parlant, marchant, en respirant
   – les douleurs de la tête, de la face, du cou et même de l’estomac se concentrent et aboutissent à l’oreille (RU)
   – remède d’otite séro–muqueuse; catarrhe tubaire, inflammation de la trompe d’Eustache, écoulements malodorants provoqués ou < par les changements de temps, le temps froid et humide


3/  l’appareil ostéo–articulaire 
   – inflammations osseuses périostées des poignets, chevilles, tibias, talons... avec douleurs creusantes, pénétrantes la nuit.


4/ le système neurologique  
   – paralysie ascendante par atteinte des cornes antérieures de la moelle, tremblements, atrophie musculaire. Incapacité à marcher à reculons sans tomber. Maladie de Parkinson.


5/ le sang  : anémie ferrorésistante
    le foie : dégénérescence stéatosique
    la peau : dermatoses sèches, fissurées, ulcérées, prurigineuses


   és


Aggravations
– par le temps humide et froid, modalité générale importante qui tient lieu de causalité, mais aussi le froid, les changements de temps, avant la tempête
– la nuit en ce qui concerne les douleurs

– au toucher de la partie malade, au mouvement, à la marche, à l’effort, aux secousses, en riant, en parlant...


Améliorations
– couché, en s’allongeant dans la journée, à midi notamment, couché la nuit (notamment la toux, mais aussi l’anxiété par exemple) 
– au grand air

– en fumant en ce qui concerne l’enrouement

   ères


– une hyperesthésie cutanée, notamment en regard des parties malades, avec une intolérance au toucher comme à la pression des zones douloureuses
– une irradiation dans l’oreille des douleurs provenant de la partie supérieure du corps.


Bibliographie



http://homeo–gehu.nerim.net
ès du CLH 01 – JM Tribouillard
épertoire Universalis
œericke – Matière Médicale





               °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°