ois SIMON
cortisone et glucocorticoïdes
ÉÉ
Bernard LONG – François SIMON et le Groupe DYNAMIS
ïdes sont des substances qui ont une place de choix dans la pharmacopée contemporaine. Leurs modes d'action ainsi que leurs effets thérapeutiques et indésiraénésie de Cortisone vers 1950. Nous essayons de compléter ce travail par un nouveau proving et en étudiant les travaux de pharmacoède homéopathique important car ses effets sont profonds et ses symptômes, appuyés par une toxicologie très fiable, sont déjà assez affirmés. Seule, la pratique clinique et de nouvelles pathogénésies peuvent lui assurer un avenir homéopathique.
érimenter des substances certes universelles, qui appartiennent au plus profond du patrimoine de l'ethnopharmacopée, mais il a sélectionné aussi des substances issues de la thérapeutique de l'époque. été très intéressé par ces molécules modernes à l'action tellement étendue, si bien étudiées par les physiologistes, les chimistes, les pharmacologues, les cliniciens, les centres de pharmacovigilance. érature qui les concerne est considérable et d'une précision unique. étaillée de leurs actions sur les différents organes et sur leurs localisations. énésiesès riches en signes subjectifs,ômes de localisations. é des symptômes, si on ne veut pas rester suspendu dans une belle conceptualisation du cas qui manque d'enracinement dans la matière. ômes subtils allanténéral au particulier et du psychisme à la matière est certainement juste,ne être vivant s'exprime de manière synchronique par son être subtil et son être de chair. ïdes sont des remèdes majeurs de la pharmacopée contemporaine. étude que nous avions publiée en 1989,été le travail par un dream proving effectué en 2003 par le groupe Dynamis. écules endogènes, en particulier celles du soi immunologique, est d'une efficacité remarquable mais elle nécessite une très grande précision dans la prescription car ce sont des substances d'un très grand pouvoir informatif. écise.
C’est en 1948 qu’a été utilisé pour la première fois l’acétate de cortisone en tant qu’anti–inflammatoire dans un cas de polyarthrite rhumatoïde. L’année suivante étaient présentés les premiers résultats au congrès de rhumatologie de New York qui allaient valoir à leurs auteurs le prix Nobel de médecine.
Les Corticostéroïdes naturels synthétisés par les surrénales ont, soit une activité glucocorticoïde prédominante, comme le Cortisol, soit une activité minéralocorticoïde prédominante, comme l’aldostérone.
Les propriétés des glucocorticoïdes les plus utilisées en thérapeutique sont les activités
– anti–inflammatoires
– immunosuppressives.
INDICATIONS DES GLUCOCORTICOÏDES (liste non exhaustive)
– Paralysie faciale a frigore
Ils seront fonction du terrain (âge, antécédents pathologiques, maladie), de la posologie, de la nature du corticoïde et de son mode d’administration.
Effets prévisibles liés aux propriétés Pharmacologiques :
1–Hypercorticisme iatrogène
4–Immunosuppression
ÉÉ
ômes sont tirés de la littérature toxicologique (tous glucocorticoïdes confondus)quatreénésies homéopathiques de ée et dynamisée ômes sont donnés selon l'ordre ôme est suivi d'un numéro qui correspond à la source dont il provient
– Pt,é dans British Homoeopathic Journal, 43 : 89.
– Dans nos ajouts au Synthésis :
à la toxicologie
é F de Kendall, le 17érone.
érimentation faite entre le 19 janvier 1988 et le 28 mars 1988 à la communauté de l'Arche de l'abbaye de Bonnecombe, sous la direction du Dr P. Cayrel :
éopathique) ont pris chacun 70 doses globules, à raison d'une dose par jour ;èmeème été numérotés et la série randomisée par Mlle à MONTPELLIER. ôMES A éTé CALCULéE D'APRèS UNE MéTHODE D'APPRéCIATION DE LEUR IMPUTABILITé
çon de procéder a été jugée très lourde à suivre par les proyersétait toutefois intéressant d'en faire une fois l'expérience.
ômes retenus (plausibles, à confirmer par l'expérience clinique) :
éliorés ou guéris par Cortisone dynamisée :
I,èdes avaient échouéà noter que la plupart n'avaient jamais été traités par de la cortisone à dose pondérale (même par voie externe).
Le proving a été réalisé en Novembre et Décembre 2002 par sept “”
PRIS à UNE SEMAINE D’INTERVALLE DEUX DOSES DE CORTISONE 30CH (LA SUBSTANCE éTé PRéPARé éTAIT BIEN ENTENDU INCONNUE DES EXPéRIMENTATEURS).
NOUS N’AVONS RETENU QUE LES RêVES NOTéS PAR LES PARTICIPANTS DANS LES HUIT JOURS QUI ONT SUIVI LA PRISE DU èDE ,èDE UELQUES SYMPTôMES PHYSIQUES éTANT éTé SIMPLEMENT CITéS CERTAINS D’ENTRE EUX.
NOUS AVONS ORGANISé AU SEIN DU GROUPE UNE SéANCE EN COMMUN Où CHAQUE PROVER A PU RACONTER SON RêVE ET éVOQUER QUELQUES ASSOCIATIONS QUI LUI VENAIENT à L'ESPRIT (SANS COMMENTAIRE ANALYTIQUE DE LA PART DE QUI QUE CE SOIT)
èNEPROVER 1.
1èRE DOSE 23–11–02
J1 : –es gens n’ont plus de mouchoirs et en cherchent partout.
– es indiens d’Amérique vêtus de cuir vêtement traditionnel) abordent le monde
occidental (restaurant). Je les accompagne et je m’inquiète car ils ne connaissent pas nos coutumes, nos plats, la note à régler en fin de repas. Devant un grand verre d’eau–de–vie, je mets l’un d’eux en gardeûter d’abord à la petite cuillère avant qu’il ne prenne le risque de tout avaler en croyant boire de l’eau.
J2 : –Je veux réparer des fissures sur la carrosserie de la voiture avec de la tôle. Pendant que je le fais, je constate que ce n’est pas de la tôle que j’emploie mais de la mie de painçà ne fait rien.
J3 :–Je rectifie une erreur de trajet en voiture conducteur se trompait de routeébé de six mois laissé assis sans surveillance sur une table.
J4 :–Une camionnette blanche, portant l’inscription “édicale” et remorquant un chien en laisse, passe’essaie de parler avec le chauffeur car le sort des bêtes capturées me tracasse espérer que les expériences tentées sur elles ne les mutileront pas trop d’impuissance (réminiscences du rez–de–chaussée des locaux de la vieille fac de édecine de Montpellier.
– Attaque au cutter (un rasoir pliant d’autrefois mais de couleur dorée) par un gamin de neuf ans, pour de l’argent’empêche de me scalper l’arrière de la tête (pas de peur ni de réelle difficulté).
–Accident de vélo’accroche le pare–choc d’une 2 CV en stationnement et je crève un pneu de mon éloélo en vert’était un élo rouge et gris aluminium.
J5 : –Ma cousine fait de son deuxième fils un enfant gâté (rêve en rapport avec des faits vécus).
2ème dose : 28–11–02
J1 Je démonte sans difficulté la vitre d’une porte qui ressemble à ma porte d’entrée et me retrouve dans les locaux d’un parti politique’écoute en cachette, puis je ressor et remonte la vitre’a vu, mais mon passage a laissé des traces, preuves d’une intrusionéreux se croient perdus de réputation’un d’eux se lamente sur l’impossibilité dans laquelle il se trouve alors de faire profiter son fils de sa haute situationje me réjouis.
J2 : – d’une amie qui est musicien va passer une importante audition ; il ne peut rien manger tant il est ému ; il a mis un beau costume mais n’a pas boutonné son pantalon par crainte de se sentir trop serré à la ceinture ; je lui conseille de retirer plutôt le bas du pull fourré sous la ceinture du pantalon et de boutonner celuici, sans quoi il risque de se retrouver à demi nu devant le public ou le jury.
–Le petit sac de fraises des bois que je voulais mettre dans du fromage blanc pour le petit déjeuner a trop attendu y a de minuscules vers blancs parmi les fraises ; c’est ennuyeux).
J3 : –J’ à quelqu’un comment pousser sur la lame d’un patin à glace pour faire des croisés efficaces.
J4 Rêve érotique sommaireésire ’est’est réciproque.
J5 Une personne qui ressemble à un homme (mais qui est une femme) m’engueule car, en s’asseyant sur le fauteuil entre nos deux lits dans le dortoir, elle s’est incrustée dans la peau des fesses et des cuisses toute une panoplie de et de boucles d’oreilles que j’avais laissées làève tout çà ; pendant que je retire les clous des boucles et quelques , je proteste’était assise sur ma chaise,là où j’avais tout à fait le droit de poser mes affaires ; cette personne représente pour moi le prototype gens à qui on doit toujours tout et dont toute l’énergie est employée à rouspéter mais çà ne m’atteint pas vraiment.
– Commentaire de l’expérimentateuréparation de vélo ou de voiture, ni du démontage et du remontage rapide de portes vitrées, je n’ai pas de compétence particulière en sel défense face à un cutter, je ne rectifie pas les erreurs de trajet sans hésiter ’aurais plutôt tendance à chercher mon chemin, toutes ces situations d’où je peux me sortir ou sortir les autres sans difficulté ont un petit parfum de Superman ou de Robin des bois".
èmes :
– Réparation
– Sé – vulnérabilité
– C
Prover 3.
1ère dose
J1Deux heures après, sifflement intense de l’oreille gauche.
J3Je vois comme dans l’écran de télévision le visage de ma mère très pas du tout de ressemblance).
2ème dose
J1Je suis dans l’avenue principale de ma ville natale très ée ,ée, je rencontre des femmes qui vont à la danse ; je leur dis que je préfère la gym.
J2(à 19 h douleur dans l’épaule droite et le long du cou
– Dans la cour de mon ancien collège ; difficulté pour sortir car il y a un grillage qu’il faut contourner ; c’est loin pour faire le détour ; il y a un petit raccourci avec un petit grillage mais un mur de dix mètres de haut sur lequel il faut que je marche ; je prends une autre solutiondescente par les toits en me laissant glisser sur les fesses ; en bas, passage très étroit que je franchis sans difficultés …Après je sonne à une maison, c’est un copain d’enfance qui me reçoit très chaleureusement et m’invite à boire ou à manger quelque chose autour d’une table ; ses filles et sa femme arrivent les unes après les autres ; elles sont toutes blondes (ils espéraient avoir un garçon).
– Je descends un escalier et je rencontre mon expréparateur (décédé depuis vingt cinq ans) ; poignée de main çaça fait du bien
J6Promenade avec des amis ; on s’arrête au pied d’un arbre sur une pelouse en pente ; pour que tout le monde puisse prendre mon mari dispose deux banquettes de voiture et dispose en face deux bancs ; ensuite je descends trouve des tables assez petites des verres usagés (sales l’eau et des carafes.
– Je suis avec un archi qui dessine très bien sur une planche à dessin hypersophistiquée et se met dans la poche).
– J’accompagne mon frère dans une ville à la sortie de la fac pour rejoindre la gare ; je lui fais prendre un raccourci qui n’en est peut–être pas un, mais je lui explique que cela fait au moins cinq ans qu’on le prend ; après il y a des escaliers qui sont très hauts et très raides et disposés en pyramide ; il ne faut pas rater…
èmes :
– A
– A
1ère dose le 30–12–02
J1Je me faisais opérer des varices ains…
Je devais rester couchée plusieurs jours après ur un côté, mais je me levais sans arrêt pour travailler ; je sentais mes jambes beaucoup plus légères.
J’étais dans un bateau car je partais en vacances ; d’autres personnes plus jeunes montaient mais eux rentraient ’étais’étais .
J2Je suis un chien traité par cortisone et je ne mange pas pour ne pas
Je remonte à pied le cours d’un ruisseau dans la forêt et marche sur des animaux qui chats notamment ou d’autres que je ne connais pas.
1ère dose le 19–12–02
J1Rêve où je travaillais beaucoup (15 h par et une amie me conseillait de m’arrêter une heure ou une heure et demie au milieu de la journée pour faire du vélo dans la nature ; nous étions plusieurs à travailler comme çà et nous nous obligions à nous arrêter pour faire du vélo ensemble
Je me rappelle cette ambiance de travail étente/vélo – sentiment d’efficacité dans le de plaisir à travailler et de plaisir également à ces moments où je édalais ..édalais. çÇà faisait partie de l’équilibre de la journéeélo.
J3êve de déménagementéménageai dans un appartement d’étudiant, il y avait plusieurs autres étudiants dans cet immeuble.
Deux rêves de mort (pas du tout angoissant– plutôt soulagement de ne le recherchais pas mais un “” me tirait dessus et j’étais très délivrée de cette vie ; “’avais pas provoqué mais çà tombe bien” pensais–je.
Dans le même êve ,êve, changement complet d’ambiance j’étais allée l’écouter chanter promise à un bel allait mourir aussi et vivait çà comme un bonheur.
J5Ambiance de guerre ou plutôt de chasse puisque les ennemis sont des lièvres qu’il fallait absolument attraper et tuer (car ils représentaient un danger menaçant) en leur arrachant le sexe. Christophe me disait“Pas de problème , je m’en charge,je les attrape et leur arrache le sexe d’un coup de dents” et en effet il se met à leur courir après avec une extrême vélocité et facilité ; il les attrapait et les tenait d’une main par les oreilles et mordait un bon coup pour leur arracher le sexe…
En voyage je cherche la maison où habitent D. (mon fils) et L. – F. me disait“La mer est juste là derrière cette colline... suffit de monter cette pente et tu la verras ”. En effet j’escalade la petite colline mais très et derrière il y a un paysage de criques rocheuses pointe de la avec très peu de sable ; je leur remarquer que question plage il y avait mieux que ces galets et ces rochers. is les gens l’air très content de se baigner et de s’allonger ensuite au soleil sur ces minuscules plages rocailleuses non confortables,les uns sur les autres.
J10 En stage d’oméo à Paris ’était le soir – dortoir commun ; je disais à tout le monde que j’avais oublié mes affaires (ce qui “était j’avais tout dans le coffre de ma pour qu’on s’ de moi en fait et me faire remarquer. n’avais ni affaires de vêtements ni ni sac de couchage. out le monde s’installait ; j’attendais que quelqu’un me fasse une son matelas ; il y avait J. C. et J. M. qu’habitant préféraient reste”r dans le groupe.
(Aménorrhée depuis six mois ; retour des règles huit jours après la prise de la dose)
èmes :
– Té
élo : éLO éTAIN : KANGKORéTAIN : à DIRE DE L'INTéRIORITé, DE L'éCANIQUE Eé ééRILE
êveèvre est certainement une image négative de l'amour, vu d'une façon mécanique et machinale :
é indoeuropéenne
J1 ; èsès la traversée d’une je suis arrêté au poste frontièreéhicule ; je râle pour la forme contre les enfants à cause des bagages mal rangés dans le coffre (car en général c’est moi qui les ; je demande aux douaniers quelles sont les contraintes douanières à part le tabac et l’alcool, car je ne fume ne bois.
J2 En vacances, je quitte une ville en voitureée de feuilles de cactus, je dois rouler très précautionneusement dessus pour ne pas crever ; arrivé en bord de mer,je descends sur la plage ; il y a des vaches et un taureau qui leur court aprèsévite et me dirige vers la mer que j’atteins au détour de gros bosquets ; au large se trouve une petite île ; j’ai envie d’y aller à pied en marchant dans l’eau.
èmes :
– Létranger énophobie ère
énophobie" biologique où le sujet hérisse une barrière éactive devant l'intrusion de l'étranger ?ères, des frontières.
à pied sur l'île en marchant dans l'eau : c'est un retour sur énergétique et
– le prover 3ès la 2ème
– ès la 1ère
’oreille gauche
– à 19 heure douleur dans l'épaule droite et le long du cou
ès la 2ème
à 19 heures épaule droite et le long du cou
– le prover 5.
ègles huit jours après la prise de la dose alors qu'il y avénorrhée
SYNTHESE
0
stress
1
peur
de
l'autre
2
peur
de ne pas y
arriver
4
peur
de
manquer
de
nourriture
3
peur
de manquer
d'amour
0
STRESS
Dans la pathogénésie des rêves de 2002, nous trouvons de très nombreux symptômes en relation avec les thèmes suivants :
thèmes qui illustrent l'agression subie et fantasmée par le sujet CORTISONE
émotions. ?
STRESS
LE STRESS EST UN TERME EMPRUNTé à LA PHYSIQUE ET DéSIGNE LA CONTRAINTE EXERCéE SUR UN MATéRIAU. L'AMéRICAIN WALTER CANNON EST LE PREMIER à UTILISER LE TERME DE STRESS EN BIOLOGIE, à PROPOS DE L'HOMéOSTASIE (QUI EST LA CAPACITé D'ADAPTATION DU MILIEU VIVANT AUX VARIATIONS ET AUX FLUCTUATIONS DéCLENCHéES PAR LES AGRESSIONS DE L'ENVIRONNEMENT).
UN MéDECIN CANADIEN D'ORIGINE HONGROISE, HANS SELYE (1907à L'éTUDE DES HORMONES STéROïDES. ENSUITE IL VA éTUDIER LA PHYSIOLOGIE DES GLANDES SURRéNALES ET, DANS SON OUVRAGE "STRESS" (1950), IL MONTRE COMMENT LES HORMONES CORTICOSURRéNALES SONT LIBéRéES à LA SUITE D'UNE AGRESSION SUR L'ORGANISME. IL DéSIGNE LA RéACTION NON SPéCIFIQUE DE L'ORGANISME à L'AGRESSION POUR RéTABLIR L'HOMéOSTASIE "SYNDROME GéNéRAL D'ADAPTATION", AVEC UNE PHASE D'ALARME, UNE RéSISTANCE ET UN éPUISEMENT, TOUT CECI PASSANT PAR DES MéCANISMES DIVERS, EN PARTICULIER HORMONAUX, AVEC UN RôLE IMPORTANT DES HORMONES CORTICOSURRéNALIENNES.
AINSI SELYE CONSIDèRE QUE L'AGRESSEUR N'EST PAS DIRECTEMENT PATHOGèNE, MAIS QUE C'EST LA RéACTION DE L'ORGANISME à L'AGRESSEUR QUI CRéE LA MALADIE. CETTE RéACTION PEUT êTRE ADAPTéE OU INADAPTéE, PARCE QU'EXCESSIVE OU INSUFFISANTE. LA MALADIE EST ALORS LE RéSULTAT DE TROUBLES DE L'ADAPTATION.
LA CORTISONE EST UN CHAîNON FONDAMENTAL DE CETTE TENTATIVE D'ADAPTATION. ELLE EST UNE SENTINELLE PERMANENTE DANS UN SYSTèME D'ALERTE CAPABLE DE RéPONDRE à L'INTRUS AGRESSEUR, D'éLEVER DES BARRIèRES DE DéFENSE, D'INTERVENIR DANS LES PHéNOMèNES INFLAMMATOIRES ET IMMUNITAIRES DU PHéNOMèNE DE STRESS. LES RéACTIONS D'ALERTE POURRONT ABOUTIR à DES PHéNOMèNES ALLERGIQUES, LES RéACTIONS DE DéFENSE à L'INFLAMMATION, ET L'éPUISEMENT AUX RéACTIONS AUTO–IMMUNES ET DE BAISSE DE L'IMMUNITé.
Prover 1 – Attaque au cutter (un rasoir pliant d’autrefois mais de couleur dorée) par un gamin de neuf ans, pour de l’argent’empêche de me scalper l’arrière de la tête (pas de peur ni de réelle difficulté).
Prover 1 – Accident de vélo’accroche le pare–choc d’une 2 CV en stationnement et je crève un pneu de mon véloélo en vert’était un vélo rouge et gris aluminium.
Prover 1 – Une personne qui ressemble à un homme (mais qui est une femme) m’engueule car, en s’asseyant sur le fauteuil entre nos deux lits dans le dortoir, elle s’est incrustée dans la peau des fesses et des cuisses toute une panoplie de barrettes et de boucles d’oreilles que j’avais laissées làève tout ça ; pendant que je retire les clous des boucles et quelques barrettes, je proteste’était assise sur ma chaise, là où j’avais tout à fait le droit de poser mes affaires ; cette personne représente pour moi le prototype des gens à qui on doit toujours tout et dont toute l’énergie est employée à rouspéter mais ça ne m’atteint pas vraiment.
Prover 1 –. Devant un grand verre d’eau–de–vie, je mets l’un d’eux en gardeûter d’abord à la petite cuillère avant qu’il ne prenne le risque de tout avaler en croyant boire de l’eau.
agressions
exercice physique
ératoire etc.. il y sécrétion importante de cortisol.
froid
traumatismes
douleurs
chirurgie
accouchement
émortions
la barrière indispensable :
la peau
et
les muqueuses
urticaire éma
œdème de Quincke
asthme
l’inflammation
acné
chéloïdes
polyallergies
désordres immunitaires profonds :
les maladies auto–immunes
et
le déficit immunitaire
maladies autoimmunes
rejets de greffe
pelade
1
le GRAND GENDARME
ANGOISSE
peur de l'autre
de l'intrus
La cortisone est une hormone capable de diminuer la réaction allergique, cette xénophobie biologique. Les provers ont ressenti l'importance de la notion de limite, de barrière, de frontière. Il faut se protéger contre l'intrusion de l'autre, contre l'intrusion d'un monde étranger qui pourrait polluer et abîmer le sujet, contre "l'autre" qui fait peur.
xénophobie
Prover 7– J’arrive en bateau dans un port (Bastiaénophobe en voyant de nombreux petits ferries étrangers.
le pays limitrophe
Prover 7– Je me rends en voiture dans un pays limitrophe (Espagne ou Andorre) ; après la traversée d’une bourgade, je suis arrêté au poste frontièreéhicule ; je râle pour la forme contre les enfants à cause des bagages mal rangés dans le coffre (car en général c’est moi qui les range) ; je demande aux douaniers quelles sont les contraintes douanières à part le tabac et l’alcool, car je ne fume pas, ni ne bois.
les peuples étrangers vierges de notre civilisation vont être contaminés par notre contact
Prover 1 – Des indiens d’Amérique vêtus de cuir blanc (vêtement traditionnel) abordent le monde occidental (restaurant). Je les accompagne et je m’inquiète car ils ne connaissent pas nos coutumes, nos plats, la note à régler en fin de repas. Devant un grand verre d’eau–de–vie, je mets l’un d’eux en gardeûter d’abord à la petite cuillère avant qu’il ne prenne le risque de tout avaler en croyant boire de l’eau.
le monde de l'autre est menaçant : des précautions s'imposent
Prover 7– En vacances, je quitte une ville en voitureée de feuilles de cactus, je dois rouler très précautionneusement dessus pour ne pas crever ; arrivé en bord de mer, je descends sur la plage ; il y a des vaches et un taureau qui leur court aprèsévite et me dirige vers la mer que j’atteins au détour de gros bosquets ; au large se trouve une petite île ; j’ai envie d’y aller à pied en marchant dans l’eau.
la polyallergie
très menaçant
Prover 1 – Attaque au cutter (un rasoir pliant d’autrefois mais de couleur dorée) par un gamin de neuf ans, pour de l’argent’empêche de me scalper l’arrière de la tête (pas de peur ni de réelle difficulté).
COMPENSATION
limite / frontière / allergie
Le système de défense se met en route après la phase d'alarme : c'est la synergie entre l'action sur les cytokines, sur les médiateurs inflammatoires et sur les leucocytes.
je résiste épare
réparer les choses, la carrosserie...
Prover 1 éparer des fissures sur la carrosserie de la voiture avec de la tôle. Pendant que je le fais, je constate que ce n’est pas de la tôle que j’emploie mais de la mie de painça ne fait rien.
Prover 1 – Une personne.. s’est incrustée dans la peau des fesses et des cuisses toute une panoplie de barrettes et de boucles d’oreilles que j’avais laissées làève tout ça ; pendant que je retire les clous des boucles et quelques barrettes, je proteste’était assise sur ma chaise, là où j’avais tout à fait le droit de poser mes affaires ; cette personne représente pour moi le prototype des gens à qui on doit toujours tout et dont toute l’énergie est employée à rouspéter mais ça ne m’atteint pas vraiment.
je repeins
Prover 1 – Accident de vélo’accroche le pare–choc d’une 2 CV en stationnement et je crève un pneu de mon véloélo en vert’était un vélo rouge et gris aluminium.
je rectifie la trajectoire
Prover 1 – Je rectifie une erreur de trajet en voitureébé de six mois laissé assis sans surveillance sur une table.
vigilance
j'épie
Prover 1 – Je démonte sans difficulté la vitre d’une porte qui ressemble à ma porte d’entrée et me retrouve dans certains locaux d’un parti politique’écoute en cachette, puis je ressors et remonte la vitre’a vu, mais mon passage a laissé des traces, preuves d’une intrusionéreux se croient perdus de réputation’un d’eux se lamente sur l’impossibilité dans laquelle il se trouve alors de faire profiter son fils de sa haute situationéjouis.
je me repose
je m'économise
Prover 4 – Mon cabinet est envahi de visiteurs médicaux que je mets dehors car ils m’énervent ; leur prochain rendez– vous est en 2006.
(impression de libération, de légèreté)
des vacances
De nombreux rêves se passent pendant les vacances.
Prover 7– Je me rends en voiture dans un pays limitrophe (Espagne ou Andorre) ; après la traversée d’une bourgade, je suis arrêté au poste frontièreéhicule ; je râle pour la forme contre les enfants à cause des bagages mal rangés dans le coffre (car en général c’est moi qui les range) ; je demande aux douaniers quelles sont les contraintes douanières à part le tabac et l’alcool, car je ne fume pas, ni ne bois.
Prover 7– En vacances, je quitte une ville en voitureée de feuilles de cactus, je dois rouler très précautionneusement dessus pour ne pas crever ; arrivé en bord de mer, je descends sur la plage ; il y a des vaches et un taureau qui leur court aprèsévite et me dirige vers la mer que j’atteins au détour de gros bosquets ; au large se trouve une petite île ; j’ai envie d’y aller à pied en marchant dans l’eau.
DÉCOMPENSATION
auto–immunité
maladies autoimmunes épatite autoimmune, SEP, PR, sclérodermie…
le déficit immunitaire
sensation d'impuissance
Prover 1 – Une camionnette blanche, portant l’inscription “édicale” et remorquant un chien en laisse, passe’essaie de parler avec le chauffeur car le sort des bêtes capturées me tracasseérer que les expériences tentées sur elles ne les mutileront pas trop’impuissance (réminiscences du rez–de–chaussée des locaux de la vieille fac de Médecine de Montpellier).
Prover 5 – Deux rêves de mort (pas du tout angoissants – plutôt soulagement de mourir)“” me tirait dessus et j’étais très contente, enfin délivrée de cette vie ; “’avais pas provoqué mais ça tombe bien” pensais–je.
Dans le même rêve, changement complet d’ambiance’étais allée l’écouter chanter la veille) pourtant promise à un bel avenir, allait mourir aussi et vivait ça comme un bonheur.
2
le GRAND REPARATEUR
ANGOISSE
peur de ne pas y arriver
Prover 7– Je consulte au cabinet ; par la fenêtre je vois qu’il neige et je pense qu’il ne va pas être facile de se déplacer à vélo pour me rendre au centre mutualiste l’après–midi.
Prover 3. – J’accompagne mon frère dans une ville à la sortie de la fac pour rejoindre la gare ; je lui fais prendre un raccourci qui n’en est peut–être pas un, mais je lui explique que cela fait au moins cinq ans qu’on le prend ; après il y a des escaliers qui sont très hauts et très raides et disposés en pyramide ; il ne faut pas rater…
de ne pas être à la hauteur
COMPENSATION
On trouve dans les symptômes de cortisone :
hâte (irrité parce que le bus ne va pas assez vite)
logorrhée
facilitation intellectuelle
insomnie
hâte
Prover 3. – Je suis dans l’avenue principale de ma ville natale très pressée, je rencontre des femmes qui vont à la danse ; je leur dis que je préfère la gym.
Impression que le bus est trop lent, de voyager trop lentement
hyperactivité
Prover 5– Rêve où je travaillais beaucoup (15 h par jour) et une amie me conseillait de m’arrêter une heure ou une heure et demie au milieu de la journée pour faire du vélo dans la nature ; nous étions plusieurs à travailler comme çà et nous nous obligions à nous arrêter pour faire du vélo ensemble.
c'est facile, aisé
Prover 5– J’explique à quelqu’un comment pousser sur la lame d’un patin à glace pour faire des croisés efficaces.
Prover 1 – Je veux réparer des fissures sur la carrosserie de la voiture avec de la tôle. Pendant que je le fais, je constate que ce n’est pas de la tôle que j’emploie mais de la mie de painça ne fait rien.
Prover 1 élo en vert’était un vélo rouge et gris aluminium.
Prover 1 – Je démonte sans difficulté la vitre d’une porte qui ressemble à ma porte..
Prover 3. – Dans la cour de mon ancien collège ; difficulté pour sortir car il y a un grillage qu’il faut contourner ; c’est loin pour faire le détour ; il y a un petit raccourci avec un petit grillage mais un mur de dix mètres de haut sur lequel il faut que je marche ; je prends une autre solution : descente par les toits en me laissant glisser sur les fesses ; en bas, passage très étroit que je franchis sans difficultés.
Prover 3. – Je suis avec un archi qui dessine très bien sur une planche à dessin hypersophistiquée et pliable (se met dans la poche).
Prover 4. –Je me faisais opérer des varices ainsi qu'un ami. Je devais rester couchée plusieurs jours après sur un côté, mais je me levais sans arrêt pour travailler (volontiers) ; je sentais mes jambes beaucoup plus légères.
tranquillité
confiance
Prover 2– J’ai un problème au niveau du rachis dorsal ; cela pourrait ressembler à une hernie discale, mais dans le rêve je ne ressens aucune douleur et aucune angoisse ; c’est comme la constatation et la visualisation d’une boule dans le rachis, boule lisse et nacré.
super woman
Prover 2– J’ai une mission à accomplir dans plusieurs endroits’air (ciel), des rochers et une montagne ; je ne sais pas quelle est cette mission (vague sensation qu’il s’agit de chercher quelque chose de très important). Pas d’angoisse, pas de peur ni de doute, mais un sentiment de confiance ; d’ailleurs, je me déplace avec une grande facilité dans chaque élémentéplace dans l’eau, ni au fond ni en surface mais en plein milieu avec beaucoup d’aisance.
DÉCOMPENSATION
dépression
psychose
ulcères
diverticules
fatigue
Prover 4. – J’étais dans un bateau car je partais en vacances ; d’autres personnes plus jeunes montaient mais eux rentraient (j’étais contente).
surmenée
Prover 4. – Une petite fille tape à mon domicile, alors que je ne travaille pas. Pour un motif médical futile, je lui explique poliment que j’ai besoin de me reposer et qu’elle consulte plus tard.
actions mécaniques difficiles
le mouvement devient impossible
rhumatismes inflammatoires
tendinopathie
lombosciatique
myopathie
3
le GRAND AFFECTIF
ANGOISSE
peur de ne pas avoir l'énergie libidinale
les énergies inconscientes sont endormies
Prover 4. – Je remonte à pied le cours d’un ruisseau dans la forêt et marche sur des animaux qui dorment, chats notamment ou d’autres que je ne connais pas.
COMPENSATION
gaieté
euphorie
excitation psychique
dépense beaucoup (observation de Ch. OZANON)
chaleur
affectivité positive
Prover 1 – Rêve érotique sommaireésire physiquement, c’est réciproque.
Prover 3. – Après je sonne à une maison, c’est un copain d’enfance qui me reçoit très chaleureusement et m’invite à boire ou à manger quelque chose autour d’une table..
Prover 3. – Je descends un escalier et je rencontre mon ex–préparateur (décédé depuis vingt cinq ans) ; poignée de main chaleureuse, ça fait du bien.
Prover 3. – Promenade avec des amis ; on s’arrête au pied d’un arbre sur une pelouse en pente ; pour que tout le monde puisse prendre place, mon mari dispose deux banquettes de voiture et dispose en face deux bancs...
Prover 6– Rêves érotiques inhabituels et intenses
DÉCOMPENSATION
froideur
Cortisone a des troubles sexuels : baise de la libido et troubles de l'érection.
sexualité frustrante
Prover 5– En stage d’homéo à Paris ’était le soir – dortoir commun ; je disais à tout le monde que j’avais oublié mes affaires (ce qui était faux, j’avais tout dans le coffre de ma voiture) pour qu’on s’occupe de moi en fait et me faire remarquer. Je n’avais ni affaires de cours, ni vêtements ni drap, ni sac de couchage. Tout le monde s’installait ; j’attendais que quelqu’un me fasse une place sur son matelas ; il y avait J. P. et J. M. qui, bien qu’habitant Paris, préféraient rester dans le groupe.
Prover 5– Ambiance de guerre ou plutôt de chasse puisque les ennemis sont des lièvres qu’il fallait absolument attraper et tuer (car ils représentaient un danger menaçant) en leur arrachant le sexe. Christophe me disait“ème , je m’en charge, je les attrape et leur arrache le sexe d’un coup de dents” et en effet il se met à leur courir après avec une extrême vélocité et facilité ; il les attrapait et les tenait d’une main par les oreilles et mordait un bon coup pour leur arracher le sexe…
femme masculine
c'est un symptôme décrit dans la toxicologie.
Prover 1 – Une personne qui ressemble à un homme (mais qui est une femme) m’engueule… cette personne représente pour moi le prototype des gens à qui on doit toujours tout et dont toute l’énergie est employée à rouspéter mais ça ne m’atteint pas vraiment.
dysménorrhée
aménorrhée
Chez la femme on peut observer par inertie de la sécrétion hypophysaire des troubles du cycle menstruel pouvant aller jusqu'à l'aménorrhée.
Prover 5– Aménorrhée depuis six mois ; retour des règles huit jours après la prise de la dose.
fertilité problématique
Prover 4. – Rêve de deux chiens qui se rencontrent, courent ; j’ai peur que l’un engrosse l’autre.
un monde sec et désertique
le monde minéral (cailloux)
Prover 5– Mais les gens avaient l’air très content de se baigner et de s’allonger ensuite au soleil sur ces minuscules plages rocailleuses non confortables, les uns sur les autres.
retard de croissance édecine chinoise l'os est lié à l'énergie des reins, source de la sexualité. En Egypte l'os était la source du sperme.
déminéralisation
ostéoporose
ostéonécrose
fractures – tassements
4
la GRANDE BOUFFE
ANGOISSE
de manquer
Prover 1 – Des gens n’ont plus de mouchoirs et en cherchent partout
Prover 7– Avec quelques confrères, je me rends dans une cafétéria–restaurant… je laisse quelques personnes se servir avant moi ; dans un coin de la pièce de grands bacs métalliques superposés contiennent d’énormes poissons entiers ; je me sers en pensant que cela doit occasionner beaucoup de gaspillage.
Prover 3. – Promenade avec des amis ; on s’arrête au pied d’un arbre sur une pelouse en pente ; pour que tout le monde puisse prendre place, mon mari dispose deux banquettes de voiture et dispose en face deux bancs.
COMPENSATION
On connaît le syndrome de Cushing iatrogénique qui est inhérent à la prescription de corticoïdes au long cours : obésité facio–tronculaire avec rougeurs des téguments, vergetures, troubles génitaux, hirsutisme, HTA, décalcification osseuse, atrophie musculaire et troubles de la glycorégulation de type diabétique.
appétit augmenté
malaise quand il a faim
des gros à visage lunaire
obésité
hyperlipidémie
lipomatose
rétention d'eau
diabète
poils superflus et abondants à des endroits inhabituels
la bouffe
la surcharge
Prover 1 – Ma cousine fait de son deuxième fils un enfant gâté (rêve en rapport avec des faits vécus).
Prover 1 – Le petit sac de fraises des bois que je voulais mettre dans du fromage blanc pour le petit déjeuner a trop attendu’est ennuyeux).
je fais des réserves
Prover 7– Je me rends ensuite dans une villa au bord de l’eau, je sers à table un plat de poulet (en référence à un film vu la veilleà terre ; je le ramasse et le remets dans le plat car je me demande s’il va y en avoir pour tout le monde.
trop de bouffe
"les artères sont bouchées"
Prover 7– Je sors des poubelles d’une entrée d’immeuble ; des voitures sont garées sur le trottoir et je me demande si le camion des éboueurs va pouvoir passer…
DÉCOMPENSATION
ne mange pas
Prover 4. – Je suis un chien traité par cortisone et je ne mange pas pour ne pas grossir.
Prover 1 – Le fils d’une amie qui est musicien va passer une importante audition ; il ne peut rien manger tant il est ému..
anorexie
amaigrissement
Prover 4. – Je vois comme dans l’écran de télévision le visage de ma mère très amaigri (pas du tout de ressemblance).
les os cassés
la peau
vergetures
ulcères
Addison
Insuffisance surrénalienne : fatigabilité musculaire, hypotension, mélanodermie, hyponatrémie, hyperkaliémie et hypoglycémie.
RUBRIQUES du RADAR 8.1 avec ajouts en italique.
♥: symptôme qui nous semble important et fiable
♥: symptôme qui nous semble important, fiable et bien confirmé
énésie de Cortisone
ômes sont tirés de la littérature toxicoloïdes confondus) et de deux pathogénésies homéopathiques de Cortisone diluée et dynamisée. Ces symptômes sont donnés selon l'ordre du Kent's final general repertory (revised edition by Dr. P. Schmidt, New Dehli, National Homoeopathic Pharôme est suivi d'un numéro qui correspond à la source dont il provient
é d'un proving de W. L. Templeé dans British Homoeopathic Journal, 43 : 89
à la toxicologie
2p correspond au proving proprement dit fait avec le composé F de Kendall, le 17érone.
3) Pathogénésie 1988 : expérimentation faite entre le 19 janvier 1988 et le 28 mars 1988 à la communauté de l'Arche de l'abbaye de Bonnecombe, sous la direction du Dr P. Cayrel.
éopathique) ont pris chacun 70 doses globules, à raison d'une dose par jour; les 2 sujets placebo ont pris 70 doses de globules neutres, les 4 autres 68 doses neutres et une dose Cortisone 30 CH le 6e et le 37e jour du proving. Tous les tubes ont été numérotés et la série randomisée par Mlle Mattei, pharmacienne responsable des Laboratoià Montpellier. La valeur des symptômes a été calculée d'après une méthode d'appréciation de leur imputabilité (4). II faut noter que cette façon de procéder a été jugée très lourde à suivre par les proyers; il était toutefois intéressant d'en faire une fois l'expérience.
ômes retenus (plausibles, à confirmer par l'expérience clinique) :
à "DELUSIONS
tendance suicidaire
MIND – TACITURN
MIND – WEEPING
HEAD – HEAVINESS
HEAD – HEAVINESS – Temples
éninges)
à 19 h)
HEAD – PAIN – heat – during the
HEAD – PAIN – pressure, external – agg.
ée à la chaleur)
HEAD – PAIN – Forehead, in – right side
HEAD – PAIN – Forehead, in – afternoon
HEAD – PAIN – Forehead, in – pressure
HEAD – PAIN – Forehead, in – pulsating
HEAD – PAIN – Forehead, in –
HEAD – PAIN – Forehead, in – stooping – from
HEAD – PAIN – Forehead, in – sunlight
HEAD – PAIN – Forehead, in – Eyes – Above – right
HEAD – PAIN – Forehead, in – Eyes – Above – warm – room
HEAD – PAIN – Occiput
érale agg. l'agrès
– érale agg. à la pression)
t –érale agg. en se penchant en avant)
HEAD – PAIN – Sides – left
HEAD – PAIN – Vertex
HEAD – PAIN – pressing – Vertex
HEAD – PAIN – pulsating
HEAD – PAIN – stitching – air, in open – amel.
HEAD – PAIN – stitching – Forehead – Eyes, over – right
HEAD – PAIN – stitching – Forehead – Eyes, over – pressure
HEAD – SUNSTROKE
ère inférieurée)
é
érotiques)
EYE – DRYNESS
EYE – DRYNESS – Lids
EYE – DRYNESS – Lids – Margins of lids
EYE – INFLAMMATION
EYE – INFLAMMATION – Canthi – Inner
EYE – INFLAMMATION – Conjunctiva
EYE – INFLAMMATION – Conjunctiva – allergic
–Uéite)
EYE – ITCHING
EYE – LACHRYMATION
EYE – OPENING the eyelids – difficult – morning
EYE – PAIN – foreign body
EYE – PAIN – foreign body
e –
EYE – PAIN – stitching – right
EYE – PAIN – stitching – air
EYE – PAIN – stitching – pressure – agg.
EYE – TIRED SENSATION
N –Cération de la cornée)
–ôté)
–M
NOSE – CORYZA – discharge, with
♥
épistaxis)
♥
NOSE
NOSE – INFLAMMATION – allergic
NOSE – SNEEZING – morning
éternuements le matin amél. par la toilette)
ère perforant)
FACE ôté dans la névralgie faciale)
FACE – ERUPTIONS – acne
––N
FACE – ERUPTIONS – patches – Cheek – red – heat
♥FACE à gauche)
FACE– PAIN éliorée à la pression)
FACE éliorée en s'asseyant dans le lit)
FACE – SWELLING
MOUTH – DRYNESS – drinks – warm – amel.
MOUTH – DRYNESS – swallowing, on
écheresse agg. en avalant à vide)
MOUTH écheresse amél. par les boissons chaudes)
ôme fait double emploi avec "drinks
égaiement)
THROAT – DISCOLORATION – redness – Uvula
THROAT – DRYNESS
THROAT – DRYNESS – morning
écheresse agg. en avalant à vide)
THROAT écheresse amél. par les boissons chaudes)
THROAT U –écheresse de la luette agg. le matin)
THROAT – PAIN – splinter
à gauche par endroits)
♥
STOMACH – NAUSEA – milk, after
STOMACH – THIRST – large quantities, for
ères)
STOMACH –
ématémèse)
éatite)
RECTUM – CONSTIPATION – difficult stool – recedes, stool
RECTUM – DIARRHEA – morning
– ée le matin après le lever)
émorroïdes)
érinée)
ûlures du périnée)
STOOL – MUCOUS
STOOL – MUCOUS – black
STOOL – THIN
STOOL – THIN – morning
BLADDER – URGING to urinate – sudden
KIDNEYS – PAIN
KIDNEYS – PAIN – lying – while
KIDNEYS – PAIN – sitting, while
PROSTATE GLAND
URINE – CASTS, containing – hyaline
URINE – CASTS, containing – tubes, of
♥ète)
FEMALE GENITALIA/SEX – MENSES – absent – girls, in
FEMALE GENITALIA/SEX – MENSES – copious
FEMALE GENITALIA/SEX – MENSES – irregular
FEMALE GENITALIA/SEX – MENSES – painful – walking – amel.
ègles reviennent après avoir cessé)
étrorragie)
étrorragie par fibromes)
étant assis)
♥
RESPIRATION – ASTHMATIC – allergic
RESPIRATION – DIFFICULT
COUGH – AIR – open
COUGH – DRY – lying, while
COUGH – DRYNESS, from – Throat
COUGH – EXCITEMENT
COUGH – LAUGHING
COUGH – LOOSE
COUGH – SHAVING agg.
COUGH – UNDRESSING
COUGH – WALKING
COUGH – WALKING – air
COUGH – WARM – becoming, on
EXPECTORATION – GRAYISH
écoloration du
œur)
CHEST –
BACK – ERUPTIONS – patches – red – Cervical region – bed – rising from
BACK – ERUPTIONS – patches – red – Cervical region – heat
BACK – ERUPTIONS – patches – red – Cervical region – scratching
éningite)
BACK –
BACK – él. au mouvement)
BACK – él. à la pression)
BACK –
BACK – PAIN – Sacroiliac symphysis
BACK – PAIN – aching
BACK – PAIN – aching – Sacroiliac region – right
BACK – PAIN – aching – Sacroiliac region – lying – amel.
BACK – PAIN – aching – Sacroiliac region – sitting
BACK – PAIN – aching – Sacroiliac region – standing – amel.
BACK – PAIN – aching – Sacroiliac region – stooping
BACK – PAIN – aching – Sacroiliac region – stooping – morning
BACK – PAIN – break, as though the back would
BACK – PAIN – break, as though the back would – pressure – amel.
BACK – SPOTS – Cervical region – red
ée, enflée)
éri–
éites, ostéonécrose)
EXTREMITIES – CRACKED skin – Hands – Back of
EXTREMITIES – CRACKED skin – Hands – Back of – warm application – agg.
EXTREMITIES – CRAMPS – sudden
EXTREMITIES – DISCOLORATION – Hand – Back of – blotches – red
EXTREMITIES – DISCOLORATION – Fingers – redness
EXTREMITIES – DISCOLORATION – Fingers – Nails – red – Root
EXTREMITIES – DISCOLORATION – Ankle – redness – spots, in
EXTREMITIES – DRYNESS – Hands
EXTREMITIES – DRYNESS – Hands – Back of
EXTREMITIES – ERUPTIONS – rash – accompanied by – patches – Hands – Back of
EXTREMITIES – ERUPTIONS – rash – red – Fingers – Back of
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Hand – eczema
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Hand – rash
éruption prurigineuse au dos des mains)
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Hand – Back of – red – patches – bed – rising from
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Leg – rash
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Ankle – patches – red – bed – going to
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Ankle – patches – red – bed – rising from
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Ankle – patches – red – heat
EXTREMITIES – ERUPTIONS – Foot – rash
EXTREMITIES – HEAVINESS – Leg – standing
EXTREMITIES – INFLAMMATION – Joints
EXTREMITIES – IRRITATION of skin – Hands – Back of
EXTREMITIES – ITCHING – Thigh – scratching – amel.
EXTREMITIES – ITCHING – Thigh
EXTREMITIES – OSTEOPOROSIS
EXTREMITIES – OSTEOPOROSIS – injury
épaule droite)
é agg. le soir)
EXTREMITIES K –H –é agg. allongé sur le côté douloureux)
EXTREMITIES K –H –é debout)
EXTREMITIES K –H – –é irradiant à la cuisse)
EXTREMITIES – PAIN – drawing – Knee – Hollow of – evening, in bed
EXTREMITIES – PAIN – drawing – Knee – Hollow of – lying down, on
EXTREMITIES – PAIN – drawing – Knee – Hollow of – standing, while
EXTREMITIES – PAIN – drawing – Knee – Hollow of – extending to – Thigh
EXTREMITIES – RESTLESSNESS
EXTREMITIES – RESTLESSNESS – Leg
EXTREMITIES – ROUGHNESS – Hand – Back of
EXTREMITIES – STIFFNESS – motion – amel.
EXTREMITIES – SWELLING
ème)
EXTREMITIES – WEAKNESS
EXTREMITIES – WEAKNESS – standing, while
SLEEP – DISTURBED
SLEEP – DISTURBED – easily
♥
SLEEP – LIGHT
SLEEP – RESTLESS
SLEEP – SLEEPINESS – eating – after
♥
SLEEP – SLEEPLESSNESS – evening – bed, after going to
SLEEP – SLEEPLESSNESS – pleasant
♥
SLEEP – UNREFRESHING
SLEEP – UNREFRESHING – morning
SLEEP – WAKING – night – midnight – after – 4 h
SLEEP – WAKING – difficult – morning
SLEEP – WAKING – early
DREAMS (accidents)
érotiques)
(d'être attaqué)
(faire du vélo)
;parts of body – (dos
(taureau)
(
from harm ; of
DREAMS
épertorisé dans "Dreams
♥
DREAMS
ôme est répertorisé dans "DREAMS
♥
♥
TREATMENT
; by
; by
♥
♥
SKIN –âleur)
SKIN –
– éruptions surélevées)
SKIN – ERUPTIONS – itching – rubbing – amel.
SKIN – ERUPTIONS – psoriasis
– éruptions après s'être gratté)
;
–éruptions agg. à la chaleur)
SKIN – INDURATIONS, nodules, etc. – scratching
SKIN – ITCHING
SKIN – ITCHING – rubbing – amel.
SKIN – ITCHING – warm – bed
♥STRETCH MARKS
♥
GENERALS – EVENING – amel.
éites, ostéonécrose)
GENERALS – CUSHING's syndrome
♥
GENERALS – DROPSY
GENERALS – DROPSY – external dropsy
GENERALS – DROPSY – external dropsy – kidney disease, from
GENERALS – DROPSY
GENERALS – DRY sensation
GENERALS – FOOD and DRINKS – bread – aversion
GENERALS – FOOD and DRINKS – eggs – desire
GENERALS – FOOD and DRINKS – fat – agg.
GENERALS – FOOD and DRINKS – fish – aversion
GENERALS – FOOD and DRINKS – meat – aversion
GENERALS – FOOD and DRINKS – milk – agg.
GENERALS – FOOD and DRINKS – sour food, acids – desire
ées)
érolémie)
émie)
émie)
ïdisme)
éridémie)
émie)
émie)
GENERALS – INFECTIOUS disease
GENERALS – INFLAMMATION
GENERALS – INFLAMMATION – Externally
GENERALS – INFLAMMATION – Internally
GENERALS – INFLAMMATION – Joints
GENERALS – INJURIES – Bones
GENERALS – LEUKEMIA
ôme correspond à "GENERALS
énie)
éonécrose)
ées vasomotrices)
GENERALS – PRESSURE – agg.
GENERALS – REST – agg.
GENERALS – SIDE – left
GENERALS – SOFTENING bones – x–ray, from
GENERALS – SUN – sunburn
GENERALS – WALKING – amel.
GENERALS – WARM – agg.
GENERALS – WEAKNESS
GENERALS – WEARINESS
GENERALS – WEARINESS – morning
GENERALS – WOUNDS – heal
BIBLIOGRAPHIE
– et glucocorticoïdes érapie, n° 101 supplément, avril 19989, p. 41.
– ;°4, pp.121–133 (et ès national d’homéopathie de Toulouseœur et la raison
– LONG B. œographe. éopathie et quaternité. Le remède centré ° 78, pp. 4–18 et n°79, pp. 25–39.
+ Side effects of drugs annual 10. 1986.
+ Side effects of drugs annual 11, 1987.
– (T.) °6, 1999, p. 231.
– POPOVA (T.) °9, 1999, p. 330.
Repris par O. A. Julian dans le Dictionnaire de Matière Médicale Homéopathique, Paris. Masson, 1981 (attention dans ce dernier ouvrage aux confusions entre les provings de corticotrophine et de cortisone) ; consulter aussi H. Voisin, Matière Médicale du Praticien Homéopathe.
– SOUK (P.), LONG (.), Critères d'imputabilité dans les expérimentations homéopathiques, Cahiers de Biothérapie.
– SCHROYENS (F.)
– VERMEULEN (F.)
– WECHSLER (B.) et CHOSIDOW (O.) ïdes et corticothérapie
Consulter aussi :
Nous remercions madame BUXIN du service de documentation de DOLISOS.
STRESS
physiologie
immuno
la barrière
l'inflammation
maladies autoimmunes
1
ANGOISSE
peur de l'autre
l'intrus
COMPENSATION
limite / frontière / allergie
réparer les choses, la carrosserie...
DECOMPENSATION
la polyallergie
le déficit immunitaire
2
ANGOISSE
peur de ne pas y arriver
de ne pas âtre à la hauteur
COMPENSATION
c'est facile, aisé
tranquillité
confiance
DECOMPENSATION
difficile
actions mécaniques
3
ANGOISSE
peur de ne pas avoir l'énergie libidinale
COMPENSATION
gaieté
chaleur
affectivité positive
DECOMPENSATION
froideur
les os cassés
sexualité frustrante
le monde minéral (cailloux)
4
ANGOISSE
de manquer
COMPENSATION
la bouffe
la surcharge
Cushing
cholestérol etc..
DECOMPENSATION
ne mange pas
amaigrissement
Addison