SIE DE



ÉNÉSIE DE



Didier Lustig, Dr Jacques Rey



évrier 2002





La publication en France de La Pathogénésie Homéopathique, de Jeremy Sherr, au printemps 1998, a mis à la portée des homéopathes francophones la réalisation d’une pathogénésie répondant à la fois aux attentes de la communauté homéopathique internationale et aux principes exposés par Hahnemann dans L’Organon. Nous avons donc choisi d’utiliser la méthode, au demeurant remarquablement complète et détaillée, donnée par J. Sherr pour l’étude du remède qui fait l’objet de la présente expérimentation. Si nous avons tenu à respecter les critères qui accordent à ce type d’étude sa validité scientifique, en particulier le principe du double aveugle et la présence de placebos parmi les produits actifs, il nous est également apparu souhaitable de rechercher, dans la mesure du possible, un certain degré de compatibilité avec les essais propres à l’industrie pharmaceutique. Peut–être ce type de démarche permettra–t–il un jour un rapprochement entre deux mondes en apparence inconciliables



   

IMÉTHODOLOGIE




Nous avons sélectionné 20 expérimentateurs, qui ont reçu chacun 6 doses de la même dilution. A chacun d’entre eux il a été demandé de noter ses symptômes dans un cahier et d’en rendre compte à un superviseur, nécessairement médecin homéopathe. Celui–ci était chargé de les consigner à son tour dans un autre cahier distinct. Après une semaine d’observation, les expérimentateurs ont pris leurs doses à raison de trois doses par jour sur deux jours, étant entendu que la prise de doses devait être impérativement interrompue dès l’apparition des premiers symptômes.
La répartition des différentes dilutions s’est faite comme suitérimentateurs ont reçu le remède en 7 CH, 5 autres en 12 CH, 5 autres en 30 CH et les 5 derniers ont reçu le placebo. Chacune des 120 doses utilisées a reçu un numéro obtenu par randomisation et connu du seul laboratoire qui a fabriqué les doses. Par ailleurs, la substance a été choisie par une seule personne, membre de la commission d’étude, qui n’en a pas divulgué le nom tant que la pathogénésie n’a pas été achevée, c’est–à–dire tant que les cahiers des expérimentateurs et des superviseurs n’ont pas été remis au directeur de l’expérimentation. Cette personne n’a bien évidemment pas participé à la pathogénésie, de ce fait la règle du double aveugle s’est trouvée intégralement respectée.
Pour des raisons liées en particulier à la disponibilité ou à l’état de santé des expérimentateurs, la prise des doses n’a pu se faire à la même période pour tous, c’est pourquoi l’expérimentation s’est étalée d’octobre 1998 à avril 1999. Malgré cela, il ne semble pas qu’il y ait eu d’échange d’informations entre expérimentateurs et/ou superviseurs, susceptible d’influencer le résultat.
Le choix du remède à expérimenter s’est porté sur une substance n’ayant jamais fait l’objet d’une dilution homéopathique’agit d’un sel métallique, le chlorure de neptunium. C’est principalement le souci de compléter la connaissance homéopathique des constituants fondamentaux de la matière é notre choix. Ce travail s’inscrit donc à la suite des pathogénésies d’autres éléments du Tableau périodique de Mendeleïev réalisées ces dernières années, à savoir, par ordre croissant de masse atomiqueHydrogenumHeliumOxygenumNeonCobaltumGermaniumMolybdenumIndiumTantalumTungstenumIridium et Plutonium. C’est à partir de ce type d’étude qu’un auteur tel que Jan Scholten a pu élaborer une nouvelle approche des remèdes homéopathiques, comme en témoignent ses ouvrages Homéopathie et Minéraux et Homeopathy and The Elements.



   

IILE NEPTUNIUM




Doté du numéro atomique 93, le neptunium se trouve placé entre l’uranium (92), dernier des éléments naturels, et le plutonium (94) dans le Tableau périodique. Comme ses deux voisins immédiats, il appartient à la série des actinides, ainsi nommés en raison de leur affinité chimique avec l’actinium (89). Premier des éléments produits artificiellement, le neptunium inaugure la série des 11 éléments transuraniens, tous métaux lourds radioactifs. L’histoire de la découverte du neptunium mérite d’être connue car elle porte déjà, en quelque sorte, l’empreinte du remède.



1) Historique


édéric Joliot et Irène Curie (le gendre et la fille de Marie Curie), au début des années 30, qui montraient l’existence probable d’éléments au–delà de l’uranium, différents groupes de physiciens atomistes se mirent à la recherche d’un hypothétique “énium”, du nom de l’élément au–dessous duquel devait logiquement venir se placer le nouvel atome dans le Tableau périodique. Ainsi, en 1934, Enrico Fermi et Emilio Segrè annoncèrent à Rome la découverte du premier élément transuranien obtenu par bombardement d’un noyau d’uranium à l’aide d’une source de neutrons thermiques (ralentis par l’eau). Toutefois, au grand dam de ses créateurs, les caractéristiques chimiques et radioactives du nouvel élément restaient difficiles à interpréter, car contradictoires et incompatibles avec celles théoriquement attendues. Ce n’est qu’en 1938 qu’Otto Hahn, Fritz Strassmann et Lise Meitner publièrent depuis Berlin et Stockholm le résultat de leurs travaux sur la découverte des Italiens’uranium par des neutrons, loin d’avoir donné naissance à nouvel élément plus lourd, avait provoqué la scission en deux fragments inégaux d’un isotope
ême élément mais comportant un nombre différent de neutrons.’uranium, l’uranium 235, contenu en très faible quantité (0,72’uranium naturel. Ainsi, la première fission nucléaire de l’histoire fut–elle réalisée dans l’ignorance de ses auteurs. Cependant, dès la fin de 1934, une autre physicienne allemande, Ida Noddack, avait compris intuitivement la méprise de Fermi et Segrè, mais n’avait pu en établir la preuve car elle n’était pas équipée du matériel nécessaire pour réaliser à son tour l’expérience.


Le déclenchement de la Seconde guerre mondiale mit un terme à la collaboration entre laboratoires et sonna le glas de la recherche nucléaire en Europe. La quête des éléments transuraniens reprit donc aux Etats–Unis à l’Université de Berkeley, en Californie. Grâce à un nouvel accélérateur de particules, E.M. Mc Millan et P.H. Abelson poursuivirent les travaux d’Otto Hahn et constatèrent à leur tour qu’en ajoutant un neutron au noyau d’uranium 238, celui–ci disparaissait en l’espace de quelques heures. Au printemps 1940, ils mirent en évidence que l’uranium 238 donne d’abord naissance à un autre isotope, l’uranium 239, de période radioactive
ériode radioactive, ou demi–vie, correspond au temps au bout duquel la moitié des atomes de l’élément considéré a disparu par désintégration. Selon les isotopes, cette période peut varier de quelques microsecondes à plusieurs milliards d’années. très brève (23,5 minutes), avant de transmuter en un élément nouveau qu’ils baptisèrent neptunium, du nom de la planète Neptune découverte à la suite d’Uranus
.

Dans les années qui suivirent, douze autres isotopes de neptunium (Np à Np) furent mis à jour, parmi lesquels l’isotope 237, découvert en 1942 par A.J. Wahl et G.T. Seaborg, remarquable en raison de sa période radioactive de 2,14 millions d’années. C’est cet isotope, de loin le plus courant actuellement, qui a été choisi pour la pathogénésie.



2) Propriétés physico–chimiques


Comme l’uranium 238 ou le plutonium 239, le neptunium 237 est un émetteur alpha, ce qui signifie qu’en se désintégrant il émet une particule formée de 2 protons et de 2 neutrons (semblable à un noyau d’hélium). Il transmute alors en protactinium 233 (élément 91). Obtenu toujours par bombardement neutronique du noyau d’uranium
, le neptunium 237 est utilisé comme cible dans les réacteurs de recherche afin d’obtenir du plutonium 238
, celui–ci constituant une source appréciable d’énergie pour les missions spatiales. Enfin, le neptunium 237 se retrouve également dans les déchets nucléaires où, mélangé aux autres produits de fission, il apparaît en quantité croissante en tant que produit de l’américium 241
.


’il ne reste que 483 grammes de neptunium par tonne d’uranium irradié dans un réacteur au bout de trois ans, ce qui paraît peu en regard des 7,6 kg de plutonium. Mais si l’on considère la longueur de sa période radioactive, le stockage du neptunium ne manquera pas de poser des problèmes à très long terme car il continuera de rayonner alors même que tous les autres émetteurs alpha auront disparu. Du fait même de cette longueur, la radioactivité du neptunium 237 est faibleécessaires pour atteindre le taux de radioactivité fourni par un seul gramme de radium 226. Si on le compare au plutonium 239, il est 90 fois moins radioactif, mais sa période est 90 fois plus longue.

Sous sa forme métallique, le neptunium présente une couleur argentée, comme la plupart des autres transuraniens. Il s’oxyde lentement à l’air, d’autant que la température et le taux d’humidité augmentent. Avec une densité de 20,5 g par cm, il atteint son point de fusion à 637° C. Il est soluble dans l’acide chlorhydrique à froid, dans l’acide sulfurique à chaud et ne réagit pas à l’acide nitrique.

3) Métabolisme et toxicité


Le métabolisme du neptunium montre un tropisme particulier pour le foie et le squelette, ainsi qu’au niveau des glandes surrénales sur lesquelles il semble se fixer définitivement. Son élimination se fait essentiellement par voie urinaire. La toxicité du neptunium chez l’animal d’expérience, et a fortiori chez l’homme en cas d’absorption accidentelle, doit être envisagée sous un double aspect chimique et radiopathologique, le faible taux de radioactivité laissant en effet à la toxicité chimique le temps de s’exprimer. Sur ce dernier plan, c’est le foie qui est l’organe le plus atteint avec une dégénérescence graisseuse rapide. Sur le plan radiopathologique on observe des ostéosarcomes, comme le laisse supposer le tropisme osseux du neptunium, ainsi que des cancers des tissus mous, notamment du foie et du rein. ’a jamais fait l’objet d’une étude toxicologique chez l’homme.


4) Souche utilisée


La souche ayant servi à la fabrication des différentes dilutions employée lors de la pathogénésie a été créée dans un laboratoire de physique nucléaire français le 10 septembre 1996 par un radiochimiste et moi–même (Didier Lustig). La solution de base était contenue dans un tube à essai portant l’étiquette NpCl (pour chlorure de neptunium). Celui–ci était stocké avec d’autres produits radioactifs dans un vaste coffre–fort composé de tiroirs multiples, à l’intérieur d’une pièce dont l’accès était sécurisé. La solution en question m’a été décrite comme de provenance française et de “” pour ce qui est de la proportion de neptunium et d’acide chlorhydrique.
Nous avons donc prélevé 0,15 cm de cette solution et les avons versés dans un flacon contenant 14,85 cm d’eau permutée et osmosée fournie par le laboratoire homéopathique chargé de la fabrication des doses. Après rebouchage, nous avons agité 100 fois le flacon et avons ainsi obtenu la 1ère dilution centésimale. Nous avons ensuite réservé 0,15 cm de cette première dilution, vidé le flacon de son contenu, et l’avons à nouveau rempli avec 14,85 cm d’eau purifiée auxquels nous avons ajouté les 0,15 cm réservés, puis nous avons effectué les 100 succussions suivantes afin d’obtenir la 2ème centésimale. Nous avons procédé ainsi en flacon unique jusqu’à la 6 centésimale. C’est une partie (0,05 cm) de cette dernière dilution qui a été adressée au laboratoire homéopathique pour la production des dilutions ultérieures utilisées pour la pathogénésie.



   

LA PLANÈTE NEPTUNE




Neptune est l’avant–dernière planète du système solaire, tant par son éloignement du soleil (4,497 milliards de km, soit 30 fois la distance de la Terre au Soleil) que par la date relativement récente de sa découverte. Avec Uranus et Pluton, entre les orbites desquelles elle gravite, elle est l’une des trois planètes invisibles à l’œil nu. Elle a en effet été observée pour la première fois le 23 septembre 1846 par l’astronome allemand Galle, confirmant ainsi les calculs du français Le Verrier auquel on attribue souvent la paternité de la découverte. Elle a été photographiée pour la première fois de près en 1989 par la sonde Voyager II, ce qui a permis au monde entier d’admirer sa superbe couleur bleue. Seule se détache dans l’hémisphère sud une tache blanche dont la forme et l’étendue varient en permanence et qui n’est pas sans évoquer l’écume de la mer. La présence de cette tache laisse supposer que la couche supérieure de l’atmosphère de Neptune est parcourue en permanence par de violents courants gazeux. Composée uniquement d’hydrogène, d’hélium et de méthane, Neptune, comme Jupiter, Saturne ou Uranus, ne possède donc pas de surface solide. En raison de son éloignement, la température diurne y est très basse° C.

ète bleue est la dernière des planètes géanteséquatorial) est à peine inférieure à celle d’Uranus, mais presque 3 fois plus petite que celle de Jupiter. Elle met 164,79 années terrestres pour accomplir sa révolution autour du soleil et tourne sur elle–même en 15 heures et 48 minutes.



   

IVMYTHOLOGIE DE NEPTUNE




é Poséidon par les Grecs, puis Neptune par les Romains, le dieu des mers est aisément reconnaissable à son emblème, un trident qu’il tient à la main droite. Les Anciens rapportent que Neptune et ses frères Jupiter et Pluton, fils de Saturne, détrônèrent leur père grâce à un subterfuge mis au point avec l’aide de leur mère, Rhéa, puis ils se partagèrent le monde’on rencontrait plus souvent Neptune dans l’Olympe que dans son fabuleux palais au fond de l’océan. Bien qu’il eût comme principale épouse Amphitrite, fille d’Océan, les poètes ont décrit ses innombrables liaisons avec des déesses ou des mortelles, c’est pourquoi on le désigne comme le plus volage des dieux. Pour parvenir à ses fins, il n’hésitait pas à se métamorphoser en bélier, en cheval, en oiseau, en taureau, en dauphin, voire en fleuve.

Neptune règne d’abord sur les mers éditerranée et les Eaux Calmes, aujourd’hui la mer Noire ’océan supposé entourer la Terre. Comme l’écrit Edith Hamilton dans La Mythologie (voir biblio.), “’il roule dans son char d’or à la surface des flots, le silence succède au bruit des vagues et une paisible sérénité suit le passage des roues”. Il est donc le dieu qui apaiseêtes et les inondations, il vient en aide aux navires échoués sur les récifs ou sur les bancs de sable. Souvent on adjoint à son nom le qualificatif de “”, ainsi il stabilise l’île de Délos afin de protéger la naissance d’Apollon. Mais à l’inverse, Neptune peut provoquer de terribles tempêtes et faire disparaître marins et navires. A ce titre il est un dieu redoutable, “ôt le dieu de la mer soulevée que de la bonace”, écrivent Louis Séchan et Pierre Lévêque (voir biblio.) Certains textes montrent qu’il peut aussi déchaîner sur terre tornades et ouragans, eau et vent mêlés envahissant l’espace et emportant tout sur leur passage. En fait Neptune règne sur l’ensemble des eaux, depuis l’océan primordial d’où naquirent les dieux eux–mêmes, jusqu’aux eaux douces, sources, rivières et fleuves. Ainsi les fêtes de Neptune, les Neptunales, étaient célébrées chaque 23 juillet, au moment des grandes chaleurs, lorsque la nature a le plus soif.
Enfin, Neptune est le dieu des tremblements de terre,éismes étant liés, selon les anciens, aux tempêtes de la mer sur laquelle reposaient les continents. Il est donc celui qui ébranle le monde, qui soulève la terre et fait s’écrouler ce qui est à sa surface. Conformément au symbolisme de l’eau, on lui accorde un pouvoir fécondantésigne Poséidon comme le principal des dieux de l’Atlantide, le légendaire continent englouti. Il y avait le pouvoir “’eau, l’une chaude, l’autre froide, et de faire pousser sur la terre des plantes nourricières de toute sorte, en suffisance”.
Edith Hamilton conclut son article en affirmant que le trident est la lance avec laquelle neptune peut à son gré tout soulever et disperser au gré des courants. De même, chaque pointe du trident semble évoquer un des domaines sur lequel Neptune exerce son empire’eau et la terre.


   

VSYMBOLISME ASTROLOGIQUE

DE NEPTUNE ET DU SIGNE DES POISSONS




Les astrologues considèrent que la découverte de chacune des trois planètes nouvelles
ïncidé avec un ensemble d’événements assimilables à une révolution sur les plans politique, social, moral, culturel et technologique, en raison de leur empreinte profonde et durable sur l’évolution de l’humanité dans son ensemble.
De fait, l’époque de la découverte de Neptune a correspondu chronologiquement à l’émergence de mouvements révolutionnaires qui ont secoué l’Europe, notamment en France (chute de Louis–Philippe et proclamation de la Seconde République), mais aussi en Italie, en Allemagne, en Autriche et en Hongrie, en Russie etc. Ces mouvements ont été souvent inspirés et conduits par des intellectuels issus de la classe bourgeoise, parmi lesquels des poètes, des écrivains, des philosophes et des artistes, c’est pourquoi on a souvent qualifié ces évènements de “évolution romantique”. Émus par la misère des ouvriers que la révolution industrielle avaient déracinés des campagnes, ils dénoncèrent l’exploitation de l’homme par l’homme en rêvant à une société basée sur l’abolition des classes et le juste partage des richesses. Ainsi paraissait en 1848 Le Manifeste du Parti Communiste, de Karl Marx, base d’une doctrine qui devait s’imposer pendant près d’un siècle et demi. Si la révolution industrielle devait se résumer à une image, ce pourrait être celle d’une fumée s’échappant d’une cheminéeée d’usine, de locomotive ou de machine à vapeur.
Le milieu du XIX SIèCLE A CORRESPOND éGALEMENT à L’EXPLORATION DES DERNIèRES TERRES INCONNUES ET à LA CONQUêTE DES GRANDS EMPIRES COLONIAUX PAR LES PUISSANCES EUROPéENNES, NOTAMMENT LA FRANCE ET L’ANGLETERRE. NOTONS QUE C’EST EN 1848 QUE L’ESCLAVAGE A éTé ABOLI DANS LES POSSESSIONS FRANçAISES. N’EST–IL PAS éTRANGE QUE CES TERRITOIRES IMMENSES, DONT LES FABULEUX ATTRAITS AVAIENT ATTIRé OUTRE–MER TANT DE NOS PROCHES ANCêTRES, AIENT PU, à PEINE UN SIèCLE PLUS TARD, éCHAPPER à LEURS NOUVEAUX MAîTRES EN L’ESPACE DE QUELQUES ANNéES SEULEMENT
COMMENT NE PAS éVOQUER L’AVèNEMENT, EN 1837, DU LONG RèGNE DE LA REINE VICTORIA DONT LA LéGENDAIRE RIGUEUR EST à L’IMAGE DU VOILE DE PUDIBONDERIE ET DE DéVOTION DOUTEUSE QUI RECOUVRIT TOUTE L’EUROPE ET L’AMéRIQUE DU NORD PENDANT PLUS D’UN DEMI–SIèCLE ’UN DOGME SOUVENT DéTOURNé ET VIDé DE SON SENSXIX SIèCLE CORRESPOND AUSSI à L’éMERGENCE D’UN MYSTICISME AUTHENTIQUE, ILLUSTRé PAR EXEMPLE PAR SAINTE THéRèSE DE LISIEUX OU BERNADETTE SOUBIROUS, DE MêME QU’à CELLE DE COURANTS COMME LE SPIRITISME, LA THéOSOPHIE ETC. ON NE PEUT TOUTEFOIS SAISIR COMPLèTEMENT L’ESPRIT DE CETTE PéRIODE SI ON NE FAIT PAS CAS DU SPECTRE DE LA TUBERCULOSEéRENT, NOMBRE D’éCRIVAINS ET DE POèTES GOûTèRENT AUX DéLICES DU HASCHISCH, ALORS CONSOMMé SOUS FORME DE CONFITURE, COMME EN TéMOIGNENT LES PARADIS ARTIFICIELS DE BAUDELAIRE. ENFIN, SUR LE PLAN MéDICAL, LES ANNéES 1840 CORRESPONDENT AUX DéBUTS DES ANESTHéSIES CHIRURGICALES’ABORD PRATIQUéES AU PROTOXYDE D’AZOTE (1843), PUIS à L’éTHER (1846) ET AU CHLOROFORME (PREMIèRE ANESTHéSIE GéNéRALE EN 1847).


Quel point commun relie entre eux ces faits de natures si différentes’état primordial d’indifférenciation d’où toute création est issue, y compris celle des dieux eux–mêmes ’hui qu’à ses origines la Terre était entièrement recouverte d’eau et que peu à peu a émergé un continent unique, nommé Pangée (étymologiquement, “ère”). En effet, qu’il s’agisse de l’abolition des classes sociales, du juste partage des richesses, de l’exploration des terres lointaines, de la quête du sacré ou de l’invisible, on retrouve cette recherche du paradis perdu (cf.’Atlantide), de cet âge d’or où n’existait pas encore la conscience d’être séparé du créateur ni des autres créatures. Sans doute cette conscience est–elle à l’origine de toute souffrance, et en cela on peut évoquer ici la notion de psore primaire. C’est donc à cet état fusionnel ’humanité, voire avec l’univers tout entier pour les autres éfère l’usage des drogues, notamment celui du cannabis, et plus généralement toute conduite de fuite vis–à–vis de la réalité objective.
Ainsi, c’est d’abord l’expérience de l’oubli de soi en tant qu’individu séparééquences qui en découlent. Sur le plan psychique il est le principal facteur d’intuition’est comme si le sujet sensible à cette planète avait la faculté de voir au travers du voile qui sépare les individus les uns des autres. De fait, il s’agira toujours d’une personne hypersensible à la présence d’autrui et au climat ambiant. Il arrive que cette hypersensibilité conduise à des états de clairvoyance ou de mysticisme, et ce toujours en dehors de la volonté du sujet. Bien souvent on observe une attirance pour des situations “être vraies”, c’est–à–dire relevant davantage du fantasme que de la réalité tangible. Vient alors le moment des désillusions et de la réactivation de la souffrance première avec le constat amer que le paradis ’en approche ’est pas de ce monde.
Si Neptune symbolise le sacré (et non le divin à proprement parler), il est facile de comprendre en quoi il indique le sacrifice, mot à mot “é”. Le sacrifice est donc bien le processus par lequel le moi, ou ego, cherche, le plus souvent inconsciemment, à se résorber dans “’amour primordial” et à disparaître en tant qu’individu à part entière. Dans la pratique, on observe que derrière toute conduite sacrificielle se cache tantôt une culpabilité liée à une faute presque toujours imaginaire, inconsciente ou héritée d’un ascendant Ève ont été chassés du paradis parce qu’ils avaient goûté au fruit défendu ôt une crainte de l’abandon liée à l’absence, l’incapacité ou la non–reconnaissance d’un des deux parents.
Il est facile de comprendre ce qui a conduit les astrologues à accorder à Neptune une affinité particulière avec le signe des Poissons sorbera à la fin des temps. On ne pourra que constater les innombrables similitudes qui relient ce signe au christianisme en général et au Christ en particulierétait appelé ichtyosétiens, lesquels avaient l’habitude de tracer un poisson sur le sable en guise de reconnaissance. A cette époque, il y a de cela deux mille ans, commençait l’ère des Poissons avec l’entrée du point vernal dans la constellation du même nom…
Pour finir, voici quelques notions présentées sous forme de mots clés, destinées à illustrer le symbolisme de la planète autant que celui du signe. Elles permettront de mieux saisir les multiples chemins que Neptune est susceptible d’emprunter pour se manifester à la conscience



Voyons à présent dans quelle mesure et de quelle façon les symptômes pathogénésiques de Neptunium muriaticum sont liés aux valeurs exposées jusqu’ici.



   

LES RÉSULTATS DE LA PATHOGÉNÉSIE




La question des placebos


Notre première surprise à la lecture des cahiers d’expérimentation a été de constater non seulement que la plupart des personnes qui avaient reçu le placebo avaient manifesté des symptômes, mais encore que ces symptômes étaient semblables à ceux éprouvés par les expérimentateurs ayant reçu le produit actif. Certes, ils se sont manifestés dans l’ensemble avec une moindre intensité et moins de richesse de détails, notamment en ce qui concerne le mental. De plus, apparus presque immédiatement après la prise des doses, ils ont également eu tendance à disparaître plus rapidement. Il n’en reste pas moins que les expérimentateurs qui ont reçu les placebos ont exprimé de façon indéniable des signes pathogénésiques du remèdeéquent se pose la question de la transmission d’informations d’un tube–dose imprégné de produit actif vers un autre non imprégné.
En l’absence de réponse, nous nous en tiendrons à relater les faitsà la suite d’une double erreur de conditionnement et d’expédition, le laboratoire chargé de la fabrication a placé les 120 doses dans un même emballage, sans séparer les placebos des produits actifs. Par ailleurs, une erreur d’adresse sur le paquet a fait que celui–ci a été renvoyé à l’expéditeur avant d’être enfin adressé au destinataire. Ainsi, les doses placebos et celles contenant le produit actif sont restées en contact pendant une dizaine de jours. Conscients de ce que l’erreur avait déjà été commise, nous n’avons plus cherché à les stocker séparément avant de les remettre aux expérimentateurs, ce qui a conduit à les laisser à nouveau en contact pendant une semaine supplémentaire.
Toutefois, par souci de rigueur scientifique, nous avons choisi de ne pas inclure dans la liste qui suit les symptômes rapportés par les expérimentateurs ayant reçu un placebo.



Notation des symptômes


Les chiffes inscrits entre crochets à la fin de chaque symptôme indiquent


       

  1. le nombre de jours, d’heures et de minutes écoulés depuis la prise de la première dose du remède par l’expérimentateur (ex


  2.    

  3. le numéro d’expérimentateur (exérimentateur n° 5)


  4.    

  5. la dilution utilisée (ex dilution hahnemannienne).

SYMPTÔMES




ABDOMEN


Douleur


1. Douleurs musculaires au bas des côtes sur le côté droit, devant et derrière
2. Douleur intercostale persistante et névralgie intercostale très aiguë, très douloureuse, lancinante avec accès paroxystiques, accompagnée de fatigue extrême (calmée par ostéopathie le lendemain). [19.XX.XX, E4, 7
3. Douleurs comme des coups de couteau au niveau de la côte flottante droite, plutôt dans le dos, depuis deux joursêmes douleurs le lendemain au bas des côtes à droite, une fois au jardin et une fois à l’atelier (18h et 20h)à nouveau au 17 jour suite à un effort physique. [02.09.00, E10, 12
4. Point de côté sous la dernière côte droite en étant assise, de 23h10 à 23h30. [28.17.55, E18, 30
5. Point de côté douloureux à droite qui part de l’avant du thorax jusque dans le dos en traversant le corps. [30.06.35, E18, 30
6. Sensation de pointe au foie à la base du lobe droit. [00.08.45, E16, 30
7. Douleurs permanentes, lancinantes, mais légères au ventre, puis dans la soirée au dessous du nombril à gauche, comme un petit point de côté. [04.12.XX, E8, 12
8. Ventre très gonflé vers 20h et douleur lancinante autour du nombril. Beaucoup de gaz vers 22h qui améliorent. [30.13.XX, E18, 30



Chaleur


9. Pression entre les dernières côtes et les hanches avec sensation de chaleur interne. [01.12.15, E8, 12
10. Sensation de chaleur diffuse dans le bas du ventre, au dessous et à gauche du nombril, à différents moments de la journée (12h, 20h, 22h) le 5jour des règles, puis le lendemain à 12h. [01.XX.XX, E8, 12
11. Pesanteur et brûlure au niveau de la tailleégère douleur interne durant quelques secondes au niveau du nombril comme pour une gastro–entérite, avec soif. Bouche sèche, amélioration pendant 15 mn en buvant (chaud ou froid). [03.15.45, E8, 12
12. Douleur et chaleur dans le ventre (taille) avant le petit–déjeuner, puis grande soif. (04.00.XX, E8, 12
13. Pesanteur et sensation de brûlure légère, non améliorée en desserrant les vêtements. (05.XX.XX, E8, 12
14. Douleur chaude dans le ventre, à gauche sous la dernière côte, pendant quatre à cinq secondesà gauche et au dessous du nombril pendant la matinée. [56.01.XX, E8, 12



Oppression


’oppression au niveau des dernières côtes des deux côtés comme si on me serrait les côtes, et besoin de respirer profondément, ceci plusieurs fois dans la journée (plus fréquent qu’avant). [01.XX.XX, E8, 12

16. Légère sensation d’oppression entre la tête et le tronc, “érieures de son corps”. Sensation d’oppression plus forte le lendemain “était compressé”, “ée dans un corset”. Le 27 jour, à nouveau sensation d’oppression thoracique, comme le premier jour de la pathogénésie. [00.12.XX, E18, 30


BOUCHE


Dents


17. Légère douleur à la prémolaire inférieure gauche pendant 5 mn. [01.06.XX, E8, 12
18. Prémolaire supérieure droite qui agace, en même temps que sensation de légère brûlure sur l’aile du nez, les sinus et la tempe droite, pendant toute la journée. [22.03.XX, E8, 12

Boutons


19. Petit bouton au fond du palais à droite depuis deux ou trois jours, qui gêne de temps en temps (dure 6 jours en tout). [12.XX.XX, E10, 12
20. A nouveau bouton au fond du palais, plus au fond et à droite que le précédent, qui apparaît à la fin du repas et disparaît le lendemainéapparaît le 25 jour, puis à nouveau le 33 jour pendant une journée. [23.12.XX, E10, 12
21. Bouton à l’intérieur de la lèvre supérieure du côte droit, qui se transforme en aphte. Trois jours plus tard, l’aphte grossit, la lèvre est enflée. Encore deux jours plus tard, l’aphte est douloureux, la joue est enflée et douloureuse. [31.15.00, E10, 12
22. Aphte à l’intérieur de la lèvre inférieure qui disparaît le lendemain et réapparaît dans la soirée du surlendemain (cicatrisation deux jours plus tard). [07.XX.XX, E8, 12
23. Bouton comme un aphte au milieu de la lèvre inférieure, devant les incisives du bas. Le bouton est blanc et de plus en plus gênant, “’il poussait la lèvre inférieure en avant” (durée
24. Bouton sur le bord gauche de la langue qui gêne beaucoup. [17.16.XX, E18, 30
25. Bouton sur la langue à droite, très gênant. [34.XX.XX, E18, 30


Divers

égers picotements au palaisême chose le lendemain avec soif. [04.XX.XX, E8, 12

27. Bouche sèche avec envie de boire indifféremment du chaud ou du froid, amélioration en fin d’après–midi. [05.07.XX, E8, 12
28. Empreinte des dents au bout de la langue, au lieu des côtés habituellement. (28.XX.XX, E18, 30

DOS

29. Sensation que les muscles du dos lâchent, qu’ils ne la soutiennent plusésir de s’allonger dans la soirée du lendemain. [20.XX.XX, E4, 7
30. Sensation très subtile comme si elle avait reçu un léger coup sur la colonne, “’avait appuyé sur toute cette partie avec une pelle à pain”, de la nuque jusqu’au bas du dos, surtout au niveau des épaules. Cette sensation de courbature dans le dos est plus forte le lendemain. [00.11.25, E18, 30
31. Légère douleur dorsale du côté droit, assise en courbant le dos ou couchée, améliorée en se redressant. [30.XX.XX, E8, 12
32. Douleur à la jonction pouce–index ou douleur dorsale en se servant de la pince pouce–index pendant la matinée. [10.02.XX, E8, 12
33. Douleur lancinante, piquante, sous l’omoplate droite en étant assise, qui disparaît en se levant (pendant un quart d’heure). [05.06.55, E18, 30
34. Douleur lancinante sous l’omoplate gauche en faisant une marche arrière en voiture, indépendante des mouvements, qui persiste jusqu’au lendemain matin. Une petite douleur identique réapparaît pendant environ 30 mn le 20 jour sous l’omoplate gauche [06.11.15, E18, 30
35. Douleur dorso–lombaire (D9–D10) sur la première branche du méridien de la vessie. [00.08.45, E16, 30


EXTREMITES


Bras et mains


36. Démangeaison au poignet gauche, face interne. [01.14.XX, E15, 7
37. Douleur dans le poignet gauche pendant un instant. (05.01.15, E18, 30
38. Main droite engourdie pendant une à deux minutes. (04.10.55, E18, 30
39. Petite crampe au bord interne de la main droite et le long du 5 doigt. [04.16.05, E18, 30
40. Dans la nuit, réveil avec engourdissement du bord interne de la main gauche et du 5 doigt. [05.XX.XX, E18, 30
41. Crampe dans la main gauche en conduisant, pendant une dizaine de minutes (violente pendant 30 secondes, puis moins forte).[02.06.45, E18, 30
42. Crampe dans la paume de la main gauche pendant 1 mn. [32.00.40, E18, 30
43. Douleur vive à la jonction pouce–index ou douleur dorsale en se servant de la pince pouce–index et en serrant pendant la matinée. [10.02.XX, E8, 12



Jambes et pieds


44. Douleur à la hanche gauche. [01.XX.XX, E15, 7
45. Sensation comme un point de côté dans l’aine droite en sortant de la voiture, de courte durée mais gênante en marchant. [26.06.45, E18, 30
46. Comme un point de côté à l’aine gauche en marchant. [28.07.45, E18, 30
47. Battements dans les muscles des fesses en étant assise quelques instants. [19.15.45, E18, 30
48. Crampes à la fesse gauche pendant 3 heures, avec petite boiterie. [01.02.15, E8, 12
49. Douleur à la fesse droite, comme une élongation. [07.XX.XX, E15, 7
50. Légère crampe musculaire (courbature) dans le bas des fesses, plus marquée à droite, le matin pendant une demi–heure. [05.00.45, E8, 12
51. Sciatalgie postérieure à la jambe droite, aggravée debout, améliorée assis, avec douleur lancinante après 5 mn de marche, pendant trois semaines. [04.XX.XX, E16, 30
52. Sensation d’avoir bu (de l’alcool) et jambes tremblotantes (30 mn après la 2ème dose). [00.07.15, E5, 30
53. Douleur piquante au genou gauche et craquements en le mobilisant, pendant une demi–heureélioration au mouvement et par le massage. [03.14.15, E8, 12
54. Genou gauche engourdi en conduisant, puis engourdissement des 2ème, 3et 4 orteils gauches, puis du gros orteil (pendant 15 mn.) (04.07.15, E18, 30
55. Genou gauche engourdi, puis orteils, pendant 5 mn. [11.03.15, E18, 30
56. Sensation bizarre dans le genou gauche
57. Crampes au mollet. [06.XX.XX, E15, 7
58. Contracture violente au mollet droit, aggravé jambes tendues, amélioré jambes fléchies. [00.09.50, E16, 30
59. Engourdissement de l’avant des pieds et des orteils, plus à gauche qu’à droite, assise mais sans croiser les jambes, pendant 2 à 3 mn. [05.03.30, E18, 30
60. Engourdissement de l’avant du pied gauche et des 1, 2 et 3 orteils, puis fourmillements désagréables. (06.04.15, E18, 30
61. Engourdissement du pied gauche en restant debout. [44.XX.XX, E18, 30
62. Brève crampe sous le pied gauche à l’avant du talon à 14h25, puis à nouveau à 21h et le lendemain à minuit. [06.07.10, E18, 30
63. Petite crampes sous le pied gauche pendant 5 mn environ à 10h30, puis à 20h45 sous le pied droit, et à nouveau sous le pied gauche le lendemain vers 10h. [12.05.15, E18, 30
64. Crampes au pied droit au milieu de la plante entre 9h30 et 10h00, puis à nouveau vers 17h. [10.XX.XX, E18, 30
65. Petite crampe sous le pied droit à 17h20 qui a duré toute la soirée, puis le 26 jour à partir de 19h. [24.10.05, E18, 30
66. Différentes petites crampes sous les pieds dans la journée. [16.XX.XX, E18, 30
67. Sensation comme si elle allait avoir une crampe en bougeant les orteils. [17.XX.XX, E18, 30


GENERALITES


Fatigue


68. Beaucoup d’activité (gros travaux, ménage, etc.)é, mais fatigue à partir de 18h30. [01.XX.XX, E4, 7
69. Fatigue. [13.XX.XX, E4, 7
70. Sensation de se traîner, mais moral toujours au beau fixe. [14.XX.XX, E4, 7
71. Très fatiguée le soir. [15.XX.XX, E4, 7
72. Grande fatigue et migraine l’après–midi et le soir, tension et douleur dans la nuque. [16.XX.XX, E4, 7
73. Fatigue l’après–midi. [17.XX.XX, E4, 7
74. Grande fatigue tous les jours. [12.XX.XX, E5, 30
75. Fatigue extrême pendant plusieurs jours avec douleurs intercostales. [18.XX.XX, E4, 7
76. Coup de fatigue à 14h pendant cinq à dix minutes avec somnolenceà midi. [00.07.05, E10, 12
77. Coup de fatigue à 15h30 avec nausées. [04.08.30, E10, 12
78. Coup de fatigue à 14h30 et le lendemain à 15h15. [05.07.30, E10, 12
79. Nausées jusqu’à 14h30 et grosse fatigue. Envie d’aller se coucher le soir car épuiséeême chose l’après–midi et le soir du lendemain. [12.07.30, E10, 12
80. Brusque accentuation de la fatigue, devenue permanente depuis la prise des doses, avec forte somnolence pendant les cours (souvent après le repas de midi). [XX.XX.XX, E17, 7



Energie


81. Forme physique et morale excellente. [02.XX.XX, E4, 7
82. Moral au beau fixe et tonus au top [03.XX.XX, E4, 7
83. Fait du rangement, du classement, organise les choses en retard. [01.XX.XX, E5, 30
84. Activité rapide et efficace, mais fatigue le soir. [03.XX.XX, E5, 30
85. S’occupe de choses en retard (classement, rangement, comptes) ou pas faites depuis longtemps (peinture à l’huile). Grande fatigue le soir. [04.XX.XX, E5, 30
86. Malgré de grosses difficultés à se réveiller (par rapport à d’habitude), elle a beaucoup d’énergie dans la journée depuis 15 jours par rapport au début de l’expérimentation (elle avait sommeil toute la journée)“’avais plus de mal à me lever et plus d’énergie juste après la mise en train”, “” [30.XX.XX, E8, 12
87. Pas de baisse de tonus, qui apparaît habituellement vers 19h pendant une heure (durée
88. Grande activité dans les tâches ménagères et les activités intellectuelles, s’est mise à réviser un examen. “’était pesant, tout se faisait facilement”, “’énergie s’écoule facilement”. S’est sentie très fluide mentalement et très active physiquement. [00.XX.XX, E14, 7
89. Grande activité physiqueénage, jardinage, rangement de placards, tri’ordre. [03.XX.XX, E14, 7


Orientation des symptômes

90. Sensation que les symptômes vont de bas en haut. [06.XX.XX, E8, 12
91. Ordre inverse d’évolution des symptômes d’une sinusite par rapport à d’habitudeà la gorge, puis frissons, yeux qui brûlent, barre frontale (de fer), nez qui coule goutte à goutte). [04.XX.XX, E10, 12
92. Symptômes plus marqués du côté gauche. [04.XX.XX, E18, 30





93. Sensation d’avoir bu (de l’alcool) et jambes tremblotantes (30 mn après la 2ème dose). [00.07.15, E5, 30
94. Sensation d’évanouissement en montant à la salle de bains, améliorée en étant assise. [13.17.00, E10, 12
95. Sensation de plénitude dans tout le corps et l’occiput, hormis les membres. [02.XX.XX, E18, 30
96. Besoin d’eau’a beaucoup détendue. [02.XX.XX, E14, 7
97. Réapparition de symptômes anciens (4 à 5 ans)ègles douloureuses, maux de tête, acné. [06.XX.XX



MENTAL




98. Moral d’acier, absence d’angoisse. [01.XX.XX, E4, 7
99. Forme physique et morale excellente. [02.XX.XX, E4, 7
100. Moral au beau fixe et tonus au top. [03.XX.XX, E4, 7
101. Moral bon malgré les problèmes domestiques. [07.XX.XX, E4, 7
102. Sensation de “îner” et moral toujours au beau fixe. [14.XX.XX E4, 7
103. A lu pendant trois heures et demie dans la voiture sans nausée. [24.XX.XX, E8, 12
104. Bien qu’absente depuis plusieurs séances, elle a été très sûre d’elle à la gym acrobatique“éralement envolée”. Elle a fait peur à tout le monde, mais elle ressentait beaucoup de calme, aucune excitation (contrairement à d’habitude). [07.XX.XX, E8, 12
105. Toujours aussi gaie au réveil, bonne humeur et gaieté toute la journée. [09.00.00, E10, 12
106. Grande aisance au travail. [00.06.XX, E11, 30
107. Impression que “’atteindre”. [04.XX.XX, E11, 30
108. Dans l’après–midi, elle a décidé de faire une couleur à ses cheveux après avoir vu une amie qui l’avait fait’est un peu trop “”, mais ça lui est égal et ça ne l’ennuie pas que ça ne plaise pas à son mari. [23.XX.XX, E8, 12
109. Grande activité dans les tâches ménagères et les activités intellectuelles’est mise à réviser un examen. “’était pesant, tout se faisait facilement”, “’énergie s’écoule parfaitement”. S’est sentie très fluide mentalement et très active physiquement. [00.XX.XX, E14, 7
110. A beaucoup écrit et conçu des projets professionnels. [02.XX.XX, E14, 7
111. Se sent plus gaie, plus calme, malgré une journée stressante. Toujours plus gaie le lendemain, alors qu’elle a des soucis concernant la santé de son mari et sur le plan financier. [02.XX.XX, E18, 30
112. Beaucoup plus d’énergie, de dynamisme que d’habitude. [05.XX.XX, E18, 30
113. Ma bonne humeur a disparu mais je prends mieux les choses par rapport à d’habitude. [20.XX.XX, E18, 30





114. Dans l’après–midi, fous rires pour un rien, à en pleurer. Elle dit des phrases à l’envers (pots à la mauvaise place). Le matin, elle s’est trompée de pot de couleur plusieurs fois (elle a remué le chrome au lieu du cobalt). En quittant son travail, son collègue lui dit“é un joint”. Elle confond les jours. Une certaine euphorie malgré les soucis professionnels. [04.XX.XX, E10, 12
115. Dans l’après–midi, encore des fous rires pour un rien, larmes. Son collègue lui dit“ête de prendre ce médicament” Confusions dans le temps. [05.XX.XX, E10, 12
116. Impression de bien–être comme si le corps permettait une circulation fluide des éléments, sans aucun blocage organique ni mental. Absence de rêves, contrairement à d’habitude. Plus loquace que d’habitude, rire et euphorie évoquant l’état d’ébriété (pendant quatre jours). [01.XX.XX, E11, 30
117. De très bonne humeur“”. “’amuse comme une gamine”. [07.XX.XX, E18, 30





118. Quelques fous rires, se sent en pleine forme alors qu’elle est en retard dans son travail. Son mari lui affirme qu’elle a chanté au réveil. [07.XX.XX, E10, 12
119. Chante en se lavant. [08.01.XX, E10, 12
120. A chanté toute la journée au travail
121. Pendant toute la matinée, très joyeuse, de très bonne humeur au petit–déjeuneré plus que d’habitude, au point que son mari lui a dit “’es pas en train de donner un récital”. [00.00.55, E18, 30




122. Inverse les choses. [00.XX.XX, E15, 7
123. Plus distraite que d’habitude et systématiquement en retard aux rendez–vous. [06.XX.XX, E18, 30
124. J’ai oublié un rendez–vous chez un médecin pour mon mari, cela ne m’est encore jamais arrivé. Un peu moins gaie aujourd’hui, beaucoup moins de bonne humeur. [09.XX.XX, E18, 30
125. A oublié un rendez–vous chez l’orthodontiste. [47.XX.XX, E18, 30





126. Besoin de mettre de l’ordre. Besoin de silence et de calme“ées”. [03.XX.XX, E14, 7



é


127. Irritabilité à la moindre contrariété, pendant 8 jours. [00.00.XX, E4, 7
128. “ère contre tout le monde. J’ai bien taillé la haie et je taillais tout le monde en même temps. Colère plus précise, plus claire dans ma tête par rapport à ce qui ne va pas. Ce n’est pas une colère méchante.” [01.XX.XX, E10, 12
129. Ne supporte rien. [01.XX.XX, E15, 7





130. Sensation de tristesse sans raison particulière. [11.XX.XX, E5, 30
131. Broie du noir. [01.09.30, E10, 12
132. Envie de ne rien faire, dégoût de tout, absence d’envie d’aller travailler. [00.04.45, E16, 30
133. Je me sens plutôt triste mais je continue à réagir plutôt bien. Par exemple avec les enfants, je m’énerve moins que d’habitude. Je n’ai pas envie de parler de cet état, ni même de l’écrire. J’aimerais laisser cette page vide. Pas envie de contact. [23.XX.XX, E18, 30
134. Baisse de moral le soir. Je me suis laissée “” par ma fille en l’aidant dans ses devoirs. D’habitude, je me protège mieux. [46.XX.XX, E18, 30


NEZ


éapparition pendant une journée d’un rhume des foins disparu deux ans auparavant, avec nez bouché, éternuements et toux sèche. [02.04.XX, E2, 12

136. Sensibilité des bords supérieurs du nez, avec envie de se masser à cet endroit. [01.06.XX, E8, 12
137. Brûlure très fugitive dans le nez“’on boit la tasse par le nez” ou “”. [02.06.15, E8, 12


GENITAL FEMININ




138. Douleur très vive (comme une contraction) à l’ovaire droit pendant 10 à 15 secondesée de tout arrêter, y compris de parler, à 12h30 (hors période des règles). [17.07.45, E8, 12
139. Douleur aux ovaires pendant plusieurs jours. [01.XX.XX, E15,7
140. Douleur à l’ovaire gauche et sur le côté à l’appendice.[02.XX.XX, E15, 7
141. Légère douleur à l’ovaire gauche. [01.00.30, E18, 30
142. Légère douleur dans le bas ventre de chaque côté de l’utérus en se baissant. Même chose le lendemain. [02.XX.XX, E18, 30
143. Petite douleur au bas ventre après les rapports la veille au soir. [04.00.00, E18, 30



ègles


144. Bouffées de chaleur sans sueurs ni rougeurs, avec excitation intérieure comme après le café malgré l’envie de dormir, disparaissant en se déshabillant, à différents moments de la journée (5 jour des règles). [01.XX.XX, E8, 12
145. Saignement diminué les 3 et 4 jours des règles, fin des règles le 5 jour. [08.XX.XX, E4, 7
146. Règles très peu abondantes, presque pas de saignement le 3 jour, alors qu’en général elles sont très abondantes (3 cycle des règles depuis le début de l’expérimentation). [54.XX.XX, E8, 12
147. Règles terminées le 4 jour (d’habitude pertes marron pendant encore un jour). [04.XX.XX, E10, 12
148. Légères douleurs de pression au bas ventre avec mal de tête le 1 jour des règles, aggravées par une bouillotte chaude et par le froid. Le lendemain, léger mal de ventre, écoulements avec caillots [01.04.30, E17, 7
149. Mal de ventre avec mal de tête sourd et continu pendant les règleségère sensation de serrement aux tempes. [02.04.30, E17, 7
150. Douleur de torsion au ventre avec pertes brunes (dernier jour des règles). [06.04.30, E17, 7



é


151. Sensation de sexualité endormie, moins de désir.[10.XX.XX, E18, 30
152. Désir complètement absent“à m’empêcher de penser à d’autres choses”, “’était plus en relation avec ma tête.” [13.XX.XX, E18, 30
153. Sécheresse vaginale pendant les rapports sexuels.[31.XX.XX, E18, 30


OREILLES


154. Douleur aiguë pendant 2 à 3 secondes à l’intérieur de l’oreille gauche vers 9h30/10h, qui revient le lendemain peu après le lever, puis le surlendemain pendant une heure. [16.03.00, E8, 12

’oreille gauche à 14h, plus sourde que la veille. L’oreille se bouche progressivement, puis la douleur disparaît à 15h. [19.06.45, E8, 12

156. Douleur aiguë dans l’oreille gauche pendant quelques secondes vers 13h. [56.06.15, E8, 12





157. Impression d’avoir de l’eau dans l’oreille droite pendant environ 15 mn. [01.11.XX, E10, 12
158. A 20h, vibrations avec léger chuintement dans l’oreille gauche pendant 10 à 15 secondes, comme si une bulle d’air se vidait à l’extérieur de l’oreille ou comme un ballon de baudruche que l’on dégonfle. Le lendemain soir au coucher, vers 22h30, tension et vibrations du tympan droit pendant 5 à 6 secondes (nettement moins fort que la veille) mais pas de douleur. [40.13.45, E8, 12
159. Suintement de l’oreille droite. [06.00.30, E10, 12


PEAU


160. Deux boutons sur le front et un sur le menton, rouges, sensibles et douloureux pendant trois jours. [00.10.XX, E7, 7
161. Bouton à l’angle interne du sourcil droit. [01.XX.XX, E10, 12
162. Éruption de boutons (acné) aux tempes et sous le menton (dernier jour des règles). [06.XX.XX, E17, 7
163. Deux petits boutons symétriques sous le menton, de chaque côté du cou (2ème jour des règles). [17.XX.XX, E18, 30


SOMMEIL


Sommeil


’après–midi (18h) et effondrement le soir vers 22h. [02.12.XX, E8, 12

165. S’endort presque dans la voiture (23h30). [07.16.15, E18, 30
166. Yeux qui piquent et larmoient, impression de s’endormir sur le champ pendant une réunion. [28.15.30, E18, 30
167. Coup de fatigue à partir de 16h jusqu’à 20h environ, comme si elle allait s’endormir tout de suite, avec yeux qui piquent. [58.08.45, E18, 30


Réveil



168. Réveil sans raison à 4h avec difficulté à se rendormir. [07.21.15, E5, 30

éveillée à 3h15, n’étant pas sûre si c’est la chatte qui m’a réveillée ou si je me suis réveillée toute seule. En tous cas, la chatte est restée là à ronronner à côté de ma tête, contrairement à son habitude. [00.20.00, E18, 30


SYSTEME CARDIO–VASCULAIRE

170. Léger éréthisme cardiaque. [00.00.XX, E4, 7


SYSTEME DIGESTIF


ût


171. Forte sensation de sucré à la prise de la première dose. [00.00.00, E5, 30
172. La 6 dose semble avoir un goût différent, plus salé. [01.15.30, E8, 12






173. Sensation de soif, besoin de boire beaucoup d’eau (une heure après la 2ème dose). [00.07.05, E5, 30
174. Douleur et chaleur dans le ventre avant le petit déjeuner, puis grande soif. [04.00.XX, E8, 12
175. Légère douleur interne au niveau du nombril comme en cas de gastro–entérite durant quelques secondes, avec soifèche, amélioration pendant 15 minutes après avoir bu (chaud ou froid). [03.15.45, E8, 12
176. Douleur et chaleur dans le ventre (taille) avant le petit déjeuner, puis grande soif. Soif de thé et d’eau qui réapparaît après le petit déjeuner. Dans l’après–midi, grande soif d’eau, fraîcheur de l’eau qui descend dans le gosier, petites gorgées qui n’étanchent pas la soif. [04.08.XX, E8, 12
177. Bouche piquante au niveau du palais, avec soif. [05.02.15, E8, 12


ésirs et aversions


178. Un peu écœurée après le repas et désir de chocolat qui améliore. [00.12.15, E5, 30
179. Désir de chocolat le soir pendant 4 jours. [01.13.00, E5, 30
180. Envie de salade et de fruits frais. [04.XX.XX, E8, 12
181. Abus de chocolat. [00.XX.XX, E12, 30
182. Gonflement du ventre après chaque repas, midi et soir. Difficulté à digérer le pain malgré le désir d’en manger. Deux jours après, se sent de plus en plus gonflée, désir accru de féculents. [31.XX.XX, E18, 30
183. Désir de glace vers 23h (absolument inhabituel). [01.XX.XX, E20, 12





184. Petites éructations pendant la journée. [02.XX.XX, E8, 12
185. Éructations après les repas. [03.XX.XX, E8, 12
186. Éructations après le déjeuner et dans l’après–midi. Même chose le lendemain avec bouche sèche et envie de boire du chaud ou du froid (amélioration en fin d’après–midi), [04.06.XX, E8, 12
187. Aigreurs dans la gorge entre 17 et 18h, et le soir vers minuit. [19.10.XX, E18, 30
188. Lourdeurs et aigreurs après le déjeuner, aigreurs et éructations à 20h qui cessent vers minuit. [22.07.XX, E18, 30
189. Légère gêne au niveau de l’estomac. [00.11.45, E18, 30
190. Petite douleur lancinante à l’estomac pendant 5 minutes. [07.07.05, E18, 30
191. Après chaque repas, lourdeur dans l’estomac et gaz (vents et éructations). [04.XX.XX, E18, 30
192. Maux de ventre, ballonnements, spasmes intestinaux qui réveillent. Nausées, contractions au niveau de l’estomac améliorées en mangeant. [02.XX.XX, E14, 7
193. Gaz et éructations. [08.06.45, E18, 30
194. Sensation d’être un peu vaseuse, comme après un repas trop lourd ou trop arrosé. [28.XX.XX, E18, 30
195. Remontée acide pendant 20 minutes vers 19h. [34.12.XX, E18, 30



ées


196. Nombreuses éructations jusqu’au repas de midi et sensation de nausée peu améliorée en mangeant. [01.XX.XX, E8, 12
197. Un peu écœurée après le repas et désir de chocolat qui améliore. [00.12.15, E5, 30
198. Légère nausée après avoir mangé du chocolat au lait. [01.15.15, E8, 12
199. Sensation de nausée au réveil et après le petit déjeuner. Nausées après dîner et au coucher, puis le lendemain avant le petit déjeuner, avec sensation de faim. [02.00.XX, E8, 12
200. Coup de fatigue, nausées à 15h30. [04.08.30, E10, 12
201. Nausées en voiture en allant faire des courses dans la matinée. [06.04.XX, E10, 12
202. Nausées pendant le trajet au travail qui partent de l’estomac, aggravées à la pression, avec vertiges. Les nausées durent jusque vers 14h30. Grande fatigue. [12.02.XX, E10, 12
203. Nausée pendant 1h½ [26.03.45, E10, 12
204. Nausée avec fatigue et vertiges (“’est un vaccin”). [00.XX.XX, E15, 7





205. Nette diminution des ballonnements abdominaux habituels l’après–midi et le soir, mais retour des ballonnements le 10 jour. [01.04.00, E4, 7
206. Maux de ventre, ballonnements, spasmes intestinaux qui réveillent. Nausées, contractions au niveau de l’estomac améliorées en mangeant. [02.XX.XX, E14, 7
207. Ballonnements. [01.XX.XX, E15, 7
208. Beaucoup de gaz et selles incomplètes. [11.XX.XX, E18, 30
209. Beaucoup de gargouillis dans le ventre. [19.XX.XX, E18, 30
210. Ventre très gonflé vers 20h et douleur lancinante autour du nombril. Beaucoup de gaz vers 22h qui améliorent. [30.13.XX, E18, 30
211. Gonflement du ventre après chaque repas, midi et soir. Difficulté à digérer le pain malgré le désir d’en manger. Deux jours après, se sent de plus en plus gonflée, désir accru de féculents. [31.XX.XX, E18, 30





212. Constipation depuis une semaineée. [08.XX.XX, E10, 12
213. Pas de selle pendant deux jours. [09.XX.XX, E18, 30


SYSTEME RESPIRATOIRE

214. Réapparition pendant une journée d’un rhume des foins disparu deux ans auparavant, avec nez bouché, éternuements et toux sèche ; sensation de poussières dans la gorge améliorée par la toux. [02.04.XX, E2, 12


TEMPERATURE


215. Sensation de tremblement à l’intérieur du cou. Frilosité et hypersensibilité au toucher. [00.06.12, E5, 30

émités froides, mains froides. [00.XX.XX, E15, 7
é supérieure du corps à 23h. [01.XX.XX, E15, 7

218. Sensation de froid à 21h. [01.13.15, E5, 30
219. Vertiges et frilosité. [07.XX.XX, E5, 30
220. Bouffées de chaleur sans sueurs ni rougeurs, avec excitation intérieure comme après le café malgré l’envie de dormir, disparaissant en se déshabillant, à différents moments de la journée (5 jour des règles). [01.XX.XX, E8, 12

é. [00.13.00, E18, 30


TETE ET COU




222. Grande fatigue, migraine l’après–midi et le soir. Tension et douleur dans la nuque. [16.XX.XX, E4, 7
223. Sensation de tremblement à l’intérieur du cou. Frilosité et hypersensibilité au toucher. [00.06.15, E5, 30
224. Douleur de la nuque à type de serrement avec difficulté de mouvement. [00.04.45, E16, 30
225. Douleur sus–temporale gauche en éclair, comme un clou. Crispation de la nuque à gauche, type torticolis. [00.08.45, E16, 30



éphalée


226. Mal de tête avec tempes serrées et lourdeur au vertex qui s’intensifie vers 20h avec sensation de nuque raide. [00.03.00, E5, 30
227. Points de pression sur les tempes, surtout à droite, apparaissant et disparaissant en quelques secondes. [06.01.45, E8, 12
228. Prémolaire supérieure droite qui agace, en même temps que légère sensation de brûlure sur l’aile du nez, les sinus et la tempe droite, qui dure toute la journée. [28.03.XX, E8, 12
229. Sensation de pointe transfixiante de l’extérieur vers l’intérieur de la tempe gauche, aggravée tête penchée vers le bas, améliorée assis, tête haute en continuité du corps. [00.04.45, E16, 30
230. Douleur sus–temporale gauche en éclair, comme un clou. Crispation de la nuque à gauche, type torticolis. [00.08.45, E16, 30
231. Mal de ventre avec mal de tête sourd et continuégère sensation de serrement aux tempes. [02.04.30, E17, 7
232. Légère céphalée au niveau du sourcil droit et au dessus des deux sourcils (serrement) comme lorsqu’on boit du mauvais vin blanc, de 19h au coucher, puis à nouveau au réveil. [05.06.15, E8, 12
233. Céphalée qui commence dans l’angle interne de l’orbite droite, puis en un point assez violent qui reste sensible au toucher, puis diffusion légère au dessus des sourcils et aux tempes. Disparition de la douleur dans la matinée. [07.02.XX, E8, 12
234. Légère sensation de pression dans la tête. [01.06.XX, E8, 12
235. Mal de tête comme par un étau (serre–tête), qui se resserre dans une ambiance bruyante (télévision). [00.08.30, E17, 7
236. Mal de tête lors d’un effort intellectuel ou d’une attention soutenue (retour de symptôme ancien). [02.11.30, E17, 7
237. La tendance aux maux de tête, qui avait disparu il y a 4 à 5 ans, réapparaît dans des conditions de bruit ou de fatigue. [04.XX.XX, E17, 7





238. Vertiges dans la matinée. [04.XX.XX, E5, 30
239. Vertiges et frilosité. [07.XX.XX, E5, 30
240. Nausées pendant le trajet au travail qui partent de l’estomac, aggravées à la pression, avec vertiges. Les nausées durent jusque vers 14h30. Grande fatigue. [12.02.XX, E10, 12
241. Nausée pendant 1h½ [26.03.45, E10, 12
242. Nausée avec fatigue et vertiges (“’est un vaccin”). [00.XX.XX, E15, 7



243. Cheveux cassés à 10


YEUX




244. Yeux voilés. Voit tout en gris et trouble, comme un voile devant les yeux, en regardant la télévision, de 22h à minuit. [03.15.00, E10, 12
245. Yeux voilés en conduisant la nuit (19h45), yeux voilés et brûlants jusqu’au coucher. [06.12.50, E10, 12
246. Sensation de voile et vision amoindrie de l’œil droit. Quelque temps après, impression de mieux voir, d’avoir une vision plus claire, plus luminescente. [00.04.45, E16, 30
247. Impression de brouillard blanc devant les yeux. [00.09.10, E16, 30





248. Réapparition pendant une journée d’un rhume des foins disparu 2 ans auparavantésir de les frotter, sensation d’avoir de l’air dans les yeux, aggravation par le ventéliorenté, éternuements et toux sècheères dans la gorge améliorée par la toux. [02.04.XX, E2, 12
249. Yeux qui piquent et larmoient, impression de s’endormir sur le champ pendant une réunion. [28.15.30, E18, 30

à partir de 16h jusqu’à 20h environ, comme si elle allait s’endormir tout de suite avec yeux qui piquent. [58.08.45, E18, 30


Sensations derrière les yeux

251. Elle sent le muscle ou les nerfs derrière les yeux aux mouvements des yeux pendant toute la matinée. [06.01.45, E8, 12





252. Orgelet à l’œil gauche en bas pendant une journée. [02.01.30, E10, 12
253. Yeux collés au réveil. [07.00.00, E10, 12
254. Douleur à l’œil droit. [01.XX.XX, E15, 7
255. Sensation de ptôse de la paupière supérieure droite, avec impression de pointe allant de l’extérieur vers l’intérieur de l’œil droit. [02.XX.XX, E16, 30

RÊVES


Disparition, enlèvement



à une terrasse de café avec Eléa (ma fille), Liliane (une amie) et X. Liliane décide d’aller acheter du pain en face, je vais avec elle car j’ai décidé de payer. Liliane en choisit 3 différents et moi un. Le commis n’arrive pas à faire marcher la caisse’énonce les prix et je fais le calcul au fur et à mesure. Puis on quitte le village en voiture. C’est moi qui conduis. Au bout d’un moment, Eléa me demande de descendre de voiture dans la campagne pour se promener. J’accepte et je la reprends un peu plus loin, en voiture. Au bout de quelques temps, elle me fait la même demande à l’entrée d’un village. J’accepte encore et décide de la récupérer à la sortie. Je contourne le village, y reviens par l’autre côté, me gare et cherche Eléa partout mais ne la trouve pas. Je réalise que, ne connaissant pas le village, on n’a pas pu se donner de point de repère ni de lieu de rendez–vous. Je commence à paniquer en pensant à sa propre panique, je demande aux gens, personne ne l’a vue. J’aperçois plusieurs petites filles qui lui ressemblent, mais ce n’est jamais elle. Je rentre dans un magasin et partage ma détresse avec la personne qui m’accompagne (ce n’est plus Liliane, c’est ma grand–mère’ai été stupide, que je ne la retrouverai jamais… Je ne sais plus quoi faire, puis d’un coup pense à m’adresser à la police…
Je me réveille. Je me sens émotionnellement comme après un cauchemarée physiquement, un peu mal à la tête, barbouillée, la gorge qui gratte. J’écris le rêve… je me sens mieux, il est 4h.
Flash: je m’achète un très beau sac (150,00 F). Phrase dans ma tête au réveil“”. [00.20.15, E5, 30



’étais en Suisse avec mon mari et ma fille, et des copains et des copines potiers. D’un village nous partions pour Genève en vélo. C’était assez loin. Il y avait de la montagne et de la campagne à traverser. On arrivait sur Genève à l’heure du déjeuner. Il faisait beau. Je me disais qu’il fallait manger et je remarquais que j’avais oublié l’argent suisse à la maison. Heureusement, il y avait mon père avec nous qui pouvait nous dépanner. On passait devant le bout du lac, les deux rives, etc. On a fait demi–tour et on s’est arrêté chez un marchand de primeurs. Il avait de magnifiques melons, enfin, tout était beau (fruits, légumes). Là, nous réalisons qu’il fait restaurateur aussi. On choisit des fruits et légumes, il les cuisine et on mange sur place. Je n’avais jamais vu ça. On commence à choisir et je remarque que ma fille n’est pas là. Les autres me disent qu’elle a continué son chemin. Inquiète, je leur demande si elle avait vu qu’on s’était arrêtés. Ils m’ont prétendu que oui, et qu’elle allait de toute façon revenir, elle ne pouvait pas aller bien loin. Alors je me remis à choisir dans ces magnifiques fruits et légumes. [10.00.00, E10, 12



’eau’une rivière avec ma fille aînée (7 ans). De l’autre côté, il y a une maison allumée et pour y accéder il faut franchir un pont fait de radeaux pneumatiques. Ma fille veut traverser, moi je n’y tiens pas. Avant que j’aie le temps de réagir, elle est déjà en train de franchir la rivière. A ce moment sortent de la maison (qui est grande et luxueuse) une bande d’hommes armés, prêts à tout pour leur tranquillité. Ils s’emparent de ma fille et je suis paralysée, pétrifiée. J’ai si peur que je me force à me réveiller. [21.00.00, E8, 12


Menace, poursuite


’étais avec ma sœur dans un hôtel, style gros truc au bord de la mer dans un pays avec beaucoup de soleil. Sur le même palier, mais à l’autre bout du couloir, les parents de Philippe (mon mari) y passaient des vacances.
Ma sœur était poursuivie, donc moi aussi, par des hommes style James Bond. Nous avions cavalé toute la nuit et étions arrivées vers 7h du matin. Ma sœur ne voulait ni se reposer, ni se doucher, mais rester à l’affût pour se sauver. Je lui conseillais de se doucher pour mieux se reposer (nous avions toutes les deux nos règles).
J’allais dans la salle de bains–toilettes, on aurait dit un placard ressemblant à des toilettes dans un avion avec plein de casiers. Je me suis vue sur les toilettes, le sang etc., et j’étais tout le temps en train de parler à ma sœur pour la raisonner. Pour finir elle m’a rejointe sous la douche. Dans la douche il y avait une fenêtre avec vue sur la rue. Nous étions très haut dans l’immeuble, beaucoup de luminosité. [03.00.00, E10, 12


’est la première fois que je fais un petit cauchemar’un me poursuivait ainsi que mes filles, et cette femme cherchait à nous tuer avec des espèces de crochets en métal. Nous devions nous servir de toute notre ruse pour lui échapper et je crois que nous avons réussi. Je pense avoir connu la femme. [35.00.00, E18, 30


(voir aussi 290 291


Montée, descente



êve de montée et de descente’une montagne, puis je redescends dans un champ. [03.XX.XX, E15, 7


é. Je n’avais pas envie d’y aller mais j’y suis allée quand même. Il y avait une espèce de petit métro et je n’ai pas réussi à le prendre, alors je courrais après. J’ai dû descendre un moment un escalier terriblement raide et j’y suis parvenue, toute étonnée de n’avoir pas eu le vertigeétonnant


(voir aussi 259263266276293


Ecroulement



écide d’aller nettoyer en haut des placards de cuisine. Il y en a deux l’un sur l’autre, le deuxième est juste posé en équilibre. Cela fait très haut et étroit. Elle monte par le radiateur. J’arrive à ce moment là et je lui demande de redescendre car ce n’est pas solide. A cet instant elle tombe, atterrit sur le dos et le placard du haut lui tombe dessus. Je me précipite, mais elle ne s’est pas fait mal. [06.00.00, E5, 30


èce et je sens intuitivement que cette pièce ou cette maison va tomber. En fait, tout tombe à l’envers et je me protège sous un bureau ou une grande caisse en bois. Je n’ai pas peur et je sais qu’il ne m’arrivera rien. [07.00.00, E18, 30


’ai rêvé que nous voulions refaire le plafond de la maison, alors j’ai essayé de toucher la peinture et tout le plafond est tombé. Cela m’embêtait beaucoup parce qu’on devait avoir des invités le soir. [36.00.00, E18, 30


(Voir aussi 284


Equilibre instable



èce où il fallait nettoyer les vitres par un escabeau, un long plafond blanc et vert. Il fallait faire les vitres à l’extérieur, mais pour cela franchir le mur et du haut du mur, avec un manche, laver les vitres. Très acrobatique. [18.XX.XX, E15, 7


èce de ruisseau avec très peu d’eau à contre–courant. L’eau était très froide mais cela ne m’a pas gênée, et ça m’a étonnée pendant mon rêve, j’ai d’habitude horreur de l’eau froide. Puis quelqu’un me fait prendre un raccourci au lieu de contourner par le chemin normal en passant sur de gros cubes de plastique pas très stables (sans danger). [02.00.00, E18, 30


(Voir aussi 258263


Eau, mer, plage



’étais avec ma fille de 7 ans, près d’un marais. De l’eau coulait par des vannes, jusque là tout était normal. Nous devions fermer ces vannes, mais une jeune fille n’y arrivait pas et l’eau s’est mise alors à couler à flot.
Ce rêve était juste désagréable, sans être paniquant. [19.00.00, E8, 12


’ai encore passé la nuit dans l’eau’avais les pieds dans l’eau jusqu’aux chevilles et qu’il était question d’œufs de poule. [20.00.00, E8, 12


à la plage avec des enfants inconnus. La plage est immense, nous jouons et nous sautons dans l’eau. C’est très joyeux. [40.00.00, E8, 12


êve de grossesseès belle accouche dans l’eau d’une petite fille très bien. [05.XX.XX, E15, 7


(Voir aussi 258259267276277289


Lieu merveilleux


èce et j’essaie de coucher tout le monde. Je sors de la chambre et suis dans un hôtel. En sortant je retrouve mes amis, deux personnes que j’aime beaucoup. Nous partons faire une ballade. Nous sommes dans un endroit merveilleux à la montagne avec vue sur la mer. Nous arrivons dans un petit village avec des chalets en bois. Dans la rue il y a partout des tas de viande fraîche. C’est le jour où tous les gens abattent leurs cochons, bœufs etc. Il y a des chatons qui viennent se faire caresser, et il y a un cochon qui se promène et qui n’a plus de peau. Je suis surprise, car ce cochon n’a pas l’air de souffrir. Même réveillée je reste impressionnée par la beauté du paysage et de ce village dont j’ai rêvé. [30.00.00, E18, 30


(Voir aussi 289


Végétation, plantes



êve de plantes vertes


(Voir aussi 257275304


Lumière, luminosité



êve de maquillageça illumine le visage et les yeux, c’est discret, joli. [07.XX.XX, E15, 7


œurs, le lever d’une barrière pour passer et me rendre visite chez moi, deux personnes qui viennent chez moi. Il y avait des médicaments dans la boîte aux lettres. A la fin je me retrouve avec une bague, un anneau, une alliance en diamant, simple, lumineuse, très jolie, comme le maquillage. Des faisceaux de lumière sortaient de l’alliance. [18.XX.XX, E15, 7


(Voir aussi 259299


Avion



ée dans un ascenseur pour descendre. Dans celui–ci il y avait des toilettes qui étaient à la vue de tout le monde. J’avais envie de faire pipi et j’ai commencé à le faire. Je faisais du sang et de l’eau et ça me gênait beaucoup que les autres me voient, alors j’essayais de me cacher la figure. J’ai attendu que tout le monde soit parti pour sortir. De là je suis allée acheter des chocolats. J’avais une bouteille de champagne et un manteau de fourrure à la main alors qu’il ne faisait pas froid. Mon mari m’a rejointe dans ce magasin et nous sommes partis ensemble pour prendre un avion, un avion très bizarre qui n’était équipé que de deux sièges à l’extérieur. On se mettait sur ces deux sièges et l’avion décollait. Il volait juste au dessus du sol et il fallait se tenir avec les mains pour ne pas tomber. Juste avant d’atterrir, Daniel est tombé dans l’eau avec toutes ses affaires. L’avion a atterri sur une plaque de glace et Daniel arrivait déjà à pied tout trempé. Il demandait alors que l’on veuille bien lui repêcher ses affaires, mais en attendant les gens voulaient lui remettre des affaires chaudes. Alors ils lui passaient de la graisse sur différentes parties du corps et ils lui ont mis son sexe dans la graisse. [12.00.00, E18, 30


(Voir aussi 290301


Enfants, petites filles et adolescentes



’accompagne un groupe d’adolescentes à la plage. Dans les vestiaires, je commence par perdre un certain nombre de choses et quand je suis dans l’eau, la nuit tombe brusquement. Bien que l’eau soit calme, je n’arrive pas à rejoindre la plage et je n’y vois plus rien. Une jeune fille vient me rassurer et je touche pied, me voilà revenue. [18.00.00, E8, 12


’une maison avec jardin et je regarde une autre famille qui va emménager dans cette maison. Deux petites filles se retrouvent et se sautent au cou (une dans la maison, l’autre qui sort de sa voiture). C’est alors que ma fille aînée reconnaît une de ses amies et elles décident d’enjamber le parapet et de descendre par le mur jusque dans le jardin. J’ai peur pour elle et en même temps j’ai confiance en elle. Je ne bouge pas. [21.00.00, E8, 12


(Voir aussi 268270271302


Mariage, communion



à un mariage (je ne sais plus de qui) et j’en oublie une réunion importante que j’ai ce soir avec l’école (dans la réalité). [06.00.00, E8, 12


épare le mariage de ma jeune sœur (qui est déjà mariée depuis un an et demi et qui vient d’avoir un bébé)ées. [57.00.00, E8, 12


à un endroit pour le travail, style un week–end. C’était assez loin. Mon mari m’accompagnait. On avait pris ma voiture. On roulait de nuit, déjà sur le retour. Mon mari ne sentait pas bien. Il fallait trouver un restaurant qui veuille bien encore nous servir. Finalement, après plusieurs essais, j’ai trouvé un restaurant qui voulait encore s’occuper de nous. Pour les remercier, mon mari leur donne démesurément de l’argent (il fallait qu’il mange pour aller mieux). Curieux, il les paya en lires.
Il voulait aussi me faire plaisir et on se retrouve dans un magasin de confection très chic. Il posa devant le vendeur, sur une table, un billet de banque qui faisait 1 m de long et lui dit de me trouver quelque chose de bien. Par curiosité je me suis avancée pour voir la somme d’argentçais donc à regarder. Je voulais alors choisir une robe ou une veste qui vraiment me ferait plaisir, non pas les modèles que me montrait la vendeuse (trop classique). J’ai remarqué une robe bleue, un peu claire, en dentelle avec un imper en plastique transparent qui faisait plutôt bien pour un mariage et qui coûtait 2 millions de lires. Elle n’était pas de circonstance, mais elle était très belle.
Je ne sais pas ce que j’ai choisi, car je me suis réveillée avant. [06.00.00, E10, 12


’étais chez une copine. Elle avait beaucoup de monde (la famille) chez elle, car c’était la communion de ses jumelles. Comme je passais pour faire un coucou, j’étais gênée car je n’avais pas de cadeau pour les filles. Et voilà que ma copine me présente des jumeaux (qu’elle n’a pas en réalité) du même âge qui, eux aussi, avaient leur communion. Je me disais que j’en aurais, des cadeaux à faire


Spiritualité



érentes se posent comme un défi (pas violent) pendant que les deux maîtres, très souriants, s’affrontent aux échecs. [03.00.00, E5, 30



é en blanc. Je connais la plupart des disciples. Le temple ressemble à un petit pigeonnier. Il n’y a pas d’ordre, c’est l’anarchie et l’on discute entre nous. Le gourou nous fait faire des choses assez innocentes et puériles (chansons enfantines…). Je refuse de m’y soumettre et, avec une humilité toute exagérée et théâtrale, je lui explique le fond de ma pensée. Il est très dérouté, les autres aussi. Puis il reprend le cours de ses pensées et tout à coup, c’est la débandade car le temple s’écroule. Je lève les yeux et je vois la charpente qui cède.
Je sors et je jubile de cette espèce de farce. L’atmosphère de ce rêve est très enfantine et gaie. Pour une fois, j’arrive à tenir tête à une caricature de “hiérarchie”. 
Dans mes rêves il y a toujours de la foule, donc dans celui–là aussi, mais je suis arrivée à mes fins alors que dans les rêves habituels je n’arrive pas au bout. [01.00.00, E8, 12


’étais dans un grand rassemblement de pèlerins qui se passait dans une cathédrale, en pleine campagne. Il y avait deux autres bâtiments à côté de la cathédrale. J’étais dans un des deux bâtiments. Il fallait entrer dans la cathédrale pour le pèlerinage (entrer, faire le tour et sortir). Il y avait une telle foule que c’était dur d’avancer. Tout le monde se collait l’un à l’autre, revenant dans l’autre bâtiment après. Il y avait Philippe (mon mari) et mes parents. Ils voulaient repartir, mais il fallait attendre une amie qui s’appelle Sophia, mais dans le rêve elle s’appelle Marie. Je regarde dans les deux bâtiments si je la trouve. Il y a également une foule intense. Je regarde, je regarde, je l’appelle… A la fin je crie son nom… Je me dirige alors vers la cathédrale et la trouve qui en revient. “’on t’attend”, que je lui dis. Elle me répond“’avais des gens à voir. Et de toutes façons, ton père, il a un problème de rapport avec l’argent”.
Dans le rêve j’étais très calme. Même si à la fin de chercher Marie j’ai crié, c’était sans énervement. [04.00.00, E10, 12


’ai rêvé avoir revu un ami, un très bon ami, quoique lui n’avait pas l’air ravi de me voir. Moi je l’étais. C’est quelqu’un d’important pour moi car c’est une personne qui m’avait amenée à une réflexion spirituelle. [06.00.00, E18, 30


Foule, assemblée



êté leur appartement. Je suis dans l’escalier et j’arrive au 4étage. Là, il y a une foule de gens inconnus, assis tranquillement avec leurs bagages et des provisions. Ils attendent qu’on leur ouvre l’appartement du dessous. L’ambiance est calme et bon enfant. [15.00.00, E8, 12


énormément de monde, des milliers de personnes dans une salle. Je ne sais pas ce qu’on faisait. La seule chose dont je me souviens, c’est que c’était tous des expérimentateurs du remède. [01.00.00, E10, 12


ères (Annick, Sylviane...). Nous partions pour faire un tour, un circuit aventure. Nous nous retrouvions dans des dédales d’autoroute, de ponts, de tunnels, de métro. Tout était gris, une jungle grise.
Après je me retrouve chez moi où Annick était en train d’étendre du linge qu’elle avait lavé à la main. Je lui avais prêté ma chambre, mais j’avais besoin de quelques bricoles. Je lui disais qu’elle pouvait étendre son linge dehors. J’avais tout ce qu’il fallait, mais elle trouvait que ça allait comme ça (dans ma chambre, et en même temps c’était ma salle de bains).
On se retrouve sur la plage. J’avais dans un sac de voyage des fringues (de mon mari, ma fille et moi), les passeports et je ne sais quoi d’autre. Mon mari voulait que nous allions tous sur l’île en face. Je trouvais que c’était une bonne idée. Par contre, je les vois rentrer dans la mer habillés, Jean–Claude, mon premier patron, en tête. Le truc, c’était d’y aller à la nage. J’étais embêtée par mon sac de voyage, mais j’ai nagé en le tenant hors de l’eau. C’était quand même vachement loin. J’avais pensé qu’on irait en bateau.
Arrivés là–bas, il y avait un monde fouêt, des torrents, c’était très joli. Mais ce mondeù poser le pied. Les gens étaient assis ou  couchés, pique–niquaient partout. Mon mari en tête pour nous amener à un joli endroit. A un moment il fallait traverser une petite rivière. Là, je demande à mon mari de m’aider, de prendre un sac. Il le prend, le jette dans l’eau, puis rentre dans l’eau pour traverser. J’avais les boules’étais venue sur l’île péniblement pour ne rien mouiller et lui, il le prend et le jette dans la rivièreère, on s’installe pour le pique–nique. Qui se trouve juste à côté de nous



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Père, sauveur



’avion était sans toit, une hélice à l’avant et une à l’arrière. Nous étions assis sur des bancs. Le pilote est celui qui nous a vendu une voiture récemment. Quand je regardais derrière on était sur l’eau, et quand je regardais devant on était en avion. Je regardais derrière, les filles se sont mises à crier et quand je me suis retournée, le pilote avait une arme pointée sur nous. Par la suite, dans une maison, le pilote nous menaçait de nous taper avec un bâton. Il est sorti, mon père est arrivé et nous a sauvées. [02.00.00, E2, 12


’étais devant un restaurant et j’ai vu deux hommes que je connaissais il y a très longtemps. Ils m’ont demandé quelque chose, mais j’ignore ce qu’ils voulaient. Alors ils m’ont fait mal. Je n’ai pas voulu dire ça à mon mari. Toutefois le lendemain, avec mon mari nous étions obligés d’aller encore vers ce lieu et quand j’ai revu ces deux hommes, j’ai raconté à Daniel ce qui s’était passé la veille. Il est entré pour téléphoner mais il n’en est pas ressorti. Alors j’ai attendu avant de demander à un grand costaud de m’aider. J’ai retrouvé Daniel assez blessé et le costaud s’en est occupé. Pendant qu’il examinait ses blessures, je les voyais comme sur un chat tacheté. Nous sommes ressortis de là bien décidés à mettre fin à ces agressions et je me suis réveillée. [03.22.35, E18, 30


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Partage, prêt



é toutes les deux et on a chacune deux chocolats différents, un homme nous les demande et on en lui donne un à tour de rôle. [06.00.00, E5, 30


échasses. J’étais avec des amis dans un petit sentier, je trouvais cela très agréable. A un moment j’ai prêté mes échasses à une amie qui a eu beaucoup de mal à s’en servir. [56.00.00, E8, 12


’allais à Venise. Il y avait avec moi mon mari, mon associé, un potier et une ancienne copine de Suisse (elle étudiait avec moi à l’école de céramique). Nous allions à Venise, car un groupe d’amis potiers y étaient. Mais nous ne voulions pas tomber sur eux.
On avait une adresse d’hôtel. Arrivés là–bas, c’était un hôtel pourri, d’ailleurs la ville était inondée. On était rentré sans se faire voir, pour regarder, trouver éventuellement une autre adresse (en cachette) et finalement nous avons appelé quelqu’un à la réception. Il ne restait qu’une chambre de libre. La personne a décidé qu’on n’avait qu’à la partager. [08.00.00, E10, 12


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Érotisme


êve érotique. Il y avait par contre une femme avec mon mari et moi. Elle avait l’air d’être sa complice. On était tous les trois dans un immense lit. La femme, en quelque sorte, me préparait à recevoir mon mari. [28.00.00, E10, 12


’ai fait un rêve érotique où je me vois faire l’amour. J’ai l’impression d’avoir été dans ce rêve un peu nymphomane. [25.00.00, E18, 30


297. J’ai une aventure érotique, je suis à nouveau homme et je ramène cette douce créature chez nous où je vis en paix, passant avec délectation de l’une à l’autre. (00.XX.XX, E20, 12





ère a les cheveux mi–longs (ils sont très courts en réalité) et je les lui coiffe. Je lui mets des bigoudis, je me coiffe aussi. J’ai l’impression que ses cheveux ne sont pas sur sa tête, comme si c’était une perruque.
Dans mes rêves au début de la pathogénésie, je voyais des gens que je n’ai pas vus depuis des années, alors que maintenant je vois des gens de mon entourage actuel. J’ai vu plein de monde encore cette nuitça va, plus les gens des rêves ont été connus récemment. [27.00.00, E18, 30


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Fin heureuse, absence de danger, de gravité



é dans l’ordre et que je pourrais participer à une autre pathogénésie. Pour je ne sais quelle raison, j’ai rendez–vous avec Mme Thélème qui me propose une nouvelle expérimentation. J’ai alors la drôle d’impression qu’il n’y a pas de hasard, et en même temps un sentiment de satisfaction pour avoir bien senti les choses. [13.00.00, E8, 12


’étais au Japon avec une femme japonaise qui avait l’air d’être mon manager. Ça devait être l’été car il faisait beau, chaud, très lumineux par le soleil et que j’étais pieds nus dans des “”.
Nous étions chez une dame âgée qui devait être quelqu’un d’important et de respecté. Elle était habillée dans les tons de bleu indigo et ce qui m’avait le plus frappé, c’était ses chaussures (chaussonsétaient indigo avec un motif beige, une espèce d’étoffe autour du pied, le chic étant une bride qui encerclait le gros orteil. En moi je me disais que c’était les chaussures que j’aimerais ramener chez moi au cas où j’en trouverais.
Je ne sais pas pourquoi on était allés chez cette dame, mais en partant, j’ai oublié mes “”. J’en ai fait part à mon manager qui me souhaitait bon courage, car une fois sorties on n’aurait plus le droit d’y entrer. Comme un voleur j’y suis retournée et sans être découverte j’ai réussi cette “épreuve”.
Avec mon manager je me retrouve dans un grand magasin au Xèmeétage pour discuter avec quelqu’un de je ne sais quoi, et comme ça on me demandait s’il y avait quelque chose qui me ferait plaisir. Alors, je parle de ces fameuses chaussures. Une vendeuse revient avec quatre paires différentes, mais pas ce que je recherche. Alors, avec beaucoup de diplomatie, je décris ce que je veux et on me montre deux paires, mais ce n’est pas encore ça. Alors je regarde la pointure, c’était du 36, donc trop petit. Mais on me dit que c’est la plus grande pointure. C’était donc le bon moyen de sortir de cet embarras. En attendant, ma manager avait terminé ce qu’on devait faire et nous sommes parties. [17.00.00, E10, 12


’étais dans un pays étranger, le Japon, je crois, avec mes parents et ma sœur, et des amis de mes parents. On devait prendre l’avion pour rentrer. C’était la panique pour partir. Il y avait toujours quelqu’un qui n’était pas prêt. On était en retard, mais comme les montres avaient été avancées d’une heure, on continuait de discuter. Une fois à l’aéroport, c’est moi qui ne trouvais pas ni mon billet d’avion, ni mon passeport. Finalement, j’ai trouvé… [28.00.00, E10, 12


’avais une grosse moto genre 500 cc neuve, je venais juste de l’avoir. J’étais au boulot sur Golfe–Juan dans un salon de coiffure. Une copine est venue me l’emprunter dès mon arrivée au boulot en sorte que le soir, à la fin du travail, je ne l’aurais pas pour rentrer, ce qui ne perturbait pas ma copine. Je lui conseillais de téléphoner à la personne qu’elle voulait aller voir pour s’assurer qu’elle était vraiment attendue. Effectivement, la personne n’était pas disponible et j’ai donc récupéré ma moto. [30.00.00, E10, 12


à la maison avec beaucoup d’enfants, ils ont rentré leur fourgonnette dans mon salon. Les enfants et la mère ont commencé à toucher à tout et à ouvrir mes placards pour sortir n’importe quoi. J’ai râlé, et puis la femme m’a donné un cadeau et m’a laissée bouche bée. Ensuite je me suis réveillée. [05.00.00, E18, 30


304. Je suis une jeune femme sur une barque [expérimentateur masculin] et je glisse dans l’eau au milieu d’une végétation abondante, tropicale, dans une lumière palpable, vivante, ni jour ni nuit. La conscience de ce paysage est qu’il ne présente aucun danger. (00.XX.XX, E20, 12


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Double, jumeaux



ène chez moi en voiture et me montre un siège auto qu’elle vient d’acheter. Il s’agit d’un siège double, qui permet d’asseoir un enfant petit et un autre plus grand côte à côte, en n’utilisant qu’un point d’attache sur la banquette de la voiture. Eurêka’est ce que je cherche dans la réalité, d’autant plus que l’on peut mettre deux sièges comme celui–là sur la banquette et y avoir 4 enfants (elle va partir bientôt en vacances avec quatre enfants). [01.00.00, E8, 12


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Divers


’ai vu Eléa (ma fille) s’enfoncer dans un champ de blé. Ce n’était pas pour se perdre mais pour se renforcer. [01.00.00, E5, 30


înée se réveille couverte de plaques rouges et d’urticaire. Elle a également la langue qui change d’aspect à vue d’œil, elle passe du rouge framboise à un aspect boutonneux type varicelle (“’emmener chez le médecin”). [05.00.00, E8, 12

’étais au vernissage qui aura lieu mercredi prochain à Seillans. Finalement, j’ai fait apporter une énorme pièce en marbre vert rayé de noir que j’avais bien polie. Elle représentait une voiture, un modèle des années 50, qui sort d’un bloc de rocher. Un mètre de long, intacte, complète, ligne pure, l’arrière était encore dans le rocher. Au vernissage, beaucoup de potiers. J’étais malade. Je devais emmener ma fille à la danse et j’ai oublié


était avec des amis dans un parc. Je me suis mise à l’écart. Je me rappelle surtout que j’avais de l’urine de partout


’étais avec mon mari à Salernes (Var) dans une usine de carrelage. Nous voulions acheter des carreaux en terre de Salernes crus pour que je puisse les décorer et les cuire moi–même pour le carrelage de la future cuisine. En même temps je me renseignais sur les plaques de lave pour le plan de travail, à savoir si je pouvais également les cuire moi–même. On regardait la fabrication des carreaux avec le four tunnel. J’expliquais la chaîne de fabrication à mon mari. [26.00.00, E10, 12


êve que je déménage sur Toulon. [00.11.00, E14, 7



êve d’un homme qui a une douleur au bras droit, comme une hémiplégie. [07.XX.XX, E15, 7


êve de voyage, de routeée. [07.XX.XX, E15, 7



à la fac, des gens se disputent, se crachent dessus, ça m’énerve. J’interpelle quelqu’un“” Il me crache au visage, je le mets par terre et lui crache sur la joue, ça dégouline jusque dans sa bouche, il a envie de vomir, je le laisse là. Je vais rejoindre des amis. Je me réveille avec dégoût. [01.XX.XX, E17, 7


’ai des gants qui vont jusqu’au coude. [01.XX.XX, E17, 7


’ai vu des gens que je n’ai pas revus depuis pas mal d’années. Ainsi j’ai chassé une personne de chez moi, quelqu’un que je n’aime pas beaucoup, mais que je connais. [15.00.00, E18, 30
   

VIISYNTHÈSE



’image de Neptunium muriaticumévoque le mouvement ascendant et descendant d’une grande vague, ou bien celle d’un cyclone ou d’un geyser qui soulève tout sur son passage puis le laisse retomber sur le sol. Sur le plan physique, les expérimentateurs ont ressenti une énergie inhabituelle qui s’est traduite par une impression de fluidité, d’aisance, de bien–être et de maîtrise de soi, exempte de toute excitation et assez semblable à un état de grâce, comme s’ils parvenaient à transcender pour un temps les limites de leur corps physique. Une expérimentatrice a rapporté qu’elle s’était littéralement envolée pendant une séance de gymnastique acrobatique. Cet état de plénitude a entraîné une plus grande activité physique et intellectuelle pendant la journée, avec pour conséquence de la fatigue en fin de journée et en soirée, mais sans altération de l’humeur, du moins au début. Ensuite la fatigue s’est intensifiée progressivement pendant environ deux semaines au fur et à mesure que la vitalité diminuait.
Le même schéma a été observé sur le plan mental, dans la mesure où certains expérimentateurs ont vécu une période de forte exaltation de l’humeur, qui s’est exprimée par de l’euphorie, des rires, des chants, comme s’ils avaient atteint un niveau d’élévation qui les mettaient hors d’atteinte de l’adversité. Une expérimentatrice a ressenti une véritable allégresse pendant plusieurs semaines, alors qu’elle avait de sérieuses raisons d’inquiétude au sujet de la santé de son mari. On retrouve également cette notion d’élévation dans les rêves (cf. se retrouver au sommet d’une échelle, d’une étagère, d’un immeuble, d’une montagne, marcher avec des échasses, voler dans un petit avion), celle–ci étant souvent liée à une lumière intense (cf. la vision plus claire et plus lumineuse). Cependant, l’impression d’euphorie se mêle ensuite à une sensation d’ébriété ou d’avoir absorbé des stupéfiants. La confusion mentale et l’instabilité de l’humeur gagnent (cf. l’équilibre instable dans les rêves, le tremblement dans le cou et les jambes) et révèlent le caractère illusoire et artificiel de l’état de conscience éprouvé par les expérimentateurs (cf. le faux maître spirituel, le maquillage, la perruque, ou le voile devant les yeux). Vient ensuite le retour à la réalité, qui peut intervenir de façon douce (certains expérimentateurs ont rapporté qu’ils se sentaient plus clames et plus patients depuis la pathogénésie), ou bien se traduire par de la tristesse et de l’irritabilité, comme si un paradis avait été perdu (cf. le thèmes des lieux enchanteurs dans les rêves). La chute du toit ou du plafond illustre bien celle résultant de la perte des illusions.
Sur le plan psychologique, de nombreux aspects du remède se rapportent à la notion de puérilité. En particulier dans les rêves, le sujet fait preuve de manque de discernement en se mettant dans des situations à risque, dans lesquelles seules l’intervention d’un tiers permet une issue heureuse, comme s’il était un enfant qui attend que son père vienne le sauver. A ce point de vue, les nombreux rêves mettant en scène des enfants peuvent être interprétés comme des projections de soi–même dans l’enfance, impliquant l’attitude insouciante face au danger et l’attente d’une aide providentielle qui caractérisent cette période de la vie.
Neptunium semble provoquer une perte au niveau sensoriel (vision voilée, oreilles et nez bouchés, absence de désir sexuel) ainsi qu’au niveau intellectuel (perte de mémoire, confusion), en faveur d’une quête spirituelle plus ou moins illusoire (la secte, les rassemblements religieux dans les rêves). Les grandes foules dans les rêves peuvent être attribuées au désir de perdre sa propre identité en se fondant en elles, tout comme le sel se dissout dans l’eau de mer (cf. le goût salé). Pour finir, comme le laissait pressentir le nom même du remède, l’eau est omniprésente tout au long de la pathogénésie (la mer, la rivière, l’étang, la sensation d’eau dans l’oreille, la soif d’eau fraîche etc.).
Neptunium muriaticum’évadent de la réalité et trouvent refuge dans l’illusion, par exemple à ceux qui s’enthousiasment sans cesse pour des projets vagues ou dénués de fondements et qui s’en remettent à l’aide d’autrui plutôt que de prendre leur responsabilités.
Comme c’était le cas pour Plutonium nitricumNeptunium muriaticumêtre sur le plan homéopathique le reflet fidèle à la fois du dieu mythologique et du symbole astrologique.


Neptunium muriaticum


Préparatoire Homéopathique des Archers
1, rue des Archers

51200 EPERNAY
   
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Pharmacie Michel

ère
13001 MARSEILLE

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Helios Homoeopathic Pharmacy


Tunbridge Wells, Kent TN1 2QR

GRANDE–BRETAGNE
   
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