ORGANON de lart de gurir de S
Paragraphes de L’ORGANON de l’art de guérir de S. HAHNEMANN.


Paragraphe neufômes, il faut aussi que … ce complexe de symptômes, cette image extérieure réfléchissant l’essence intérieure de la maladie, soit l’unique objet possible … pour découvrir un remède, le seul qui puisse déterminer le choix du remède adapté."
Paragraphe 14… la seule chose qui peut donner aux maladies une indication importante… sur un remède à choisir, doit être la totalité de tous les symptômes perceptibles."
Extrait du paragraphe 32: note (spécifique de la première édition)
"… ainsi tout ce que nous nommons remède, n’est rien d’autre qu’une puissance provoquant une maladie, et tout vrai médicament n’est rien d’autre qu’une puissance qui est capable de faire naître artificiellement une contre–maladie semblable dans l’organisme, et d’enlever ainsi la maladie semblable naturelle, et de l’anéantir."

’y a sans doute jamais eu aucun mal plus funeste qui se soit insinué dans l’art médical, que de donner aux maladies certains noms génériques, et de vouloir leur appliquer une médication générique." (S. Hahnemann)

Paragraphe 56épidémie nécessite un traitement spécifique.
Extrait du paragraphe 58… notre organisme se trouve en liaison et en conflit avec toutes les parties de l’univers…"
Début du paragraphe 82totalité des symptômes, l’image d’une maladie quelconque est enfin mise par écrit exactement, alors le plus difficile du travail est fait." Cette assertion fut identique dans les trois premières éditions de l’Organon.
Extrait du paragraphe 186… l’état de l’âme et de l’esprit est toujours changé … dans tous les cas de maladie à guérir…"Extraits du paragraphe 196’esprit … n’est pas encore tout à fait développée,… ses signes … cèdent par des encouragements soigneux, éclairés, ou par des remontrances sérieuses, mais ceux–ci s’aggravent rapidement par ce moyen en cas de vraie maladie de l’esprit…" Cette assertion fut très proche mais un peu plus développée dans les cinq éditions suivantes de l’Organon.
Paragraphe 197’esprit d’origine psychique avec symptômes corporels secondaires.
Paragraphe 198Les maladies de l’esprit primitives récentes cèdent à des remèdes d’action psychique associés à une attitude psychothérapique bienveillante du médecin. Note’une maladie corporelle, "un régime de l’âme aidant, le médecin et les personnes de la famille doivent observer soigneusement une manière juste de se comporter psychiquement envers le malade. Au délirant furieux, il faut lui opposer une intrépidité tranquille, du sang–froid, et une volonté solide énibles, une compassion muette dans notre expression de visageé, un silence tranquille pas tout à fait inattentifà une conduite et des paroles scandaleuses et dégoûtantes, une inattention complète … On doit toujours adopter l’apparence qu’on attribue aux malades mentaux la raison…" Cette assertion fut presque identique dans les six éditions de l’Organon


Qu’y a t’il à prévenir ou guérir dans cette maladie